Éloigner tant que possible les personnes de la source des rayonnements : l'intensité des rayonnements ionisants diminue avec le carré de la distance. Diminuer au maximum la durée d'exposition aux rayonnements. Placer entre la source et les personnes exposées un ou plusieurs écrans/blindages de protection.
Des matériaux tels que PEEK et le polyimide possèdent une bonne résistance au rayonnement gamma et aux rayons X. Le PTFE et le POM, en revanche, sont très sensibles et donc moins adaptés aux applications impliquant l'exposition au rayonnement.
Où aller en cas d'attaque nucléaire ? Les scientifiques recommandent qu'en cas d'attaque nucléaire, toute protection utile peut être celle d'un bâtiment en béton armé. Vous devez être éloigné des portes, des fenêtres, des couloirs, des issues de secours ou d'aération, des espaces d'air. Cachez-vous au maximum.
L'essentiel est d'avoir le plus possible de matière solide entre vous et le nuage radioactif. Si vous craignez d'avoir été exposé à des radiations avant d'entrer chez vous, débarrassez-vous de vos vêtements, douchez-vous et changez-vous. Gardez à proximité de la nourriture, de l'eau, une lampe électrique et une radio.
L'énergie dégagée n'est en effet pas identique pour tous les rayonnements, et les moyens de s'en protéger sont donc différents. Par exemple, une feuille de papier est suffisante pour arrêter les rayonnements alpha, mais il faut un mètre de béton ou de plomb pour arrêter des rayonnements gamma.
Pour éliminer les particules radioactives stockées par votre corps, il est possible de faire appel à des éléments chélateurs qui vont se lier à ces molécules avant d'être évacuées par les intestins. Pour cela, les algues font partie des meilleures solutions naturelles car elles possèdent de l'alginate de sodium.
À l'abri d'un bâtiment en béton armé
Ainsi, les chercheurs recommandent, en cas d'attaque nucléaire, d'éviter la proximité de portes, de fenêtres et de couloirs. Précisant qu'à partir de là, même la pièce la plus proche de l'explosion peut constituer un bon refuge.
Tout le monde ne pourra pas s'y réfugier. Néanmoins, il existe un bunker sous l'Élysée. Capable de résister à une attaque nucléaire, cet abri de 250 m2 construit sous l'aile est du Palais présidentiel en 1940, abrite le poste de commandement Jupiter, le PC Jupiter.
Un masque NRBC est une protection respiratoire contre des produits chimiques, biologiques ou des particules radioactives. Il se porte sur le visage en protégeant les yeux et le visage et en couvrant les entrées des voies respiratoires, bouche et nez.
Le cactus : la plante pour capter les ondes électromagnétiques. Vous avez le choix entre deux variétés : le cactus (Cereus peruvianus) ou l'arbre de Jade (Crassula ovata).
La fonction de l'eau est d'arrêter les rayonnements (donc protéger les opérateurs) et de refroidir le combustible.
L'uranium se présente à l'état naturel sous la forme d'un métal gris très dense. Il est composé de trois isotopes radioactifs : l'uranium 238 (99,3 %), l'uranium 235 (0,7 %, seul isotope naturel fissile) et l'uranium 234 (traces).
Le plomb est un excellent blindage pour les radiations électromagnétiques (rayons X et gamma) grâce à sa densité de 11,3 g/cm³, à son haut numéro atomique, à son niveau d'stabilité et aussi à la facilité avec laquelle se peut travailler.
Les filtres HEPA font partie des filtres mécaniques les plus efficaces et éliminent jusqu'à 99,995 % des impuretés de l'air. Pour ce faire, ils utilisent le comportement de mouvement des petites particules de différentes tailles.
Il s'agit des effets déterministes dont la gravité varie selon la dose de rayonnement reçue. Ils peuvent se traduire par des brûlures, des cataractes et, dans des cas extrêmes, la mort.
Prévoir l'aération de son bunker
Aussi, faudra-t-il penser à installer un système de ventilation à la surface et le dissimuler par la suite pour éviter que le tuyau ne soit visible et attire l'attention. Par ailleurs, des filtres à air peuvent être mis en place afin de ne pas laisser passer les contaminants !
Coût de la construction : Le coût de la construction varie en fonction de la région et de l'entreprise chargée des travaux. En moyenne, cela peut coûter entre 1000 € et 1500 € par mètre carré. Donc, pour un bunker de 30 mètres carrés, le coût de la construction variera entre 30 000 € et 45 000 €.
Construire un abri anti-atomique :
Des containers maritimes déclassés ,enterrés et bétonnés, sont la solution la plus économique (1000 à 2000eur). C'est le plus simple en termes de construction pour un abri anti-atomique. Un container métallique est une bonne cage de faraday, contre les impulsions électromagnétiques.
Pour s'en protéger, là encore, les experts recommandent de se réfugier au cœur d'un bâtiment. Selon eux, un mur d'acier, de béton, ou même de la terre compactée, offrent une véritable protection.
Entrée et sortie de l'abri rue Katarinavägen à Stockholm. L'abri de Katarinaberget (suédois : Katarinabergets skyddsrum) est un abri antiatomique situé sous la colline Katarina (suédois : Katarinaberget) dans le centre de Stockholm en Suède.
L'idée, c'est de générer une évacuation verticale, en protégeant les gens contre l'effet des bombes", explique le commandant de la protection civile vaudoise, Louis-Henri Delarageaz. Cela peut paraître fou, mais ça n'a rien d'étonnant en Suisse. C'est même écrit dans la loi depuis la guerre froide.
L'administration de comprimés d'iode stable (ou iodure de potassium) protège la thyroïde de l'iode radioactif qui pourrait être rejeté dans l'environnement en cas d'accident nucléaire.
Afin d'éviter ou réduire ces risques, la radioprotection s'appuie sur trois grands principes : justification, optimisation et limitation des doses de rayonnements.
Des barrières faites de plomb, de ciment ou d'eau protègent des rayons gamma et des rayons X pénétrants. C'est pourquoi certaines matières radioactives sont stockées dans des pièces isolées au plomb ou sous l'eau.