Organiser sa semaine et anticiper son quotidien peut être une source de relaxation car elle permet d'apaiser notre envie de contrôle et nous libère du stress lié à l'incertitude. En planifiant, nous pouvons nous ressourcer, même si nous n'avons pas la « fibre » de l'organisation.
Si vous le pouvez, faites 5 à 20 minutes de sieste chaque jour. La sieste rééquilibre le système nerveux et calme le stress. Pratiquez la relaxation. Quelques séances de sophrologie peuvent vous aider à alléger votre fatigue mentale.
Pour vous libérer de toute cette fatigue mentale, commencez par vous éloigner des environnements bruyants au profit du calme et de la sérénité. Télévision, appareils électroménagers… Tenez-les à distance quelque temps et profitez-en pour vous essayer à des activités plus zen comme le yoga ou la méditation.
La fatigue mentale, aussi appelée fatigue nerveuse, est bien souvent la conséquence d'une vie un peu trop éprouvante et agitée. Excès de stress, surmenage, difficulté à concilier vie professionnelle et vie familiale... les sources sont nombreuses !
Pensez à vous aérer, marchez à l'extérieur, ou reprenez une activité sportive que vous aimez. N'oubliez pas votre corps est votre ami, il a besoin de vous et vous de lui. Relaxez-vous, pratiquez la relaxation ou sophrologie qui peuvent vous aider à alléger votre fatigue mentale.
des vertiges, des maux de tête ou des palpitations liées à l'anxiété des tensions musculaires, voire des douleurs dorsales. des troubles alimentaires liés au stress (perte de poids importante, anorexie, boulimie, etc.) des douleurs gastriques (ulcères à l'estomac, troubles digestifs, etc)
La qualité du sommeil
Davantage que la durée du sommeil, c'est surtout sa qualité qui permet le repos. "D'un point de vue physiologique, le sommeil lent profond est le plus récupérateur, physiquement et émotionnellement", explique Laure Verret, maître de conférences en neurosciences.
L'épuisement émotionnel est un état de surcharge face à l'effort. On ne parle pas uniquement d'excès professionnels, mais aussi de la charge d'assumer des conflits, des responsabilités ou des stimuli de type émotionnels ou cognitifs. L'épuisement émotionnel n'arrive pas du jour au lendemain.
Une sensation de ne pas être là, des maux de tête récurrents, des douleurs articulaires, une fatigue permanente, des émotions qui s'emballent, des tremblements, une sensation de froid, une incapacité à prendre des décisions.
Les symptômes de la fatigue nerveuse
La fatigue nerveuse finit par arriver quand on suit un environnement qui ne nous convient plus”, explique Boris Amiot. Cet épuisement psychique est en fait un signal d'alerte de notre corps et de notre esprit pour changer des choses dans notre vie.
Adopter un mode de vie sain : pratiquer un sport, une activité de relaxation (méditation, yoga…), respecter ses cycles de sommeil et manger de façon équilibrée peuvent être un premier rempart contre la dépression.
SE CONCENTRER SUR SA RESPIRATION
Prendre le temps de s'asseoir, le dos droit, d'inspirer et d'expirer par le nez. Écoutez votre respiration et remarquez comme elle change votre corps : la chaleur aux narines, la poitrine et le ventre qui se gonflent et dégonflent.
Les causes de la fatigue nerveuse ou psychique sont extrêmement nombreuses et souvent difficiles à mettre en évidence. Elle est souvent la conséquence de circonstances socio-environnementales éprouvantes (vie familiale, travail, surmenage intellectuel et physique, stress...).
Faire des mouvements répétés. Pour retrouver calme et clarté d'esprit, il faut éviter de se concentrer sur son émotion et se décentrer d'elle en occupant son cerveau autrement. Faire le ménage, du tricot, de la peinture, etc. permet de mettre ses émotions en pause pour se focaliser sur la répétition du geste.
Une mauvaise alimentation, des repas trop copieux le soir avant de dormir ou un mauvais rythme de repas peuvent augmenter le risque d'insomnies.
Le burn out se traduit d'abord par des signes physiques : fatigue permanente, mal de dos, insomnies, migraine, maux de ventre, infections fréquentes, etc.
Une personne qui souffre de burn-out est disposée à travailler, mais elle n'en a pas l'énergie. Dans le cas d'une dépression, la personne a de l'énergie, mais elle n'a pas envie de travailler. Une personne qui souffre de burn-out est active le matin, mais apathique l'après-midi.
psychiques profondes mais également parce que l'on a oublié que le corps a aussi des limites. Si c'est l'esprit qui “lâche” en premier, la dépression complique le burn-out. Si c'est le corps, c'est une fatigue sans fond que l'esprit et la volonté de l'individu ne peuvent combattre facilement.
L'insomnie et le manque de sommeil sont liés à des difficultés d'endormissement, et à des réveils nocturnes répétés, causés par le stress, les pensées négatives, l'anxiété et la souffrance mentale. Il arrive aussi qu'un état dépressif génère un besoin excessif de sommeil (hypersomnie).
On part généralement du principe qu'en cas de fatigue dépressive, il est préférable de recourir à des antidépresseurs stimulants de type ISRS (inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine) et IRSN (inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline).