Elle se traduit par une fatigue, une sensation de faim, une irritabilité, des sueurs, des maux de tête, une vision floue, une pâleur et elle peut s'accompagner d'une baisse de la conscience.
Lorsque la syncope survient, il est recommandé de s'allonger immédiatement quelque soit l'endroit, de surélever les jambes pour permettre une meilleure circulation du sang jusqu'au cœur et de contrôler sa respiration pour éviter l'hyperventilation.
Nausées, vertiges, visage pâle, vision trouble, suées, assèchement de la bouche, bouffées de chaleurs, bourdonnement auditif, affaiblissement général... Lorsqu'une personne est victime d'un malaise vagal, il est important de surélever ses jambes afin d'oxygéner le cerveau pour rétablir l'équilibre du système cardiaque.
Symptômes d'une syncope
Le malaise peut parfois être caractérisé par différents signes avant-coureurs : sueurs, bourdonnements dans les oreilles, vision floue, palpitations, oppression respiratoire... Il se manifeste par une pâleur, des vertiges, d'une sensation de faiblesse et un évanouissement brutal.
La cause plus fréquente est la syncope vasovagale caractérisée par une chute de pression avec un ralentissement subit du cœur. Ce type de syncope est souvent déclenché par une douleur ou un choc émotif surtout lorsque l'individu est déshydraté et debout pendant une longue période de temps.
Qu'est-ce qu'une syncope ? A la différence d'une lipothymie, qui est plutôt un simple malaise, un évanouissement, ou une syncope, correspond à une vraie perte de connaissance brutale, avec ou sans signes annonciateurs.
Différence avec la syncope ou le malaise vagal
► La syncope correspond à un malaise brutal, de courte durée, accompagné d'une perte de connaissance. ► Le malaise vagal peut, lui aussi, entraîner une perte de connaissance. Il est causé par une stimulation trop importante du nerf vague.
Syncope : définition
Il existe 3 types de syncopes : Réflexes (syncopes vasovagales, par hypersensibilité du sinus carotidien ou situationnelles) ; Hypotension orthostatique (médicaments, alcool, etc.) ; Cardiaques (arythmies, cardiopathies).
Heureusement, elles sont souvent dues à des causes bénignes. Mais s'il s'agit d'une syncope récidivante, il est indispensable de consulter un médecin généraliste, puis un cardiologue, car presque 3/4 des syncopes récidivantes sont d'origine cardiaque", précise le Dr Kouakam.
Elle se traduit par une fatigue, une sensation de faim, une irritabilité, des sueurs, des maux de tête, une vision floue, une pâleur et elle peut s'accompagner d'une baisse de la conscience. Pour corriger l' hypoglycémie , la personne doit consommer du sucre sans attendre (morceaux de sucre, boisson sucrée...)
L'évanouissement (syncope) est une perte de conscience brève et soudaine durant laquelle la personne tombe par terre ou s'affaisse dans une chaise et puis redevient consciente. La personne est immobile et molle et a généralement froid aux jambes et aux bras, un pouls faible, et une respiration peu profonde.
L'infarctus du myocarde survient lorsqu'une plaque se détache, puis se déplace et s'immobilise dans une artère coronaire. Un caillot de sang se forme autour de la plaque et interrompt l'apport de sang, privant ainsi le cœur d'oxygène. Cela entraîne la destruction d'une partie plus ou moins étendue du muscle cardiaque.
La perte de connaissance peut survenir dans toutes les positions (debout, couché, assis). Le plus souvent le retour à la conscience est progressif avec passage par un état d'obnubilation.
"Certaines personnes peuvent exprimer leur stress par un malaise vagal. Le stress devient problématique quand il est chronique et provoque un épuisement. Et un phénomène vagal peut survenir. Un malaise va être ressenti comme très inquiétant et aller jusqu'au malaise vagal.
Il faut consulter en urgence si : Perte de connaissance complète, même très brève. Répétition des malaises. Existence de convulsions.
Pour traiter les troubles du rythme, on utilise des dispositifs implantés dans l'organisme : stimulateur cardiaque (pacemaker) en cas de rythme trop lent (bradycardie) ou défibrillateur en cas de rythme trop rapide (tachycardie).
Les signes avant-coureurs de l'arrêt cardiaque
Lorsque la cause est un infarctus du myocarde, le sujet peut présenter, dans les jours ou les heures qui précèdent, une douleur thoracique prolongée pouvant s'étendre jusqu'aux bras, une sensation d'oppression, de serrement voire d'écrasement.
une tension artérielle supérieure à 140 mm/Hg ; la présence d'un antécédent familial d'infarctus du myocarde ; un excès pondéral (IMC>25)
Précédée d'un malaise ou bien brutale, la perte de connaissance n'est pas obligatoirement grave, mais par sécurité, des gestes sont à pratiquer.
Si la victime s'est évanouie ou vomit au cours d'un malaise, la placer en position latérale de sécurité : le corps doit être sur le côté avec la jambe supérieure croisée pour stabiliser la personne et la bouche ouverte tournée vers le bas.
D'après leurs conclusions, un patient qui prend un médicament à base de diclofénac, comme c'est le cas du Voltarène, a 20 % plus de risques de faire une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral (AVC) ou d'avoir de l'arythmie qu'un patient qui prend du paracétamol ou de l'ibuprofène.
Chez les patients victimes d'une hémorragie intracérébrale, la pression artérielle devrait être surveillée, traitée et maîtrisée de manière vigoureuse [niveau de preuve A] pour maintenir une pression artérielle cible constamment inférieure à 130/80 mm Hg [niveau de preuve B].