Ils apparaissent typiquement en période hivernale, lors de conditions météorologiques spécifiques : en cas de vent faible et, surtout, lors de phénomènes d'inversion thermique.
On parle de pic (ou d'épisode) de pollution de l'air lorsque est dépassé, ou risque d'être dépassé, le seuil d'information et de recommandation ou le seuil d'alerte définis par la réglementation nationale pour les quatre polluants atmosphériques suivants : particules de taille inférieure à 10 micromètres (PM10), ozone ...
Utilisez des purificateurs d'air intérieur de haute qualité pour filtrer jusqu'à 99.97% des particules fines en suspension de 0.1 micromètres et autres polluants, c'est une technique très efficace ; La pollution intérieure peut aussi venir des fumées dégagées par l'utilisation d'une cuisinière à gaz.
S'il s'agit d'une pollution accidentelle (ex : déversement d'hydrocarbures dans un cours d'eau), il convient de prévenir en priorité la gendarmerie, la police nationale et/ou les pompiers ainsi que la mairie de la commune concernée.
Les particules fines sont une catégorie de particules en suspension dans l'air ambiant, d'un diamètre inférieur à 2,5 microns. À l'intérieur de cette catégorie dite PM 2,5 (de l'anglais Particulate Matter), on distingue en outre les PM 1 au diamètre inférieur à 1 micron dites ultrafines.
Selon cet inventaire, les transports sont la première source de gaz à effet de serre en France métropolitaine (29,7 % des émissions en équivalent CO2 en 2017), devant l'industrie et le secteur tertiaire (25,8 %) ou l'agriculture (18,9 %).
Le secteur énergétique
La production d'énergie et d'électricité est la championne des secteurs polluants. Elle est à l'origine de 31,5 % des émissions de GES.
Privilégiez les vaporisateurs aux bombes aérosols (laque, désodorisants, etc produisent des polluants. Limitez l'utilisation des désodorisants d'intérieurs, les encens et les bougies qui produisent de nombreux composés. Aérez votre maison, renouvelez l'air. Pendant un pic d'Ozone préférez une aération le matin.
Les polluants dans l'atmosphère peuvent être d'origine naturelle (ils sont alors émis par la végétation, l'érosion du sol, les volcans, les océans, etc.) ou d'origine anthropique, c'est-à-dire qu'ils sont "émis" par les activités humaines.
Les sources humaines de pollution atmosphérique comprennent les activités qui reposent sur l'utilisation de combustibles à base de carbone (par exemple, le transport, les véhicules hors route et l'équipement mobile, ainsi que la production d'électricité), les procédés industriels comme ceux liés à la production de ...
On distingue deux grands types de particules fines : Celles dont le diamètre est inférieur à 2,5 microns c'est-à-dire moins de 2,5 micromètres. Elles sont les plus toxiques car elles peuvent pénétrer profondément dans les poumons. On les nomme PM2,5 .
Les effets sur la santé
Une dégradation de la fonction ventilatoire : baisse de la capacité respiratoire, excès de toux ou de crises d'asthme. Une hypersécrétion bronchique. Une augmentation des irritations oculaires. Une augmentation de la morbidité cardio-vasculaire (particules fines).
Les principales sources anthropiques sont la combustion de gazole et d'essence des véhicules automobiles, les combustibles domestiques solides (charbon, lignite, biomasse), les activités industrielles, le traffic automobile, les activités agricoles ou minières, les travaux d'excavation.
Selon la carte de la concentration moyenne en particules fines en France métropolitaine en 2007-2008, fournie dans son étude par Santé Publique France, le sud de l'Auvergne, ainsi que les zones montagneuses comme les Pyrénées et les Alpes, sont les trois endroits où la pollution est la moins importante.
Avec un taux de particules fines (PM2,5) de seulement 5,6 microgrammes par mètre cube, Pau est la première ville française du classement établi par l'Agence européenne pour l'environnement.
Les effets de la pollution de l'air sur la santé observés suite à une exposition de quelques heures à quelques jours (exposition aiguë, dite à court terme) sont les suivants : irritations oculaires ou des voies respiratoires, crises d'asthme, exacerbation de troubles cardio-vasculaires et respiratoires pouvant conduire ...
D'abord, il est conseillé d'aérer très tôt le matin ou très tard le soir, afin de ne pas faire entrer chez vous les polluants extérieurs. Ensuite, il faut éviter au maximum la proximité des grands axes routiers – notamment si vous promenez bébé en poussette.