2 avril 1814: le Sénat prononce la déchéance de Napoléon. 4 avril 1814: sous la pression des maréchaux, abdication de Napoléon. 6 avril 1814: abdication de Napoléon sans conditions. 20 avril 1814: les adieux de Fontainebleau.
Tous s'accordent pour affirmer que la mort de Napoléon est d'origine naturelle ; il serait décédé des conséquences d'un ulcère perforé à l'estomac.
Après son retour de l'île d'Elbe, Napoléon affronte une coalition anglo-prussienne entre les villages de Waterloo et Mont-Saint-Jean, en Belgique. Face aux troupes du duc de Wellington et du maréchal Blücher, son armée s'incline. Le 18 juin 1815 signe ainsi la fin de l'épopée napoléonienne.
La première abdication de Napoléon Ier est un moment de l'Histoire de France qui voit l'Empereur des Français contraint, en avril 1814, de quitter le pouvoir à la suite de sa défaite militaire après la campagne de France et l'invasion alliée.
Le 2 septembre 1870 marque la fin d'une ère. Ce jour là, l'empereur Napoléon III capitule à Sedan face à l'armée prussienne. Les milliers de morts, les larmes de l'Empereur, la fureur d'Eugénie…
Le 18 juin 1815, Napoléon Bonaparte perd une bataille décisive dans une petite commune belge, nommée Waterloo. Devenue aujourd'hui un terme générique, les causes de cette défaite restent pourtant en grande partie méconnues. C'est la mère de toutes les batailles, mais de toutes les batailles perdues.
Mort de Napoléon I. La mort de Napoléon Ier survient le 5 mai 1821 à Longwood sur l'île de Sainte-Hélène, durant son exil, à l'âge de 51 ans. Elle est due à un cancer de l'estomac, résultant d'une aggravation d'un ulcère.
Dans cette commune belge, Napoléon aurait été doublement trahi le 18 juin 1815. D'abord par ses généraux, Ney et Grouchy en tête. Ensuite par la météo : une pluie diluvienne avait transformé en bourbier le champ de bataille, déroutant son artillerie. Que n'a-t-on écrit pour justifier cette déroute historique.
Premier Empire : régime politique installé en France par Napoléon I er entre 1804 et 1815.
Napoléon Bonaparte est un des personnages politiques français les plus connus dans le monde. Certains le célèbrent comme un grand conquérant et un grand réformateur. D'autres critiquent son autoritarisme et le fait qu'il ait détruit les idéaux de la Révolution française.
Des précipitations intenses ont contribué à la déroute de l'armée napoléonienne à Waterloo, en 1815. Des pluies pas tout à fait dues au hasard, selon l'étude que vient de publier un chercheur britannique. Nous sommes le 18 juin 1815 à Waterloo, dans l'actuelle province du Brabant wallon, en Belgique.
Le 5 mai, à 4 h du matin, il prononce avec peine ses derniers mots : « À la tête de l'armée. » À moins que ce ne soit : « France… mon fils… armée… » On l'entend à peine avant qu'il ne plonge dans le coma. Le mourant inspire la pitié.
Pourquoi Napoléon n'a jamais déménagé ? Parce qu'il avait un Bon Appart !
Lors du désastre de la campagne de Russie, des mécontents deviennent de plus en plus nombreux en France. La France est ensuite envahie et l'empire napoléonien vit ses derniers jours. Napoléon est déchu par le Sénat le 3 avril 1814 et est exilé, par les Alliés, sur l'île d'Elbe pendant trois cents jours.
Le Second Empire fut englouti par la défaite militaire de 1870. Le désastre aboutit au déchirement de la nation, avec la Commune et l'annexion de l'Alsace-Moselle.
Le Premier Empire s'achève le 22 juin 1815, suite à la défaite de l'Empire français à Waterloo. Face à cette nouvelle défaite, les maréchaux forcent Napoléon Ier à abdiquer. Celui-ci est contraint de s'exiler sur l'île de Sainte-Hélène. Le 20 novembre 1815, le second traité de Paris est signé.
Louis-Napoléon Bonaparte est d'abord président de la République puis, la dignité impériale et héréditaire étant rétablie en novembre 1852, il devient l'empereur Napoléon III. Le Second Empire s'achève peu après la défaite de Sedan contre la Prusse le 2 septembre 1870.
Napoléon a fui, échappant de peu aux avant-gardes prussiennes. Wellington, dont les troupes sont épuisées, laisse aux Prussiens la tâche de poursuivre. Il rentre à son quartier-général, y rédige son rapport et donne à la bataille le nom de l'endroit où il se trouve : Waterloo.
UN BOURBIER MILITAIRE. À l'aube du 18 juin, Wellington et Napoléon organisèrent leurs forces. Wellington installa son quartier général au Mont-Saint-Jean sur la route de Bruxelles, non loin de la ville de Waterloo. Il déploya la majeure partie de ses 68 000 soldats le long d'une crête de quatre kilomètres de long.
Alexandre Ier devient, en quelque sorte, l'arbitre de l'Europe. L'intervention espagnole de Napoléon entraîne l'affaiblissement définitif de la Grande Armée, amputée de trois corps, de la garde et d'une partie de la réserve de cavalerie. L'Empereur laisse en Allemagne moins de 100 000 hommes entre Elbe et Oder.
Après la chute de l'Empire, la monarchie est restaurée avec Louis XVIII qui est remis sur le trône en 1815, après son bref passage en 1814 lorsque Napoléon Ier a abdiqué. À sa mort en 1824, Charles X lui succède ; il s'agit du dernier membre des Bourbons sur le trône de France.
Le gouvernement britannique avait décidé de le faire prisonnier et de le déporter sur l'île Sainte-Hélène, en plein océan Atlantique, pour qu'il ne puisse plus « nuire au repos du monde ». Il meurt le 5 mai 1821 .
C'est en multipliant les épopées militaires victorieuses puis en s'autoproclamant premier consul par un coup d'État que Napoléon a acquis la légitimité pour être sacré empereur en 1804.