Jusqu'au XVe siècle, les vêtements féminins étaient très serrés aux manches et à la taille. Par-dessus leur robe, les femmes portaient une cotehardie (robe du dessus), puis une sorte de chasuble (robe sans manche). Leurs cheveux étaient voilés dans une guimpe, tissu drapé sur la tête et autour du cou.
Chaque jour, le paysan enfile ses braies : culotte des hommes du Moyen Age, sa tunique, puis passe une cape de laine ou de lin. Pendant la saison froide, il ne sort jamais sans son chaperon : sorte de cagoule, et ses houseaux : longues chaussures souples, lacées, qui protègent les jambes de la boue et de la pluie.
À l'époque victorienne, les sous-vêtements féminins se composaient d'une chemise, de culottes, de bas, d'un corset et de jupons. En plus, les femmes riches pouvaient aussi porter une crinoline, des coussinets, des camisoles ou des corsages.
Les chevaliers portaient l'armure, un haubert, une cotte de mailles (une sorte de tunique faite d'une multitude de petits anneaux de fer). Les paysans fabriquent leur vêtements eux-même avec du lin, de la laine ou du chanvre. Les nobles et les riches s'abillaient avec des tissus de meilleure qualité.
Les vêtements pour hommes
Les hommes portaient une tunique ou cotte, longue ou courte. Une de ces cottes, nommée cyclas, n'était qu'un morceau de tissu rectangulaire avec un trou pour la tête. Au fil du temps les côtés ont été cousus ensemble pour faire une longue tunique sans manches, la chainse.
Lorsque le chevalier était pris d'une envie pressante, il se "lachait" sans scrupule. L'urine était conduite par la capote, puis par le tuyau puis arrivait dans la vessie fermée. De temps en temps, il appelait son écuyer. Celui-ci alors, vidait par terre la vessie de porc et on repartait en guerre.
Une courte cape avec capuchon peut recouvrir les paysans l'hiver. Jusqu'au xiv e siècle, la femme du peuple semble avoir la tête et les épaules recouvertes d'un voile. D'une façon générale sur une chemise, les paysannes portent une cotte à manches longues et un surcot sans manches qui la recouvre entièrement.
L'enfant gaulois (n°2) porte une tunique tissée et des braies qui sont une sorte de pantalon. La jeune fille du Moyen Âge (n°3) porte une robe longue et ample, des jupons et des chaussures appelées poulaines. Le jeune garçon noble du XVIIe siècle (n°4), portant chapeau, est vêtu d'un habit et d'un haut de chausses.
La silhouette féminine du début des années 1940 a les épaules larges, la femme porte des robes raccourcies, à la taille serrée et ceinturée, et à manche ballon. Petit à petit, les gros manteaux sont abandonnés pour laisser place à la veste, telle celle des hommes, souvent portée sur plusieurs couches.
La laine donnait des tissus (les langes) qui servaient à confectionner des vêtements. ; Les Génois produisaient le velours. Le lin servait à la création des linges c'est à dire des draps ou des vêtements.
1. Vêtement de forme simple, tombant des épaules aux genoux ou aux pieds, souvent sans manches et serré à la taille par une ceinture, servant de chemise ou de vêtement de dessus et porté par les deux sexes.
La chappe est la cape ou manteau de couronnement dont était revêtu le futur monarque au cours du sacre des rois de France. Un nouveau manteau était créé à l'occasion de chaque couronnement.
Les chaussures au Moyen-âge sont très raffinées pour les nobles et sont confectionnées en cuir très souple. La poulaine est, au XVème, la chaussure de préférence pour les classes supérieures. De forme allongée et pointue, elles pouvaient mesurer jusqu'à 50 cm, selon la classe sociale.
L'armure se compose d'un heaume, qui n'est autre que le casque pointu du chevalier, de cuirasses, d'une cotte de mailles descendant jusqu'aux genoux, appelée aussi haubert, et d'un gorgerin pour préserver son cou. Le cheval est lui aussi protégé intégralement par une barde et par un chanfrein qui préserve sa tête.
Le corps de jupe et le bas de jupe sont toujours de couleurs claires et à motifs alors que la robe (par-dessus la jupe) est noire. Celle-ci possède des mancherons fendus et noués au coude sur la manche du corps. La robe s'ouvre sur la jupe ou cotte. Cette dernière est parfois relevée sur la cotte de dessous.
Un vêtement est un article d'habillement servant à couvrir une partie du corps humain. Il est le plus souvent en tissu mais les matériaux utilisés pour sa fabrication tendent à se diversifier au fil des siècles.
Les vêtements pouvaient être colorés avec de l'ocre ou décorés avec des perles, des ossements ou des dents animales (parures). Les Aurignaciens découpaient les peaux animales, les tannaient et les reliaient entre elles avec des tendons musculaires ou des fibres végétales séchées.
En communication, il y a celle qui est non verbale et qui transmet un message très fort. Le « mal habillement » des jeunes filles de nos jours ne serait-il pas une autre façon de communiquer, de lancer un message et d'attirer l'attention des parents, des aînés sur leurs préoccupations ?
La poulaine est un type de chaussure qui date du Moyen Age. Sa particularité est son extrémité très pointue et allongée. Plus la poulaine est longue, plus cela veut dire que l'on appartient à une classe sociale élevée.
L'archéologie, elle, met en évidence deux grandes périodes : le premier Moyen Âge (Ve-XIe siècle), appelé aussi haut Moyen Âge. Cette période débute par un très haut Moyen Âge (Ve-début VIIIe siècle) le second Moyen Âge (XIIe-XVIe siècle), ou bas Moyen Âge.
« Un chevalier ne doit pas faire par peur de la mort quelque chose qui puisse lui être imputé à déshonneur, mais il doit davantage redouter la honte que la mort. »
En matière de devoirs, les chevaliers doivent protéger les orphelins, les veuves et l'Eglise. Les chevaliers doivent faire tout ce qu'ils peuvent pour que ces derniers ne soient pas attaqués ou ne meurent pas de faim. L'Eglise interdit aux chevaliers de se battre le Lundi, le Samedi et le Dimanche.
Résumés. Le destrier était le cheval de guerre et de tournoi du chevalier. On ne saurait cependant relativement que peu de choses sur ce cheval au Moyen Âge, sans les très nombreuses représentations, qui, du XIe au XVIe siècle, en font un élément omniprésent de l'art militaire médiéval.
La coule, aussi appelée cuculle (du latin cucullus), est un vêtement à capuchon porté par les moines.