Tenir son guidon sur le bas du cintre peut être fatiguant pour le dos, mais vous vous habituerez avec le temps. Lorsque vous voulez sprinter vous pouvez passer en danseuse tout en gardant votre prise sur le bas du cintre. Rappelez-vous de garder les coudes rentrés.
Une bonne position du guidon implique d'avoir un angle à l'épaule autour de 90 degrés lorsque vous avez les mains sur les cocottes. Cela permet d'être stable et confortable, avoir les coudes relâchés et une meilleure absorption des chocs.
En général, vos doigts et vos mains s'engourdissent parce qu'ils ne reçoivent pas une bonne circulation sanguine. Assurez-vous donc que vous roulez avec les coudes détendus et légèrement pliés. Rouler avec les bras tendus met beaucoup de poids dans vos mains et sur votre guidon.
Dans ce cas, les mains sont placées sur le dessus du guidon, juste à côté de la potence. Le principal avantage de cette prise est le confort : en plaçant les mains plus près du corps, le dos reste plus droit et le torse a un angle moins prononcé que la hanche. D'autre part, l'aérodynamique est évidemment bien pire.
Ainsi, si nous voulons pédaler dans une position confortable et équilibrée dans laquelle nous avons un bon contrôle dans les descentes et du confort dans les montées ou sur le plat, la hauteur du guidon doit être entre 2 cm et 5 cm plus basse que la selle.
Quelle est la bonne position des mains sur le volant ? Vous entendrez souvent que la meilleure pour maîtriser son véhicule, c'est de mettre les mains sur le volant à 9h15 de la même manière que les aiguilles sur une montre. De cette manière, le conducteur agit avec plus de précision et de force sur le volant.
La direction se fait par guidon, orientant la roue avant, et la propulsion se fait en poussant le sol avec les pieds.
Vous pouvez le faire de deux façons. Il est possible de déplacer un ou plusieurs entretoises en haut du point de fixation de votre potence ou vice versa. Une autre option est de tourner la potence, mais ceci demande plus d'effort. Desserrez l'embout de cintre sur votre potence à l'aide d'une clé hexagonale.
Comme en moto, il faut privilégier le frein avant. On parle souvent d'une répartition de 70% de puissance sur le frein avant et 30% sur le frein arrière. Tout ceci est lié au transfert des masses. En cas de freinage, le poids du vélo et de son coureur est transféré sur l'avant du vélo.
Quelle est la distance entre la selle et le guidon ? Un autre facteur important, lié à la hauteur de la selle du vélo, est l'écart entre la pointe du siège et le centre du guidon. Pour référence générale, vous devez laisser entre 45 et 65 centimètres.
Réglage au niveau du hauteur
La position de la selle et du guidon doit être en harmonie avec la position de conduite du cycliste. Plus le guidon est haut, plus vous aurez une position confortable et équilibrée, le buste étant plus droit. A l'inverse, plus le guidon sera abaissé et plus vous aurez de prise au vent.
La relaxation : allongez-vous sur le sol en posant vos pieds et vos mollets sur l'assise d'une chaise. Reposez le votre tête sur un oreiller et plaquez votre dos au sol. Détendez vos muscles et respirez profondément, cette posture est un moyen très efficace pour soulager les tensions du dos.
Un cintre affiche la bonne taille lorsque, mains sur les poignées, les bras tendus sont parallèles. Selon le type de pratique, on règlera sa hauteur de cintre très bas pour un coursier, 8 à 12cm, entre 8 et 4 cm pour un cyclosportif et entre 0 et 6 cm pour un usage tourné vers le confort.
Le reach d'un vélo définit ainsi la distance qui éloigne le cintre du boitier de pédalier. Plus le reach est important, plus on a la sensation d'un vélo « long/grand » qui offre de la place pour se mouvoir, jusqu'au moment où, trop allongé, c'en devient handicapant.
Comment fonctionne ce bloque guidon ? Très pratique et simple à utiliser, il vous suffit de positionner l'outil sur votre vélo. Ensuite, attachez la sangle velcro comme indiqué dans la notice d'utilisation. Donc, si vous souhaitez bloquer votre cintre et votre roue avant, cet accessoire est indispensable.
La potence à plongeur permet de régler la hauteur du guidon en étant plus ou moins enfoncée dans le cylindre de direction. Pour procéder au réglage, placez-vous devant le vélo en bloquant les roues avec les jambes. Desserrez la vis située en haut de la potence pour débloquer le plongeur.
Pour le réglage de hauteur de potence, ajoutez ou enlevez des entretoises. Différentes tailles existent : 5, 10 et 20 mm. La hauteur maximum d'entretoise est de 30 mm pour éviter toute déformation du poste de pilotage lors de mises sous contrainte.
Si le fil est aligné sur l'axe de la pédale, c'est que le recul de selle est bon. S'il tombe devant, il faut reculer votre selle. Si le fil tombe derrière l'axe, avancez-la. A noter qu'un bon recul de selle permet également d'avoir une meilleure répartition de votre poids sur le vélo.
Les vélos électriques sont idéaux pour les plus de 60 ans qui ont peu pratiqué ces dernières années. En revanche, si vous êtes un cycliste assidu, continuez à grimper à la pédale aussi longtemps que vous le pouvez. Tant que vous vous entretenez, votre niveau ne va décliner que très lentement.
La vitesse moyenne à vélo chez les professionnels se situe généralement dans une fourchette comprise entre 40 et 45 km/h. Sur des distances qui dépassent régulièrement les 200 kilomètres. L'effet «peloton» explique pour partie ces moyennes stratosphériques.
Pour savoir s'il est correctement réglé, vos bras doivent être semi-fléchis et votre dos doit être légèrement décollé du siège lorsque vos mains sont placées sur le volant (en position 9h15 comme sur une horloge).
Réglage du volant
Lorsque vous tenez et tournez le volant, vous devez avoir les bras légèrement fléchis au point le plus éloignés, c'est-à-dire au sommet du volant. Des bras trop tendus rendront difficiles l'utilisation du volant, il en est de même si on se trouve trop près.
Lorsque vous tournez le volant, vos épaules doivent rester collé au dossier du siège. Dans une auto de course, pensez à effectuer tous les réglages du poste de pilotage avec combinaison, gants, et casque. Sans cela, la position risquerait de ne pas être adapté lorsque vous serez équipé.
La méthode la plus connue consiste à mesurer la hauteur de l'entrejambe et de multiplier cette valeur par 0,885. Le résultat obtenu vous donnera la hauteur théorique à laquelle vous devez régler votre selle.