L'agoraphobie, y compris la peur de sortir de chez soi, peut être un symptôme découlant d'un trouble panique. Si vous faites des crises d'angoisse ou des attaques de panique, un psychiatre peut vous prescrire certains médicaments, comme des anxiolytiques, pour vous aider à calmer votre anxiété.
Causes de la clinophilie
La clinophilie est un symptôme très peu spécifique d'une pathologie, qui peut se retrouver dans plusieurs maladies psychiatriques. Symptôme quasi constant dans la dépression, la clinophilie est alors liée à un manque d'élan vital, qui empêche de faire des choses, et de sortir de chez soi.
La clinophilie – ou le fait d'avoir envie de rester dans son lit - est un symptôme peu connu de certains troubles psychiatriques. Il peut notamment être révélateur d'une dépression ou d'une schizophrénie.
Il s'agit de la dépersonnalisation, un des symptômes fréquents de l'anxiété. Elle se caractérise par l'expérience prolongée ou récurrente d'un sentiment de détachement et d'une impression d'être devenu un observateur extérieur de son propre fonctionnement mental ou de son propre corps.
Se sentir vide est associé à la tristesse, à la peine. Ce sentiment est souvent dû à une rupture du quotidien, comme nous l'explique Joëlle DENOYER, notre psychologue. On peut alors ressentir l'abandon, la solitude et une sensation de rejet. Un sentiment qui se situe dans le ventre et le thoraxe.
La solitude n'est pas une maladie, mais plutôt le symptôme d'une difficulté à s'adapter à son environnement. Cela peut parfois résulter d'un problème de santé mentale préexistant. Dépression, anxiété, troubles du sommeil ou bipolarité, peuvent se manifester également par un sentiment profond de solitude.
Rester à la maison a des conséquences négatives sur notre bien-être psycho-physique. Selon une étude publiée dans la revue "Current Biology", cette habitude peut entraîner une augmentation du risque d'anxiété et d'insomnie.
L'envie de rien, le manque d'appétit, la sensation désagréable de perdre le sens de son existence, tout cela traduit un mal de l'être. Ce dernier consiste en l'existence d'une émotion pénible, dépressive, qui domine le sujet.
Ne pas être chez soi peut finalement être source d'angoisse pour les agoraphobes. L'agoraphobie est souvent associé à un trouble panique, c'est-à-dire un trouble de l'anxiété qui apparaît soudainement et déclenche des symptômes forts (tachycardie, transpiration, étourdissements, etc.).
Lien entre les deux. En un mot, l'anxiété se résume donc à la peur ou à l'angoisse, tandis que la dépression, elle, est plutôt associée au sentiment de déprime ou de tristesse.
Un stress permanent peut entraîner des insomnies et des difficultés à bien dormir. Le sommeil non réparateur va donc affaiblir votre corps. Comment savoir quand votre corps ne supporte plus le stress ? À partir du moment où vous développez des séquelles d'un épuisement mental et physique que l'on nomme le burn out.
Ainsi les personnalités anxieuses sont dans l'anticipation constante : « que va-t-il se passer ensuite ? ». Ces personnes ont tendance à toujours penser que le pire est probable ou du moins plausible et s'entourent alors d'un maximum de précaution pour éviter les difficultés auxquelles elles ont songé.
Un risque de démence multiplié par deux
Le verdict est sans appel : les personnes, "à faible niveau d'études", qui passent plus de 9 heures par nuit au lit doublent leurs risques de développer la maladie d'Alzheimer ou d'autres troubles neurodégénératifs par rapport au groupe témoin.
Pour renforcer son système immunitaire
Ils servent ainsi à protéger l'organisme contre les germes. Profiter du plein air tous les jours renforcera la capacité naturelle de ton organisme à combattre les éventuelles maladies ou infections. Une bonne raison d'y passer plus de temps !
Raisons psychologiques : par exemple, vous avez dû prendre un seul appartement après une séparation, un décès, un divorce ; vous avez dû déménager suite à une transition ou un changement de votre situation professionnelle (chômage etc.).
Et le manque de joie de vivre c'est aussi votre corps qui vous dit que votre alimentation ne lui convient pas. D'ailleurs, peut-être souffrez-vous aussi d'autres symptômes liés à votre alimentation ? Comme de la fatigue après les repas, digestion difficile, flatulences, transit difficile, problèmes de peau, etc.
Une dépression souriante, par définition, est une dépression qui est imperceptible pour votre entourage parce que vous semblez heureux. Toutefois, elle peut être très douloureuse car vous souffrez intérieurement en luttant pour cacher vos symptômes dépressifs.
Le premier signe de la dépression est bien sur une profonde tristesse, elle est particulièrement douloureuse, incompréhensible et envahissante. Elle peut s'accompagner de pleurs inexpliqués et d'un sentiment de désespoir, de l'impression que tout va mal, que tout est noir, et que rien de positif ne peut nous advenir.
Sortir de sa zone de confort permet aussi de retrouver l'excitation liée à la découverte et l'apprentissage des autres et de soi-même. Cela stimule donc votre curiosité. En cela même, sortir de sa zone de confort évite l'ennui et la monotonie.
Le Nesting, une question d'équilibre
Se réfugier chez soi, cela permet de se ressourcer, d'apprendre à être bien avec soi-même et de profiter des petits plaisirs de la vie. « Nos cellules et nos organes ont besoin de repos pour se régénérer. Un certain degré de plaisir est nécessaire.
C'est parce que nous avons tous besoin d'un contact direct avec la nature et les éléments, pour grandir, comprendre le monde, développer notre intelligence, s'épanouir et cultiver notre émerveillement jusqu'à la fin de notre vie, qu'il faut sortir tous les jours !
Des études ont montré que ce sentiment d'isolement peut entraîner de multiples problèmes de santé chroniques, tels que les maladies cardiaques, les maladies pulmonaires, l'hypertension, les accidents vasculaires cérébraux et les troubles métaboliques comme l'obésité.
La personne qui en souffre devient moins active, ce qui crée un déconditionnement à la fois sur le plan physique, mental et social. La solitude augmente également le risque de trouble mental courant, comme la dépression, l'anxiété ou l'épuisement professionnel.