La sclérose en plaques n'est pas une maladie héréditaire. Cependant, il existe des facteurs génétiques favorables à son développement, sous l'influence d'autres facteurs (notamment environnementaux).
w. Les maladies infectieuses sont le fait d'un agent infectieux et peuvent être transmises par l'entourage, ce qui n'est pas le cas de la sclérose en plaques. En effet, la maladie ne peut pas être transmise d'une personne à l'autre. La SEP n'est donc pas une maladie contagieuse.
La sclérose en plaques est une maladie du jeune adulte, (la SEP est souvent diagnostiquée entre 25 et 35 ans) et une prépondérance féminine (3/4 de femme). La SEP touche aujourd'hui 120 000 personnes en France, dont 700 enfants. Trois mille nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année.
La Sclérose en Plaques est une maladie qui ne fait pas mourir. Elle réduit un petit peu l'espérance de vie. En moyenne, on peut dire que l'espérance de vie de l'ensemble des patients atteints de SEP est inférieure de 6-7 ans à la moyenne de la population générale.
La sclérose en plaques (ou SEP) est une maladie auto-immune (dysfonctionnement du système immunitaire) qui touche plus de 100 000 personnes en France. Elle se déclare généralement au début de l'âge adulte. Très handicapante, elle n'est en revanche pas mortelle.
À ce jour, aucun traitement ne guérit la sclérose en plaques. Un traitement de fond prévient les récidives des poussées dans les formes récurrentes-rémittentes. Les formes progressives sont difficiles à soigner. La rééducation est utile à tous les stades de la maladie.
Les compléments en vitamine D sont également un traitement naturel qui fonctionne pour lutter contre la sclérose en plaques. Cette vitamine a été prouvée pour être efficace contre les troubles neurologiques. Elle aide le patient au maintien de l'organisme, contribuant ainsi à lutter contre la maladie.
Une place importante sera donnée aux légumes et fruits, aux poissons gras, aux céréales complètes, aux corps gras riches en oméga 3. On préférera une alimentation bio autant que possible pour éviter les pesticides et leurs effets inflammatoires.
Maintenir une bonne hydratation (au minimum 1,5 litres d'eau par jour) Maintenir un apport en fibres alimentaires suffisant (légumes, fruits, céréales et pains complets) Maintenir un degré d'activité physique dans les limites de vos capacités.
La vitamine D est un nutriment essentiel qui suscite de plus en plus d'intérêt dans le contexte de la sclérose en plaques. Cette vitamine est présente sous deux formes : la D 2 et la D 3, respectivement l'ergocalciférol et le cholécalciférol.
Durant les poussées, elles prennent la forme de fourmillement, brûlure, décharges électriques. Par exemple, chez un patient, ce sera une douleur similaire à une sciatique, au bas du dos et le long de la jambe. Chez un autre, ce sera une gêne au niveau de l'œil, provoquée par une névrite optique.
Faiblesse musculaire, maux de tête, troubles du sommeil, dérèglement des sens, tremblements, mauvaise coordination… Dès l'apparition des premiers symptômes, prenez rendez-vous chez votre médecin traitant qui saura interpréter les signaux d'alerte et vous orienter vers un neurologue si votre état le nécessite.
La sclérose en plaques est une maladie inflammatoire du système nerveux central (cerveau et moelle épinière). Elle se caractérise par une attaque immunitaire d'une protéine, la myéline, gaine de protection des neurones facilitant le passage de l'influx nerveux.
Il n'est pas encore possible de guérir de la Sclérose en Plaques. Cependant, les chercheurs sont très actifs, les traitements se multiplient et suscitent beaucoup d'espoir chez les médecins et les patients.
Pratiquer des activités qui font du bien (yoga, relaxation, dessin, chant…), cultiver le lien aux autres et choisir de voir ce que l'on peut encore faire et non ce que l'on ne peut plus faire… Voilà les trois conseils qui me paraissent essentiels pour mieux vivre avec une SEP.
La cause de la sclérose en plaques est inconnue, mais une explication probable serait que les personnes sont exposées tôt dans la vie à un virus (peut-être un herpèsvirus ou un rétrovirus) ou à une substance inconnue qui déclenche d'une façon ou d'une autre l'attaque par le système immunitaire des propres tissus de l' ...
La migraine survient deux à trois plus souvent chez les personnes atteintes de SEP que chez le reste de la population. Alors que d'anciennes études démontraient que les migraines précédaient la SEP, de toutes nouvelles recherches établissent un lien entre les migraines et certains traitements pour lutter contre la SEP.
Du poisson pour les oméga-3
La myéline est une enveloppe composée principalement de lipides servant à protéger les fibres nerveuses. Pour pouvoir accomplir son rôle, elle doit disposer de bons gras, que l'alimentation peut lui fournir. Ainsi, les gras oméga-3 sont à privilégier.
Choisissez plutôt un régime alimentaire varié, riche en fruits et légumes et pauvre en graisses saturées. Tenez-vous-en aux viandes maigres et aux produits laitiers allégés. Chaque jour, vous aurez besoin de : 6 à 8 portions de produits céréaliers (une tranche de pain est une portion, un baguel est 2 portions);
L'IRM est l'examen de référence pour le diagnostic et le suivi de la sclérose en plaques. Il permet au neurologue de bien visualiser les lésions présentes dans le système nerveux central (cerveau et moelle épinière) et de repérer les régions cérébrales touchées par l'inflammation.
Lorsqu'il est carencé en vitamine D, l'organisme absorbe moins de calcium et de phosphate. Le calcium et le phosphate n'étant pas disponibles en quantité suffisante pour maintenir la masse osseuse, une carence en vitamine D peut entraîner un trouble osseux appelé rachitisme chez l'enfant ou ostéomalacie chez l'adulte.
Au cours de l'évolution, après une période de poussées, peut apparaître une a ggravation lentement progressive des symptômes en dehors des poussées. Lorsqu'elle survient, cette phase se produit généralement 10 ou 20 ans après le début de la maladie. On parle de forme secondairement progressive .
Pour résumer l'état des connaissances, il est possible qu'un déficit en acides gras oméga-3 affecte l'expression des gènes impliqués dans la myélination, ce qui suggère de conserver un bon niveau de consommation en poissons gras, voire huiles de poisson.