La cabine est pressurisée pour simuler une élévation de 1800 à 2400 mètres au-dessus de la Terre et votre sang absorbe moins d'oxygène à cette hauteur. Comme le savent tous les skieurs, cela mène à des étourdissements, de la somnolence et une perte au niveau de l'acuité cérébrale.
personnes ayant souffert récemment de troubles psychiatriques ; personnes souffrant de drépanocytose (selon avis du médein traitant) ; personnes ayant pratiqué la plongée sous-marine dans les 24 heures précédant le décollage ou ayant été victime d'un accident de décompression.
L'avion impacte le climat et accélère le réchauffement climatique notamment par les rejets de CO2 dus à la combustion de kérosène. Voyager sans prendre l'avion est une façon de se déplacer plus responsable, qui limite l'empreinte carbone de chaque individu.
L'instabilité et le confort dans l'hébergement
L'instabilité est l'une des principales raisons de la fatigue quand on part en voyage. En effet, la plupart d'entre nous veulent tellement faire d'activités dans l'endroit de destination, pour en profiter au maximum, que cela devient ingérable et pèse sur notre organisme.
On se sent fatigué
En effet, la quantité d'oxygène dans un avion est comparable à celle rencontrée à une altitude de 2 000 mètres en montagne. Notre sang absorbe moins d'oxygène à cette hauteur, c'est pourquoi on se sent fatigué, voire étourdi.
Demandez une couverture auprès de l'hôtesse pour éviter d'avoir froid. Essayez de surélever vos jambes avec votre bagage à main par exemple. En effet, une bonne circulation sanguine favorise le sommeil en vol. Vous pouvez aussi caler votre dos avec une couverture ou un coussin pour vous sentir plus à l'aise.
Il existe plusieurs degrés d'aviophobie, de l'anxiété modérée à la panique totale. Certaines personnes souffrant d'aviophobie ressentiront une forte appréhension qui commencera plusieurs jours avant le voyage puis qui sera à son apogée lors du décollage.
Le 9 janvier , le vol Sriwijaya Air 182 s'écrase en mer de Java peu après son décollage de Jakarta (Indonésie) entraînant la mort des 62 personnes à bord.
Le mal des transports
Pour atténuer ces symptômes, essayez d'obtenir une place au milieu de l'avion, là où les mouvements sont moins perceptibles. Allongez votre siège autant que possible et restez allongé sans bouger, la tête penchée en arrière. Évitez les repas trop copieux et l'alcool.
Statistiquement, vos chances d'avoir un accident à chaque fois que vous prenez l'avion, sont de 1 sur 12 millions (un accident pour 12 millions de vols). Soit 0,00001% de risque que ça vous arrive quand vous prenez l'avion. De plus on parle là de tout type d'accidents et pas uniquement des crashs !
Contrairement aux idées reçues, on ne grossit pas en avion, il faut s'alimenter. En revanche, éviter les féculents.
Les veines comprimées doivent pomper plus énergiquement pour faire refluer le sang des pieds vers le cœur. Le sang peut s'accumuler dans les jambes et les composants aqueux se diffuser dans les tissus en passant à travers la paroi veineuse. Résultat : les pieds et les jambes gonflent.
La baisse de la pression aérienne dans l'avion entraîne une production accrue de gaz digestifs, à l'origine des flatulences. Selon les médecins, il ne faut pas tenter de les retenir car cela peut être mauvais pour la santé.
Le décollage et l'atterrissage d'un avion peuvent causer un véritable stress et de la tension. Il peut alors être judicieux d'opter pour un vol sans escale, si vous avez le choix (et le budget) pour cela.
Si vous voulez ressentir le moins possible les mouvements et les turbulences de l'avion, la meilleure place sera au milieu de l'appareil au niveau des ailes. Cependant, cette place est la plus exposée en cas d'accident puisqu'elle se trouve au niveau des réservoirs.
Concernant les anxiolytiques, vous pouvez rendre visite à votre médecin traitant avant le vol afin de lui exposer votre problème. S'il juge cela opportun, il pourra vous prescrire des médicaments (de type alprazolam, Lexomil...).
Un avion ne peut pas tomber comme une pierre. S'il perdait ses moteurs, ou s'il était en panne d'essence, il pourrait planer plus d'une demi-heure sur plusieurs centaines de kilomètres !
Le vol par temps orageux génère souvent des turbulences anxiogènes à bord des avions. C'est surtout en phase de décollage et d'atterrissage que les nuages peuvent créer des turbulences mais, en altitude de croisière, un avion de ligne vole la plupart du temps au-dessus de la zone orageuse.
(C'est aussi la raison pour laquelle l'éclairage en cabine est tamisé avant un atterrissage de nuit, si jamais vous vous posiez la question). Deuxième raison : ouvrir le store de votre hublot permet à l'équipage de voir à l'extérieur.
Si la quantité de médicaments est importante, mieux vaut les mettre dans un sac à part, transparent, indique Valentine Cabanel. Les médicaments sous forme liquide doivent être déclarés à la compagnie aérienne et mis en soute comme les autres liquides" informe-t-elle.
Vous avez le mal de l'air, il est recommandé de prévoir des comprimés de Nautamine°® ou des granules homéopathiques Cocculine ® et de prévoir une place au milieu de l'avion, d'allonger votre siège autant que possible et de rester allongé la tête penchée en arrière en respirant profondément : éviter les repas copieux et ...