Si un cancer du côlon ou du rectum est diagnostiqué, un bilan sanguin évalue l'état général de la personne, mesure le taux de concentration d'un marqueur tumoral appelé ACE ( antigène carcino-embryonnaire) et, si besoin, procède à des analyses génétiques.
Habituellement, le cancer du côlon évolue silencieusement, parfois des années durant, avant de provoquer le moindre symptôme. Lorsque les symptômes apparaissent, il s'agit essentiellement de douleurs abdominales, d'une modification du transit intestinal et de la présence de sang dans les selles.
Colox® procure les avantages suivants: Il détecte de façon précise et fiable à la fois les polypes adénomateux et les stades précoces de cancer du côlon à partir d'une simple prise de sang.
Les premiers signes avant-coureur et symptômes du cancer du côlon sont essentiellement digestifs. On observe habituellement des crampes abdominales, des ballonnements, des gaz et des troubles du transit intestinal (épisodes persistants de diarrhées et constipations ). L'aspect des selles peut sembler anormal.
changements ou manifestations physiques : changement inhabituel d'un sein, perte de poids inexpliquée, nouveau grain de beauté ou modification d'un grain de beauté, apparition d'une grosseur ou d'un gonflement, voix rauque ou enrouée, difficultés à avaler, importantes sueurs nocturnes.
Le coloscanner, ou coloscopie virtuelle, est une technologie qui utilise les rayons X. Cette intervention indolore permet de visualiser le côlon par voie externe. Il n'est donc pas nécessaire d'injecter un produit de contraste iodé.
Le mal de ventre est le symptôme le plus fréquent dans le syndrome du côlon irritable. La douleur abdominale se caractérise par une sensation de spasme ou de crampe et se situe habituellement au niveau des fosses iliaques droite et gauche ou dans la région de l'ombilic.
Un scanner TAP (thoraco-abdomino-pelvien) pour visualiser toute la région abdominale (intestin, rectum, pelvis, thorax…). Le scanner TAP permet de rechercher la présence éventuelle de lésions suspectes au niveau du tube digestif ou des organes voisins.
Les biomarqueurs sanguins
La présence de marqueurs sanguins particuliers peut être recherchée. Il s'agit en général de protéines produites de manière anormalement élevéepar les cellules cancéreuses. Leur présence est simplement un indice pour le diagnostic, car elle peut également signer des pathologies non malignes.
Le cancer colorectal, qui touche le côlon, et le cancer de l'utérus ou cancer de l'endomètre peuvent eux aussi engendrer des douleurs lombaires de par leur localisation, bien que cela soit plus rare.
Pour le cancer du côlon :
Cette répartition varie avec l'âge : les cancers diagnostiqués à un stade précoce sont plus fréquents chez les 40-74 ans (48 %) alors que ceux de stade avancé le sont davantage chez les moins de 40 ans (38 %) et les plus de 74 ans (37 %). Tous ces résultats sont similaires pour chaque sexe.
Une douleur peut être ressentie dans les zones où le cancer est situé. La personne peut également avoir des effets secondaires liés aux médicaments. Une personne atteinte d'un cancer du côlon peut ressentir des douleurs abdominales et des douleurs à la pression.
Le cancer colorectal (ou cancers du côlon et du rectum) est un cancer du gros intestin qui peut être guéri s'il est détecté précocement.
Il est parfois aussi appelé cancer primitif occulte ou cancer d'origine primitive inconnue. Les médecins tentent de déterminer le siège primitif à l'aide d'examens et, souvent, ils réussissent à le trouver. Dans la plupart des cas, il s'agit du poumon ou du pancréas.
un amaigrissement inexpliqué, une altération de l'état de santé général et/ou une légère fièvre persistante ; des saignements du rectum (ou rectorragies) et des envies fréquentes d'aller à la selle en cas de cancer du rectum.
Les plus fréquentes se localisent au niveau du foie et des poumons. Le gros intestin forme la dernière partie du système digestif. Long de 1 à 2 mètres, il prolonge l'intestin grêle jusqu'à l'anus. Il est composé du côlon et du rectum.
Le syndrome de l'intestin irritable est un trouble du tube digestif qui provoque des douleurs abdominales, une constipation ou une diarrhée. Les symptômes sont variables, mais incluent fréquemment des douleurs dans le bas du ventre, des ballonnements, des flatulences et une constipation ou une diarrhée.
L'imagerie médicale permet l'examen des organes à travers l'utilisation de rayons X (radiographie et scanner), d'ultrasons (échographie), d'ondes magnétiques (IRM) ou de radioactivité (médecine nucléaire).
De nombreuses alternatives à la coloscopie optique standard sont apparues ces dernières années ou sont en « gésine » : coloscopie virtuelle par colo-TDM ou colo-IRM, capsule colique, « améliorations » du coloscope optique standard…
Accès au kit de dépistage en pharmacie d'officine
Depuis le 7 mai 2022, vous pouvez vous adresser à votre pharmacien pour obtenir un kit que vous ayez ou non reçu l'invitation au dépistage du cancer colorectal. N'hésitez pas à en parler avec votre pharmacien !
Enfin, nous vous proposons un extrait d'une réponse faite à une question posée sur le forum de la Ligue contre le cancer : Bonjour, Il est vrai qu'un cancer, notamment colorectal, s'accompagne souvent d'une élévation de la CRP.
Le taux moyen de la CRP était de 38,85 mg/L. Les patients âgés de plus de 60 ans avaient des taux de CRP plus élevés. Le stade de la tumeur n'influençait pas le taux de CRP. Les patients atteints de carcinome épidermoïde avaient des taux de CRP les plus élevés avec une moyenne de 72,17 mg/L suivis par l'adénocarcinome.
Il s'agit d'une analyse de sang visant à identifier une signature biologique fiable de ce cancer. Car ce dernier, même niché dans le pancréas, peut laisser dans le sang des indices de sa présence.