Le carcinome vaginal, appelé familièrement cancer du vagin, est un cancer rare chez la femme. Le cancer du vagin est une maladie tumorale d'âge avancé. Ce sont surtout les femmes de plus de 60 ans qui sont touchées. Elle ne représente qu'environ 1 à 2 % des tumeurs malignes de l'appareil génital féminin.
Le traitement du cancer du vagin dépend de son stade. Pour les cancers du vagin de stade précoce, la chirurgie pour ablation du vagin, de l'utérus et des ganglions pelviens et de la partie supérieure du vagin constitue le traitement de choix. La radiothérapie est parfois utilisée après l'intervention chirurgicale.
On sait qu'il existe principalement deux causes favorisant l'apparition du cancer: une infection à certains types de virus appartenant à la famille des papillomavirus (HPV), transmis par voie sexuelle ou par contact de la peau durant une relation sexuelle, chez les femmes jeunes (40-60 ans)
Radiothérapie du cancer du vagin
En radiothérapie, on emploie des rayons ou des particules de haute énergie pour détruire les cellules cancéreuses. On y a habituellement recours pour traiter le cancer du vagin.
Chaque année, près de 3000 femmes développent un cancer du col de l'utérus et 1000 femmes en meurent. Le cancer du col de l'utérus est attribuable dans la grande majorité des cas à une infection persistante par un papillomavirus humain (HPV) à haut-risque, infection très fréquente, transmissible par contact sexuel.
Les signes et symptômes du cancer du col de l'utérus comprennent ceux-ci : saignements vaginaux anormaux, entre autres entre les menstruations, après la ménopause et à la suite de relations sexuelles. pertes vaginales anormales ou plus abondantes. pertes vaginales malodorantes.
Lorsqu'il est diagnostiqué à un stade précoce (stade I et stade II) – ce qui représente heureusement la plupart des cas – ses chances de guérison oscillent entre 70 % et 90 %.
Le cancer responsable du plus grand nombre de décès par cancer chez l'homme reste le cancer du poumon (23 000). Viennent ensuite les cancers colorectal et de la prostate (respectivement 9 000 et 8 000).
Des douleurs pelviennes et/ou lombaires sont aussi typiques du cancer de l'utérus à un stade avancé. Elles peuvent être plus ou moins intenses, permanentes ou intermittentes, et survenir ou non au cours des rapports sexuels et/ou durant la miction.
Le pic d'incidence du cancer du col de l'utérus se situe vers 40 ans et l'âge médian au diagnostic est de 51 ans. Il est rare chez les femmes âgées de moins de 30 ans et celles âgées de plus de 65 ans. Les taux d'incidence et de mortalité par cancer au col de l'utérus sont en constante diminution.
Le cancer du col de l'utérus est principalement dû à une infection persistante, d'une durée de 10 à 15 ans, par des virus appelés papillomavirus humains (virus du papillome humain ou HPV, abréviation de humanpapillomavirus) à haut risque et transmis par voie sexuelle.
Les tumeurs du col de l'utérus qu'ils engendrent se développent en moyenne dix à quinze ans après une infection persistante. Elles conduisent au décès dans plus d'un tiers des cas, et ont donc un coût majeur tant en termes de vies humaines que de soins et dépenses de santé.
Le symptôme le plus courant du cancer de l'utérus est un saignement vaginal anormal. Cela comprend des changements des menstruations (périodes plus abondantes, plus longues ou plus fréquentes que la normale), des saignements entre les règles, des saignements après la ménopause et de légers saignements vaginaux.
Au stade 4, le cancer du sein s'est propagé à d'autres parties du corps. On dit aussi que c'est un cancer avancé ou métastatique. Les traitements ne guérissent pas le cancer du sein métastatique, mais ils permettent de très bien le contrôler, parfois pendant de nombreuses années.
C'est un des symptômes du lymphome, ce sont des démangeaisons.
Démangeaisons de la vulve. Les démangeaisons de la vulve aussi appelées prurit vulvaire sont des démangeaisons désagréables qui s'installent au niveau des parties intimes. Elles peuvent avoir plusieurs causes : dermatologiques, infectieuses (bactérie, virus), irritantes, ou encore inflammatoire.
La survie nette après 5 ans pour les autres cancers des organes génitaux de la femme est de 59 %, ce qui signifie qu'environ 59 % des femmes ayant reçu un diagnostic d'autre cancer des organes génitaux survivront au moins 5 ans.
Le cancer de la bouche est un des cancers les plus faciles à prévenir par un diagnostic précoce. Malheureusement, plus de personnes meurent de cancer de la bouche que du cancer du col de l'utérus, du lymphome de Hodgkin ou du mélanome.
La clitorodynie se caractérise par une douleur persistante au niveau du clitoris. Des femmes décrivent cette douleur comme une sensation de brûlure, d'autres comme des picotements (type aiguille) et certaines disent que la douleur semble enserrer le clitoris causant une pression fort douloureuse.
Le symptôme principal quasi constant est la sensation d'une boule vaginale ou d'une pesanteur apparaissant en position debout, augmentée par les efforts et disparaissant en position allongée. La boule devient palpable lors des toilettes puis visible lorsqu'elle s'extériorise au-delà de l'orifice vulvaire.
Symptômes du prolapsus génital
Les femmes ont une sensation de "boule vaginale" ou de pesanteur au niveau du bassin, du périnée ou du rectum ou tout simplement une gêne. La gêne augmente en général lors des efforts physiques (longue marche, etc.) et diminue après quelques minutes de repos en position allongée.