La notion de « désir » peut aussi bien représenter l'expression de la vie (une force continue, la « pulsion de vie » selon Freud) que se ressentir en tant qu'émotion à part entière. Dans ce second cas, le désir prend 3 formes principales.
Le désir est un processus conscient (masquant tout de même des manifestations inconscientes sous-jacentes) qui incite les personnes à partir à la quête d'un fait, d'une situation ou d'un objet, source de plaisir et de contentement.
1. Action de désirer, d'aspirer à avoir, à obtenir, à faire quelque chose ; envie, souhait : Avoir le désir de voyager. 2. Objet du désir ; vœu : Prendre ses désirs pour des réalités.
Le désir désigne la sensation d'attraction et d'attente à l'égard d'une personne, d'un objet, d'une situation ou d'un futur particulier. Le désir et son contentement engendrent une tension chez l'individu qui le ressent et qui cherche à résoudre celle-ci pour combler le manque induit.
L'amour s'apparente au désir et au besoin d'attachement, mais il est modifié par des facteurs biologiques, socioculturels et psychologiques qui déterminent son développement." – Shannon Chavez, psychologue et sexologue. "Lorsque vous désirez quelqu'un, vous voulez absolument satisfaire ce désir.
Le désir peut naître uniquement parce que quelqu'un pense pouvoir combler, par un objet spécifique, la « faille » qui l'habite. C'est d'ailleurs cette faille ontologique qui nous caractérise tous en tant que « sujets » et qui nous pousse à désirer.
Le désir est un mouvement qui porte les hommes à vouloir posséder quelque chose, ou atteindre un but, qui devront leur procurer une satisfaction. C'est donc un état caractérisé par un sentiment de manque et de privation.
Il est en effet assez clair que le désir, pour Freud, est lié à la pulsion et à la sexualité humaine en tant qu'elle est culturellement (dialectiquement) condamnée à l'errance dans la recherche de son objet de satisfaction.
Le mot désir dérive du latin desiderare qui signifie "être face à l'absence d'étoile", et par la suite, constater avec regret l'absence de quelque chose, ou de quelqu'un. Renouant avec cette étymologie, toute la philosophie du XXe siècle associe le désir au manque.
Selon Faith Popcorn, l'individu poursuit une quête frénétique de beauté, de santé et de longévité. Dans le discours, ce fait est indéniable.
Le désir est donc issu des premiers ressentis de plaisir et du souhait de revivre le plaisir. Pour Freud on ne peut désirer que ce que l'on a déjà connu. Les pulsions provoquent une tension qui tend à être déchargée à travers un ressenti de plaisir.
D'où des confusions sur sa nature : le désir n'est pas une simple pulsion (une pulsion, on n'en a pas forcément conscience, et elle interdit l'attente en général) ; le désir n'est pas non plus une simple envie (l'envie – de manger ou de faire pipi – vise la satisfaction d'un besoin simple, là où le désir a une ...
Le désir semble contradictoire. D'une part il traduit la puissance d'exister d'un être qui enchante par son dynamisme sa vie et le réel et produit grâce à lui une réalité aux couleurs de ses rêves ; d'autre part il confronte l'homme à l'impuissance et au désespoir du désir insatisfait.
Le sentiment le plus fort, le plus puissant, peut en l'espace d'un instant combler le vide de toute une éternité ; ce sentiment s'appelle amour.
Oui, le désir fugace par excellence peut laisser place à des sentiments plus profonds en se transformant en amour.
La complicité et le langage corporel
Il s'agit de la complicité, cette relation unique et spéciale qui est plus forte que l'amour.
On dit souvent que le désir est un manque que rien ne peut combler. Celui qui éprouve du désir est un sujet humain, et il voit l'objet de son désir comme un bien, un élément positif. Le besoin est l'expression d'un manque réel, il naît d'un manque et exprime une nécessité organique.
Le stress. Déséquilibre hormonal. Mauvaise communication. Peu de temps pour séduire l'autre.
Éprouver à l'égard de quelqu'un un désir sexuel ; convoiter : Il désire cette femme plus qu'il ne l'aime.
Le désir est un souhait irrationnel, obsédant et impossible à satisfaire, qui porte sur la possession de quelque chose. On dit en souvent que le désir est un manque que rien ne peut combler. Celui qui éprouve du désir est un sujet humain, et il voit l'objet de son désir comme un bien, un élément positif.
Le désir est la conscience d'un manque qui semble nous conduire à la souffrance et l'insatisfaction. Elle serait alors la cause de notre malheur. Toutefois, le désir est aussi un effort qu'on accompli pour atteindre ce qu'on recherche. Il permet alors à l'homme de s'affirmer, de progresser.
C'est que le désir est une force vitale sans objet déterminé - la libido peut se poser n'importe où ; au contraire, l'amour a toujours un objet unique, irremplaçable, qui imprime sa trace dans nos êtres, et en ce sens, en effet, Freud bute sur le lien entre le désir et l'amour; il reconnait une force anonyme puissante ...
Cette activation se manifeste par l'excitation sexuelle, qui prend des formes différentes chez l'homme et la femme. L'érection est l'emblème du désir masculin, tandis que la forme féminine est plus discrète via la lubrification. Les plus émotifs rougiront ou auront les jambes coupées.
La tension se propage dans tout l'organisme, se rigidifie et devient notre talon d'Achille. S'il devient trop fort, le désir conduit à l'obsession et à la perte de contrôle. On finit par tenter de trouver un équilibre entre la pression que nous met la voix du désir et celle de notre sens moral.