Le diabète se caractérisant par un défaut d'insuline, le sucre provenant de l'alimentation s'accumule dans le sang et ne peut pas nourrir les cellules de l'organisme. Le corps ne peut donc pas stocker ou utiliser correctement l'énergie fournie par les aliments, d'où la sensation de faim permanente.
Cela implique que le glucose dans le sang ne peut pas être synthétisé par les cellules - en raison d'un manque d'insuline ou d'une résistance à l'insuline. Le corps ne peut donc pas métaboliser la nourriture que l'on mange en énergie. Ce manque d'énergie entraîne alors une augmentation de la faim.
L'hypoglycémie du diabétique
Le cerveau ne reçoit alors plus suffisamment de sucre pour fonctionner et des symptômes tels que fatigue, sueurs, fringale, tremblements, malaise, convulsions… apparaissent. Avec l'expérience, le patient diabétique reconnaît ces prémices annonciateurs d'une crise d'hypoglycémie.
Un des effets de la prise d'insuline est le risque accru de prendre du poids. Le sucre présent dans le sang qui n'est pas utilisé lorsque l'insuline le transporte vers les cellules est stocké sous forme de graisses.
« Le fait d'avoir un tour de taille élevé n'est pas une maladie en soi mais il est associé à d'autres anomalies, comme un excès de triglycérides, un faible taux de bon cholestérol, une tension artérielle et une glycémie qui commencent à augmenter.
Une fatigue permanente
Le sucre ne peut plus assurer son rôle de source d'énergie chez le diabétique, il en résulte un état de fatigue intense même au repos. Cela résulte des hypoglycémies qui sont fréquentes. D'où l'importance de contrôler son taux de glycémie régulièrement lorsqu'on est diabétique.
picotements, chatouillements, chair de poule, sensations étranges comme une piqûre d'épingle ou une décharge électrique; engourdissements (pertes de sensibilité d'une partie du corps); brûlures, démangeaisons, douleurs; transpiration, gonflement, froid ou chaleur injustifiée.
Le diabète de type 1, généralement appelé simplement diabète, était déjà identifié comme une affection associée à une « urine sucrée »: une glycémie élevée (hyperglycémie) conduit à la libération de sucre en excès dans l'urine, d'où provient l'expression « urine sucrée ».
Le médicament étudié par les chercheurs s'appelle le sémaglutide. Il est déjà utilisé dans le traitement du diabète de type 2. Dans cette recherche, son utilisation permet d'agir sur le système de régulation de l'appétit : il le perturbe ce qui réduit la sensation de faim et diminue la quantité de calories consommées.
Si la glycémie à jeun (sans avoir mangé ou bu dans les 8 dernières heures) : est < à 1,10 g/l : cette glycémie est dite normale, vous n'êtes pas atteints de diabète. est ≥ à 1,10 g/l et < à 1,25 g/l : vous êtes en situation de prédiabète.
L'âge moyen au décès est de 79 ans, et est plus élevé chez les femmes que chez les hommes (81 vs 76 ans), comme en mortalité générale.
Si le glucose dans le sang demeure trop souvent élevé avec le temps, cela a un impact dommageable sur plusieurs organes du corps, principalement : les reins (néphropathie) les yeux (rétinopathie) le système neurologique (neuropathie)
Les complications à long terme du diabète de type 1
Lorsqu'elle persiste plusieurs années, une concentration élevée de sucre dans le sang provoque des complications particulières. Ce type de complications est essentiellement observé chez les adultes après plusieurs années de diabète.
Les personnes qui développent le diabète de type 2 peuvent préalablement avoir reçu un diagnostic de prédiabète. Cette condition est présente lorsque le taux de glucose sanguin est plus élevé qu'à la normale, mais pas suffisamment élevé pour poser un diagnostic de diabète de type 2.
Le diabète a des effets sur l'ensemble du corps. Le diabète endommage les vaisseaux sanguins, ce qui peut causer des problèmes comme une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral, une maladie du rein, des problèmes oculaires (yeux), des problèmes cutanés (peau) et des lésions aux nerfs.
Les diabétiques peuvent en abuser : le citron leur sera d'une aide précieuse. Il est d'abord très riche en vitamine C. Par ailleurs, il a une action antifatigue grâce aux flavonoïdes (substances antioxydantes). Il permet aussi de réduire l'indice glycémique.
L'étude a mis en évidence trois principaux problèmes émotionnels causés par la vie avec le diabète : la dysphorie, l'anxiété et l'irritabilité. La dysphorie se manifeste par des sentiments d'insatisfaction, d'apathie, de perte d'intérêt, de malaise et de tristesse.
Le problème le plus fréquemment rencontré chez les diabétiques sportifs est l'hypoglycémie (diminution de la quantité de glucose (sucre de façon générale) contenue dans le sang). Elle se traduit par des palpitations, une transpiration abondante, un sensation de faiblesse et des tremblements.
Les personnes atteintes de diabète sont plus susceptibles de présenter des douleurs chroniques comme le mal de dos. halfbottle / istock. Les diabétiques courent 35% plus de risques de souffrir d'un mal de dos ("douleurs lombaires" ou "lombalgie"), selon une nouvelle étude australienne.
La soupe minceur est un aliment pour diabétique seulement si son index glycémique est bas. Prudence donc, car pour un diabète de type 2, le régime alimentaire doit être strict afin de limiter les risques de complications.
Et pourquoi pas « à l'eau de coco (celles dont les marques sont sans arôme ni additifs et dont la teneur en sucre est très faible) ». Un verre d'eau indispensable !
Les personnes diabétiques ont un risque plus élevé d'artériopathie des membres inférieurs. Cette complication est due à la présence de plaques d'athérome, dépôt principalement formé de cholestérol, dans les artères, gênant la circulation du sang.