La combinaison du froid et de l'exercice augmente davantage le stress sur le système cardiovasculaire. Les températures froides sont associées à une augmentation des symptômes cardiaques (angine, arythmies) et à une incidence accrue d'infarctus du myocarde et de mort subite d'origine cardiaque.
Un risque cardiovasculaire accru lors du froid
Le risque cardiovasculaire est la probabilité de survenue d'une maladie ou d'un accident cardiovasculaire (maladies du cœur et des artères).
Perturbe le rythme cardiaque : l'agression par le froid que subit le nerf sympathique (aussi appelé nerf vague) a pour effet de perturber la fréquence cardiaque. Cela peut entraîner palpitations et malaise ; Favorise l'apparition de mucus : une eau très froide fait réagir le corps.
Le manque d'activité physique, le stress ou une mauvaise alimentation en sont les causes possibles. De nouvelles données montrent que, en hiver, la pression artérielle systolique (supérieure) semble augmenter de 1,7 unité par rapport à l'été. C'est ce que rapporte Robert B. Barrett de l'American Medical Association.
L'air froid peut causer un resserrement des voies aériennes de vos poumons, et ainsi rendre la respiration plus difficile.
Par ailleurs, le froid est aussi une source de déshydratation, ce qui réduit la fluidité du sang et demande plus d'effort au cœur pour fonctionner. « On parle trop peu de cet impact du froid sur le risque cardio-vasculaire, qui reste de ce fait assez mal connu.
Ces mécanismes favorisent la coagulation sanguine. Autre impact, le froid provoque une déshydratation, « ce qui réduit la fluidité du sang et demande plus d'effort au cœur pour fonctionner ». Et en cas d'activité physique, les artères coronaires sont fortement sollicitées, entraînant la formation de plaques d'athérome.
Soyez attentif au moindre symptôme : une sensation d'oppression dans la poitrine, des palpitations, un essoufflement ou une douleur thoracique à l'effort, des vertiges.
une tension artérielle supérieure à 140 mm/Hg ; la présence d'un antécédent familial d'infarctus du myocarde ; un excès pondéral (IMC>25)
En effet, le froid « endort » les nerfs et les empêchent d'envoyer un message de douleur au cerveau. Le froid pousse également le cerveau à générer des endorphines dont les effets se rapprochent de la morphine. Le froid soulage donc tous types de douleurs, qu'elles soient musculaires, ligamenteuses ou encore nerveuses.
Favoriser le bon fonctionnement du système digestif
L'eau, à température ambiante, peut augmenter l'absorption des nutriments durant la journée, outre le fait d'éliminer les toxines accumulées comme énoncé plus haut. Boire de l'eau au réveil peut avoir un effet coupe-faim et active le métabolisme.
Si vous êtes cardiaque, évitez les eaux riches en sodium et préférez les eaux moins salées et minéralisées. Enfin, les troubles du transit et la fatigue s'améliorent avec une eau fortement minéralisée et gazeuse. De très bonnes raisons de lire les étiquettes.
Perturbation de la digestion
La consommation d'eau glacée contracte les vaisseaux sanguins et finit par limiter la digestion. Cela empêche également le processus naturel d'absorption des nutriments durant la digestion.
De plus, des études ont montré que l'exposition à des températures froides peut réduire votre pression artérielle. Cela peut être bénéfique pour les personnes souffrant d'hypertension et réduire le risque de maladies cardiovasculaires.
Le froid provoque de façon directe des crises d'angine de poitrine chez les patients ischémiques (angor stable), des crises d'asthme liés au froid (dues à la bronchoconstriction provoquée par l'inhalation d'air froid), des gelures ou des engelures, des hypothermies, des syndromes de Raynaud et des crises de ...
Il n'existe pas de tension "normale"
Il vaut mieux avoir 10 que 11, 11 que 12, 12 que 13 etc. Mais le risque d'AVC accélère à partir de 15, et devient majeur à 18.
[Quatre pictogrammes – Essoufflement inhabituel, Prise de poids rapide, Pieds et chevilles gonflés, Fatigue excessive – apparaissent à l'écran.] Ces 4 symptômes ne doivent pas être pris à la légère. C'est peut-être le signe que votre cœur ne fonctionne plus correctement.
à l'hypertension. L'hypertension artérielle correspond à une pression trop élevée du sang dans les artères. Elle peut être permanente. Suivant les critères de l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé), c'est à partir de 16/9,5 que l'on devient hypertendu.
Dormir sur le côté gauche stimulerait le nerf qui tend à accélérer le rythme cardiaque. - Troisième raison, une autre forme de trouble du rythme cardiaque, l'arythmie vagale (le rythme cardiaque est irrégulier). Dormir sur le côté gauche réduirait ce type d'arythmie pendant la nuit.
C'est un moment de calme où votre esprit n'est pas distrait par autre chose. Vous pouvez ressentir davantage cette sensation de martèlement en étant allongé sur votre côté gauche puisque dans cette position, votre cœur est collé à votre paroi thoracique.
Bien souvent, le terme de palpitations est utilisé par erreur en présence de douleurs dans la poitrine ou bien parce que le cœur « tape » fort, sans forcément battre trop vite ou irrégulièrement. Ces manifestations sont fréquentes et bénignes en cas de stress où d'anxiété et ne traduisent pas une anomalie du rythme.
Les palpitations cardiaques se traduisent par une sensation de battements irréguliers du cœur. Plusieurs facteurs peuvent en être à l'origine : effort intense, grossesse, troubles émotionnels, tabac, alcool, certains médicaments, etc. Souvent inoffensives, elles peuvent toutefois être le signe de troubles cardiaques.
C'est assez simple à comprendre: la chaleur dilate les vaisseaux et fait perdre de l'eau et du sel. Ce sont exactement les objectifs des traitements visant à abaisser la pression artérielle.
L'intuition selon laquelle les femmes sont plus sensibles au froid que les hommes est en effet confirmée par de nombreuses études scientifiques. La température ambiante idéale se situerait, selon les diverses recherches, entre 22 °C et 24 °C chez les hommes contre 24,5 °C et 26 °C chez les femmes.