De la même manière que pour les femmes enceintes, le ventre peut être gonflé durant le cycle menstruel. Et ces ballonnements sont, une fois encore, dus à l'augmentation de progestérone qui peut entraîner des inconforts intestinaux, dont des gaz.
La progestérone peut être administrée indifféremment par voie orale ou vaginale. Son effet secondaire principal est une somnolence ou des vertiges, raison pour laquelle il faut toujours la prendre au coucher.
Non. Un traitement hormonal bien équilibré n'entraine pas de prise de poids comme l'ont confirmé plusieurs études scientifiques.
Les oestrogènes et la progestérone tendent à empêcher l'apparition de graisse abdominale tandis que le cortisol, l'hormone associée au stress, favorise la prise de graisse abdominale, autant chez les femmes minces que chez les femmes en surpoids.
Posologie usuelle :
Dans le traitement d'une insuffisance de progestérone par voie orale, la posologie est de 200 mg par jour, en 1 prise ou 300 mg par jour, en 2 prises, pendant 10 jours par mois (habituellement du 17e au 26e jour du cycle).
Le risque de cancer du sein augmenteraient avec la durée du traitement, l'utilisation d'un THS pendant 10 ans entraînerait un excès de risque de cancer du sein environ deux fois plus élevé que le risque d'un traitement sur 5 ans seulement.
Fatigue chronique, faiblesse musculaire, étourdissements (en passant de la position assise à la position debout), envies de sel, diminution de l'appétit et perte de poids sont quelques-uns des symptômes qui y sont associés.
Le ventre gonflé est souvent le symptôme de fluctuations hormonales (les cycles menstruels, l'ovulation, la ménopause…). La baisse en œstrogène provoque fréquemment une gêne et des ballonnements. D'autres types de troubles gynécologiques peuvent également être en cause.
La progestérone agit sur la muqueuse de l'utérus (ou endomètre), et permet la survenue des règles à la fin de chaque cycle menstruel.
La progestérone, sécrétée essentiellement après l'ovulation, augmente l'appétit – et l'anxiété –, une autre caractéristique du SPM. « Les femmes sont plus critiques à l'égard de leur corps durant la phase lutéale [post-ovulatoire] du cycle, entre l'ovulation et les règles, dit Mme Klump.
La leptine est une hormone digestive peptidique qui permet à la fois de réguler les réserves lipidiques de l'organisme et de stimuler la satiété. C'est d'ailleurs pourquoi elle est aussi nommée "hormone de la satiété".
La progestérone, une hormone qui prépare à la grossesse. Hormone féminine, la progestérone prépare l'utérus à accueillir une grossesse. Naturellement produite après l'ovulation, elle crée les conditions idéales pour la fécondation.
La progestérone : connue comme une hormone qui induit la détente et le sommeil, si son taux diminue dans l'organisme, cela peut affecter sensiblement le sommeil et la femme commence à ressentir des difficultés à s'endormir.
Sur le sommeil et la fatigue :
La progestérone est parfois appelée “hormone soporifique”, c'est l'une des raisons pour lesquelles on est plus fatiguée en phase lutéale (entre l'ovulation et les règles).
Les hormones
«Les œstrogènes agissent sur plusieurs neurotransmetteurs qui peuvent avoir un impact sur la régulation du sommeil et la progestérone peut avoir un effet hypnotique. La variation de niveau de ces hormones peut affecter notre rythme circadien.»
DHEA : l'hormone de jeunesse pour une belle peau.
Les résultats ont montré que 65,8 % des femmes ayant pris de la progestérone ont donné naissance à un bébé contre 63,3 % dans le groupe témoin. Malgré cette mince différence, les experts avancent un point positif : "plus de la moitié des participantes ont mené une grossesse à terme" indique le docteur Pfeifer.
THS : quand l'arrêter ? Au bout de deux ans, il est souvent conseillé de suspendre le traitement hormonal substitutif une fois par an pour voir s'il est toujours nécessaire ou si l'on ne peut pas diminuer les doses.
Le traitement hormonal de substitution (THS) fait l'objet de débats dans le domaine médical depuis des années. Alliant progestérone et oestroègnes, il sert à soulager les bouffées de chaleur et les désagréments liées à la ménopause.
L'ovule doit être introduit au fond du vagin en le poussant avec le doigt (un peu comme on met un tampon) par la patiente elle-même, le soir au moment du coucher. Il est préférable d'être en position allongée.
Hormone stéroïde dérivée du cholestérol, sécrétée par le corps jaune (follicule ovarien ayant expulsé l'ovule) pendant la seconde phase du cycle menstruel, par le placenta pendant la grossesse et, à un moindre degré, par les corticosurrénales et les ovaires.
Sous l'effet de la progestérone, le cerveau cesse progressivement de sécréter la FSH et la LH : les ovaires diminuent leur production d'estrogènes, puis de progestérone, jusqu'au prochain cycle. La diminution des taux sanguins de l'ensemble de ces hormones est responsable du déclenchement des règles.