Il s'agit d'une impulsion pathologique qui pousse certaines personnes à commettre des vols. Le terme kleptomanie (qui s'écrit aussi "cleptomanie") désigne, chez la personne qui en est atteinte, la pulsion irrépressible de s'approprier des objets, ceci en l'absence d'un motif économique ou d'un besoin réel de cet objet.
La kleptomanie, qu'est-ce que c'est ? Du grec “kleptès”, voler, et “mania”, la folie, la kleptomanie ou cleptomanie est un trouble psychologique qui se caractérise par une incapacité répétée à résister à l'envie de voler.
La cleptomanie (kleptomanie) est une pulsion irrépressible de s'approprier des objets sans avoir de motif économique ou le besoin réel de ces objets. La cleptomanie n'a rien à voir avec la délinquance ou avec un profil de personnalité antisociale.
En règle générale, une personne kleptomane ne souhaite pas se faire soigner, il faut que sa pulsion de vol la conduise devant la justice pour qu'elle accepte de consulter.
Le vol, de même que les difficultés économiques, est souvent considéré comme l'un des signes précurseurs de la dépendance. Les personnes aux prises avec des problèmes de toxicomanie ou à une addiction au jeu pourraient voler de l'argent de leurs parents, amis et collègues pour financer leur dépendance.
Stylos, babioles, disques ou encore vêtements… Le cleptomane (ou kleptomane) ne peut pas résister. Son besoin de dérober des objets, souvent sans valeur, où qu'ils soient, est plus fort que lui.
Il s'agit d'une impulsion pathologique qui pousse certaines personnes à commettre des vols. Le terme kleptomanie (qui s'écrit aussi "cleptomanie") désigne, chez la personne qui en est atteinte, la pulsion irrépressible de s'approprier des objets, ceci en l'absence d'un motif économique ou d'un besoin réel de cet objet.
Historique familial. Comme tous les troubles de conduites, un contexte familial toxique peut développer cette compulsion. Avoir un autre trouble mental. Les personnes qui souffrent de kleptomanie peuvent parfois avoir un autre trouble psychologique associé, comme un trouble bipolaire, ou un trouble de la personnalité,…
Plus belle la vie, Agnès, infirmière, est kleptomane. Une fille vraiment bien : Lindsey, l'héroïne commence a voler, mais très vite, ne peut plus s'en empecher ce qui la rend kleptomane.
À titre d'exemple, au cours d'une phase maniaque, la personne ayant des troubles bipolaires pourrait croire qu'elle peut voler ou qu'elle est une célébrité. D'autre part, pendant une phase dépressive, elle pourrait être la proie de sentiments irrationnels d'extrême culpabilité.
sentiment de bonheur et de plaisir très intense ou, au contraire, d'irritabilité excessive; hyperactivité, agitation et énergie débordantes; estime de soi démesurée ou idées de grandeur.
La cabine d'essayage : un lieu très discret
Les voleurs ont une technique assez simple : dès lors qu'il s'agit de produits dotés d'un antivol, ils utilisent un aimant qui permet de détacher la sécurité et ainsi de voler l'article.
En permettant de débusquer et démanteler les croyances et les pensées qui justifient le comportement du kleptomane, les thérapies comportementales et cognitives (TCC) peuvent également s'avérer efficaces dans la prise en charge de cette problématique.
Le vol est passible de 3 ans de prison et de 45 000 € d'amende. C'est la volonté de l'auteur de dérober qui est condamnée. Ainsi, la peine est applicable même si l'auteur restitue l'objet après son vol ou s'il n'y a eu qu'une tentative de vol.
faible estime de soi ; frustrations non exprimées ; antécédents de psycho-traumatismes.
"La cleptomanie peut se définir comme un trouble psychique se manifestant par une tendance à prendre des objets qui ne nous appartiennent pas", explique le docteur Nicolas Neveux.
S'ils décident de voler, c'est qu'ils ont leur raison : Le voleur croit que les produits ne valent pas leur prix. Le voleur croit que le vol en magasin est la meilleure solution pour vivre au quotidien. Le voleur veut voler les produits dont il a le plus besoin ou qu'il désire le plus.
Pour cela, une autre technique simple mais efficace consiste à vandaliser « partiellement » une maison. Ainsi par exemple, un tag, ou des écritures au feutre sur un portail permettent de déterminer si les maisons sont gardées ou non. Autrement dit, une maison entretenue ne sera (probablement) pas cambriolée.
de sécurité, c'est facile. Pour le détonateur, il faut cacher un petit engin dans un objet métallique, un stylo par exemple, qu'on dépose à côté du portique pour que celui-ci ne sonne pas.
Pour détecter l'aluminium ou les aimants, il y a des antennes minces qui peut être placé à côté des portes antivol à l'entrée des magasins. Ils ne sonnent pas nécessairement lorsqu'ils détectent un voleur potentiel, mais ils peuvent transmettre des informations aux vendeurs et aux forces de sécurité.
l'étiquette AM : très discrète, elle prend généralement la forme d'un rectangle adhésif ou d'un antivol emboîté à l'aide d'une pince sur le produit.