Que disent les tendances saisonnières ? En ce qui concerne les projections saisonnières, une tendance douce se dégage très franchement. Selon le modèle américain, une anomalie de +1 à +2°C serait observée en France durant le mois de décembre 2023.
En conclusion, notre hiver 2023-2024 sera doux, même si l'excédent de températures s'annonce moins important qu'au cours de l'automne, et moins marqué aussi que lors de l'hiver dernier (avec +0,7°C au-dessus des moyennes) avec un excédent qui pourrait approcher +0,5°C.
La probabilité de connaître une suite d'hiver plus humide augmente sensiblement selon les différents modèles météorologiques. Autrement dit, les mois de janvier et février pourraient voir les perturbations défiler à nouveau assez fréquemment, sauf peut-être vers la Méditerranée où un temps plus sec s'imposerait.
L'hiver 2023-2024 devrait être doux et moins neigeux en partie. Les spéculations vont bon train quant aux prévisions météo pour l'hiver 2023-24 depuis que l'on sait qu'El Niño est de retour et pourrait influencer la température des mois à venir.
Bien que l'hiver commence officiellement le 21 décembre 2023, les températures froides vont se pointer le bout du nez avant cette date. C'est donc un hiver plus froid que ce qu'on a pu vivre dans les dernières années qui est attendu dans les prochains mois.
Entre le 25 et le 31 janvier 2024, l'anomalie thermique devrait être supérieure à +5°C en France ! C'est tout le sud-ouest de l'Europe qui s'attend à une fin janvier bien plus printanière qu'hivernale, de l'Espagne jusqu'à l'Allemagne et à la Pologne.
Le modèle européen envisage des anomalies de températures situées régulièrement entre +1 et +2°C sur la France entre juin et août, ce qui induirait un été particulièrement chaud sur notre pays avec un risque de périodes caniculaires récurrentes, potentiellement notables mais également durables.
Ce jeudi 23 novembre 2023 a marqué l'arrivée des premières gelées, notamment dans l'est de la France.
Il projette des températures passant légèrement sous les normales dès la semaine du 12 au 18 février 2024 puis le froid pourrait dominer en se généralisant durant la semaine du 19 au 25 février. Cette masse d'air froid s'estomperait en reculant vers le nord en fin de mois.
La première quinzaine de février 2024 a été la plus chaude jamais enregistrée en France. Et aucun refroidissement vraiment sensible ne se dessine. L'indicateur thermique national a atteint une valeur de 12,6 °C ce jeudi 15 février 2024. Une température supérieure de 6,6 °C à la normale !
En moyenne sur le trimestre décembre 2023 - janvier 2024 - février 2024, une tendance humide très nette se dégage sur une grande partie du continent européen. La France serait concernée avec une probabilité notable d'un temps plus humide que la normale sur la moyenne des trois mois de l'hiver.
Février assez froid
Bien que moins froid que son prédécesseur, février 2024 pourrait connaître une tendance dans le prolongement du mois de janvier, à savoir assez froid, surtout au nord-est, relativement neigeux près des frontières, pluvieux sur le quart nord-ouest du pays.
Il est encore trop tôt pour le moment pour faire des prévisions sur la quantité de neige attendue cet hiver, mais les météorologues s'accordent tous pour affirmer que cette saison hivernale de 2023 – 2024 sera plus humide que glaciale.
Un hiver aux précipitations régulières
En effet, les perturbations pourraient s'enchaîner d'après Météo France, qui édite chaque trimestre les tendances météo à venir. Les pluies devraient donc régulièrement tomber jusqu'à fin février, en raison notamment du retour du phénomène El Nino.
La douceur devrait dominer dans l'ensemble et ce ne sont pas les quelques coups de froid brefs qui changeront la donne. Les températures devraient donc rester au-dessus de la normale pour le 26e mois consécutif, la probabilité est estimée entre 50 et 60 % selon les régions.
Elles se produisent principalement entre janvier et février, mais peuvent apparaître plus généralement entre novembre et mars, les vagues de froid concernent régulièrement la France avec une intensité et une durée très variable.
L'hiver, c'est février
Cette période est marquée par les températures les plus froides de l'année. En 2024, ce régime de froid pourrait se faire attendre. Les modèles estiment que janvier serait plus doux que le dernier mois de l'hiver.
Une semaine douce mais un froid à nos portes
Lors de l'après-midi du jeudi 8 février 2024, les températures devraient s'établir entre 14 et 18°C sur les trois quarts de la France ! Elles fléchiront à peine vendredi 9 février avant de se rafraîchir peu à peu durant le week-end des 10 et 11 février.
L'hiver 2023-2024 sera-t-il aussi chaud et sec que son prédécesseur ? À en croire les premières tendances établies par Météo France, pas vraiment. Certes, les températures du trimestre à venir devraient bien être structurellement plus élevées que les normales.
Les températures chuteraient pour revenir aux normales de saison. Localement des valeurs légèrement plus basses pourraient s'observer mais rien de conséquent. Un temps plus froid mais de saison pourrait s'inviter en début d'année 2024.
L'hiver météorologique débute officiellement ce 1er décembre 2023 sur la France et la neige fait son retour. Notre pays est en effet soumis à un important conflit de masse d'air avec de l'air froid s'écoulant peu à peu par le Nord/Nord-Est et de l'air doux résistant près de la Méditerranée.
Hormis quelques jours parfois frais et d'éventuelles gelées tardives ponctuelles, les différents modèles saisonniers continuent d'envisager des températures en moyenne plus douces que la normale à l'échelle du territoire avec une probabilité estimée entre 60 et 100 % selon les régions.
2024 s'annonce aussi très chaud. Les spécialistes mettent déjà en garde. L'Agence américaine d'observation océanique et atmosphérique (NOAA) a calculé les probabilités que l'année 2024 fasse partie des années les plus chaudes que l'on ait connu.
On vous répond. Cette année, l'équinoxe de printemps commence ce mercredi 20 mars 2024. Une date importante qu'attendent avec impatience de nombreux Français, heureux de retrouver les arbres qui bourgeonnent et un gain de luminosité plus important.