En général, la rentabilité d'un investissement locatif varie de 2 à 8 %. Dans certains cas, elle peut aller au-delà de ce taux et atteindre 10 %. Ainsi, comparé aux autres types de placement, l'immobilier assure une rentabilité élevée et un cash-flow positif.
Même dans un contexte comme celui qu'est l'année 2023, il reste d'excellentes opportunités d'investissement locatif en France. Les prix ne baissent pas partout et les taux d'intérêt encore très inférieurs à l'inflation font que sur le long terme vous serez gagnant.
Devenir propriétaire reste toujours l'un des meilleurs investissements sur le long terme. De plus, en cas de revente, même si ce n'est pas garanti, il n'est pas rare de faire une plus-value. Tout dépendra du marché immobilier lors de votre acquisition et lors de la revente.
Dans le cas d'un investissement locatif, les loyers perçus pourront même s'avérer plus élevés que les mensualités à débourser. Au-delà de l'âge, des revenus ou de l'état du marché immobilier, le meilleur moment pour investir est surtout lorsque le futur propriétaire se sent prêt.
Hausse des taux et boom des prix de l'immobilier obligent, le temps avant d'atteindre la rentabilité se fait long, très long. Ainsi, Meilleurs Agents explique qu'il faut désormais 12 ans pour rentabiliser l'achat d'un 50 m2. Côté Meilleurtaux, comptez 15 ans et 6 mois pour amortir l'achat d'un 70 m2.
Les parkings, l'investissement rentable des petits budgets
Les parkings s'imposent comme l'investissement le plus rentable face à l'investissement d'une maison ou d'un appartement.
Dans un contexte économique qui incite au pessimisme, il existe plusieurs raisons de vendre son bien immobilier maintenant : les acheteurs sont toujours là, le taux d'usure remonte, des opportunités dans l'ancien existent toujours.
Cependant, le recul des prix immobiliers est bien réel. Selon une étude de Terra Nova publiée le 30 mai 2023, la valeur de l'immobilier d'habitation pourrait bel et bien chuter de 20 % à fin 2023.
Les experts s'accordent à dire que le moment est idéal pour investir dans l'immobilier en raison du contexte inflationniste. Les prix ne vont d'ailleurs probablement pas s'effondrer et les taux d'intérêt devraient se stabiliser. Alors, si vous avez un projet d'achat immobilier, c'est le moment ou jamais !
Les taux d'intérêt hypothécaire actuels sont de 3,5 %. Si l'on applique la règle des 30 %, votre salaire net devrait être d'environ 4 000 euros par mois pour supporter le paiement hypothécaire mensuel, les taxes foncières et les frais de gestion associés à cet investissement.
C'est l'avantage de plus de souplesse et moins de responsabilité. Vous conservez votre liberté de mobilité car il est plus facile de quitter votre logement, il suffit simplement de respecter le préavis vis-à-vis de votre propriétaire.
Acheter vous permet de rembourser progressivement votre crédit, et si vous avez la capacité de mettre un apport c'est encore mieux, cela réduit la durée et/ou votre mensualité pour qu'elle soit le plus proche d'un loyer (ce qui vous permet de déménager pour louer en cas de besoin, plutôt pratique !)
Même si l'âge minimum légal pour souscrire un prêt immobilier est 18 ans, le manque d'expérience professionnelle et d'apport personnel constituera un frein à l'acquisition d'un premier bien.
Chez Meilleurs Agents, par exemple, on anticipe au cours de l'année 2024 un recul des prix de l'immobilier d'environ 4% en moyenne au niveau national, «soit une baisse deux fois plus importante qu'en 2023», précise le groupe.
En 10 ans, les prix moyens de l'immobilier ont largement progressé en France métropolitaine. Selon l'INSEE, l'indice des prix des logements a connu une hausse de près de 30 % entre 2013 et 2023, pour l'ensemble du territoire métropolitain, tout type d'habitat confondus (maison et appartements, neufs et anciens).
En 2024, plusieurs tendances majeures sont à observer sur le marché immobilier. La baisse des prix de l'immobilier devrait se poursuivre, avec une estimation moyenne de -4%.
Une légère reprise est attendue pour 2025. Une légère reprise est attendue en 2025. "Le scénario est celui d'une baisse des taux directeurs de la BCE, aux alentours de septembre 2024, ce qui signifierait que les taux hypothécaires pourraient également légèrement baisser en 2025.
L'année 2024 s'annonce donc riche en possibilités, surtout pour le premier semestre. Selon Charlotte, Experte Crédit chez Pretto depuis 3 ans et demi : "C'est le moment idéal pour acheter, et ce, pour plusieurs raisons", souligne-t-elle.
Ainsi, en 2024, même si l'une partie des ménage souhaite encore attendre avant de se lancer dans un achat immobilier, la plupart des biens en vente - s'il sont à un prix cohérent, vont sans aucun doute trouver acquéreur en 2024.
Le nombre de ventes de logements anciens baisse nettement à 955 000 ventes sur douze mois à fin août 2023 (soit -17% sur un an), et les prix se sont infléchis et s'inscrivent en légère baisse. L'inflation a légèrement reflué mais reste élevée : 4% en septembre 2023.
Le marché de l'immobilier ralentit et la situation ne devrait pas s'améliorer en 2024. En cause, une période économique difficile, marquée par l'inflation, qui a pour conséquence une baisse de pouvoir d'achat des Français, et une hausse des taux d'intérêt des banques, rendant l'accès au crédit plus difficile.
Le marché de l'immobilier continue sa traversée du désert. Les prix des biens immobiliers devraient poursuivre leur baisse en 2024. Au travers de leur baromètre publié ce mardi, le site spécialisé Meilleurs agents anticipe même une baisse de 4% cette année, le double par rapport à 2023.
Balcons, terrasses et jardins sont des critères de plus en plus présents dans les recherches de logements, tous marchés confondus, et ce depuis la période de confinement.
Pandémie, crise économique, concurrence trop forte avec des biens qualitatifs à proximité ou encore potentiel d'attractivité de la ville ou du quartier en déclin... Ce sont autant de raisons pour lesquelles votre maison ne se vend peut-être pas.
Entre des baisses de prix que les vendeurs refusent de voir, des hausses de taux qui limitent le budget des acquéreurs et des réglementations contraignantes qui excluent certains ménages, le marché montre des signes de blocage.