D'après l'expert de du site Health, le mensonge serait plutôt une tactique sociale très efficace. En règle générale, notre entourage ne s'attend pas à ce qu'on leur mente, et même si le mensonge peut être bénéfique dans certains cas, ce mécanisme permet aussi aux menteurs de s'en tirer souvent à bon compte.
En psychologie sociale, on considère ainsi qu'il existe cinq motivations au mensonge : valoriser notre image, éviter les conflits, ne pas peiner notre interlocuteur, persuader quelqu'un afin d'en tirer un avantage, et enfin dissimuler ou justifier un manquement...
Si l'intention est positive, si c'est pour faire du bien, sauver une personne, valoriser une image, alors oui, il y a un bon usage du mensonge, tranche-t-elle.
Mentir à quelqu'un, même prétendument pour son bien, revient donc à saper ce fondement sans même savoir quelles seront les conséquences effectives de ce mensonge. Pour Kant, il ne faut donc jamais mentir.
Le mensonge reste, encore et toujours, une faute morale qui flétrit la personne qui le profère... Songez au nez de Pinocchio qui s'allonge. Tous les jours, sans être des affabulateurs pathologiques, nous mentons, un peu, beaucoup, passionnément, en ressentant plus ou moins un sentiment de culpabilité.
Le mensonge est l'outil diabolique de ceux qui possèdent l'art de parler : en énonçant ce qu'il sait être faux, le menteur met le monde à l'envers, et soustrait au langage sa puissance métaphysique primordiale d'assurer le lien sémantique entre paroles et objets.
Le mensonge met en danger la société
Selon lui, il n'est absolument pas moral de mentir même pour garder un secret. L'homme a pour devoir de dire la vérité ou plus exactement de dire ce qu'il croit vrai.
Dire la vérité c'est vraiment très important !
D'une manière générale, la vérité est essentielle pour garder ses amis et garder la confiance des gens qui t'entourent. Il faut que tu comprennes l'intérêt de dire la vérité et les conséquences d'un mensonge.
Usito. Toute vérité n'est pas bonne à dire. Il est préférable de dissimuler une vérité susceptible de blesser quelqu'un, de perturber un équilibre.
Mentir, c'est cacher sciemment la vérité que l'on connaît et que l'on pourrait dire : le mensonge met donc en cause l'idée même de vérité, et le comble du mensonge est de dire qu'il n'y a pas de vérité, qu'on ne peut pas la chercher ensemble, qu'il n'y a rien à chercher ou rien à contester, et cela, par un calcul même ...
Dans un réflexe inconscient pour se ménager une issue de secours, les menteurs se penchent souvent vers la porte s'ils sont assis, voire s'en rapprochent s'ils sont debout. Il leur arrive également de prendre une posture tendue ou défensive, leur corps se raidissant inconsciemment pour prendre la fuite.
On peut être tenté de ne pas dire la vérité par crainte de blesser l'autre. Cependant, ne pas la dire, ou bien mentir, c'est trahir la confiance que l'autre peut avoir en nous, et parfois reculer pour mieux sauter quand la vérité émerge après coup.
Le critère du bon mensonge, à manipuler avec précaution, serait celui qui éviterait de nuire à autrui et qui implique le moins de personne possible, ajoute une élève. Mais il faut prendre en compte que les conséquences du mensonge nous échappent souvent alors que nous en sommes responsables.
D'après l'expert de du site Health, le mensonge serait plutôt une tactique sociale très efficace. En règle générale, notre entourage ne s'attend pas à ce qu'on leur mente, et même si le mensonge peut être bénéfique dans certains cas, ce mécanisme permet aussi aux menteurs de s'en tirer souvent à bon compte.
Car choisir de révéler la vérité est une prise de risque, autant pour celui qui l'énonce que pour celui qui l'entend. La vérité révélée peut dévoiler une position de vulnérabilité, une part de nous qui va nous dévaloriser aux yeux des autres, peut blesser son interlocuteur voire le trahir.
Chaque verbum n'est pas simplement signum, mais il est simultanément expression du Verbum divinum. Le mensonge est donc premièrement un péché contre Dieu, avant même d'être un tort envers le prochain.
Dire la vérité conduit au respect.
Le fait que vous soyez digne de confiance créera aussi certainement du respect envers vous-même ainsi qu'une satisfaction intérieure vous rendant heureux de vos choix.
La vérité est la correspondance entre ce que je dis, et ce qui est : elle s'oppose donc à la fausseté – au sens d'erreur, mais aussi de mensonge. Détenir la vérité, c'est donc énoncer un discours objectif qui correspond à la réalité.
Ne pas dire la vérité c'est également prendre un risque. Le risque de devoir mentir puis le risque que cette vérité, accompagnée de ses mensonges soient dévoilés. Dire la vérité va permettre de retrouver son estime de soi, son intégrité et remettre à plat la relation.
La Vérité a permis à l'humain de sortir de l'ignorance et a été le moteur qui l'a conduit à la connaissance de soi est du monde qui l'entoure.
Il faut dire que l'illusion nous réconforte et nous apaise, elle « nous arrange » et, si la vérité est parfois difficile à accepter, sa fonction est de nous rassurer, de compenser nos frustrations et de donner une sorte de réponse à nos désirs.
En effet, il est impossible d'universaliser le mensonge, puisqu'il suppose la crédulité. Par conséquent, tout mensonge est immoral, et seule la vérité est morale. Puisque nous sommes dotés d'une raison, et donc faits pour être moraux, il faut préférer dire la vérité plutôt que la dissimuler pour être heureux.
On connaît bien les conséquences de mentir: on risque de perdre la confiance des autres. Aussi, quand un enfant ou un adolescent ment, on voit souvent les parents se plaindre de ce comportement en disant qu'ils ne peuvent plus faire confiance à leur enfant, qu'ils sentent qu'ils perdent le contrôle.
Pour les personnes qui mentent ou qui trichent, il est plus difficile d'interpréter les émotions des autres. Les conséquences de ces comportements concernent aussi l'individu lui-même : une personne qui ment aura plus de mal à définir ses propres relations et à se considérer proche d'autres personnes.