La tumeur est un amas de cellules sans nerfs ; elle n'a donc aucune sensibilité et n'est pas douloureuse. Pour qu'un cancer fasse mal, il faut que la tumeur ou des métastases touchent, compriment ou envahissent une partie sensible du corps.
Les signes d'alarme peuvent être : - une grosseur palpable, apparue récemment dans l'un des seins chez la femme ou un nodule sous la peau, ou encore l'augmentation de volume ou l'induration (le fait de durcir) d'un ou de plusieurs ganglions. Ces ganglions anormaux sont appelés adénopathies.
Il existe deux types de douleurs dues au cancer : La douleur nociceptive – liée à une lésion tissulaire, elle peut être vive, diffuse ou lancinante. La douleur nociceptive peut être causée par la propagation du cancer aux os, aux muscles ou aux articulations ou par l'obstruction d'un organe ou des vaisseaux sanguins.
C'est surtout sous le bras (creux axillaire ou aisselle) que peuvent se retrouver, à la palpation, les ganglions, au cours de l'évolution de la maladie. Il est, aussi, fréquent de retrouver des petits ganglions dans l'aisselle sans que cela soit un signe de cancer.
La tumeur est un amas de cellules sans nerfs ; elle n'a donc aucune sensibilité et n'est pas douloureuse. Pour qu'un cancer fasse mal, il faut que la tumeur ou des métastases touchent, compriment ou envahissent une partie sensible du corps.
Contrairement aux kystes qui ont une paroi, les tumeurs n'en ont pas, même si elles sont souvent bien circonscrites (ou dit aussi encapsulées). Une tumeur peut être bénigne ou maligne, autrement dit cancéreuse.
Les lésions bénignes, c'est-à-dire non cancéreuses, sont généralement : molles au toucher ; situées dans la couche superficielle ou graisseuse de l'épiderme ; mobiles : elles peuvent se déplacer légèrement lorsqu'on les manipule.
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
La fatigue, l'irritabilité, la douleur et la fièvre font partie des symptômes possibles. Le médecin peut soupçonner la présence d'un cancer quand ces symptômes persistent ou s'aggravent, ou lorsqu'un examen médical révèle la présence de certaines anomalies.
C'est le sucre (glucose) qui fournit l'alimentation nécessaire à chaque cellule de l'organisme, même les cellules cancéreuses.
La perte de poids peut être liée au cancer lui-même mais aussi à ses traitements qui s'accompagnent souvent d'effets secondaires. Pour maintenir un poids stable, il faut un équilibre entre les apports et les dépenses c'est ce qu'on appelle « la balance énergétique ».
Le cancer du sein
Son premier signe palpable peut justement être une masse solide, indolore et bien distincte du reste du tissu mammaire. Elle s'accompagne parfois d'un gonflement des ganglions des aisselles, d'un changement dans l'aspect de la peau du sein ou du mamelon ou encore d'écoulements.
Accrochées l'unes aux autres, les cellules cancéreuses finissent par constituer une tumeur puis une boule. Dans le cas de nodule bénin, le processus est à peu près identique à la différence que la prolifération des cellules s'arrête spontanément car les cellules restent saines.
Le cancer se manifeste de manière très variable. Il évolue généralement sur de nombreuses années, souvent sans occasionner de symptômes.
Un test sanguin qui permettrait de dépister la présence ou non d'une tumeur chez les personnes à risque. Il y a donc un réel besoin d'identifier de nouveaux marqueurs tumoraux qui pourraient aider au diagnostic et au suivi de l'efficacité des traitements.
Par ailleurs, les cancers du côlon et du rectum, du col de l'utérus, du sein et de la prostate demeurent des cancers de bon voire très bon pronostic, avec une survie nette à 5 ans estimée respectivement à 63% pour les deux premiers, 88% pour le sein et 93% pour la prostate chez les personnes diagnostiquées en 2010-2015 ...
Ainsi, les tumeurs peuvent se développer dans presque toutes les zones du corps. Par ailleurs, elles ont tendance à évoluer rapidement et sont généralement fermes au toucher.
Mais quand faut-il s'inquiéter ? Dès qu'une grosseur sur le corps (membres, thorax, abdomen, tête, cou, orteil...) d'un adulte ou d'un enfant mesure plus de trois à cinq centimètres. « C'est simple, même sans douleur, si cela fait la taille d'une balle de golf, il faut consulter.
Un kyste est une grosseur anormale qui se développe sur un tissu ou un organe du corps. Cette grosseur est fixe, de taille variable, et n'a pas de communication avec l'extérieur. Sa contenance est liquide, gazeuse ou, plus rarement, solide.
Le kyste sébacé est une boule dure qui se forme sous la peau à cause d'une accumulation de sébum.
Un cancer du poumon ou de la prostate peuvent provoquer des douleurs nociceptives au niveau du dos en cas de métastases vertébrales. La tumeur peut siéger au niveau d'un nerf. Elle occasionne des douleurs neuropathiques.
La tumeur se définit comme une « augmentation de volume d'une partie de corps, souvent sansinflammation, causée par une croissance anormale des tissus, bénigne ou maligne ». On peut aussi la définir comme une « masse » ou un « œdème de tout type ». Ainsi, selon cette définition, un amas de pus peut être une tumeur.
le cancer du poumon (1,80 million de décès) ; le cancer colorectal (916 000 décès) ; le cancer du foie (830 000 décès) ; le cancer de l'estomac (769 000 décès) ; et.