Il ne faut pas rincer les pâtes après la cuisson. Cette méthode était utilisée pour débarrasser les pâtes de l'excès d'amidon.
En effet, lorsque vous les rincez, vos pâtes sont effectivement délestées de tout l'amidon qui a été libéré pendant la cuisson sous la pression de la chaleur. Sauf que problème : c'est grâce à ce dernier que la sauce tient si bien sur les pâtes.
Comme engrais. Riche en minéraux, l'eau tiède des pâtes enrichirait la terre des plantes vertes. Il s'agit d'un engrais à la fois naturel et économique.
Une fois les pâtes dans la passoire, il est bien tentant de les passer sous un filet d'eau froide pour qu'elles n'adhèrent pas entre elles. Problème : en les rinçant, vous les débarrassez au passage de tout leur amidon, une colle naturelle bien utile pour faire accrocher les sauces.
La première chose à faire est de les faire cuire dans de l'eau vraiment bouillante afin que l'amidon se fixe sur les pâtes et se relâche moins dans l'eau. La seconde chose à faire est d'égoutter immédiatement les pâtes une fois cuites, dans une large passoire, pour empêcher l'amidon de les faire coller.
L'astuce de l'huile pour empêcher l'eau de déborder
En effet, l'huile se trouvant à la surface de l'eau va s'intercaler entre les particules d'amidon libérées par les pâtes lors de leur cuisson : elle limitera ainsi la mousse formée par cet amidon et empêchera donc l'eau de déborder.
En cuisant, les pâtes rejettent de l'amidon dans l'eau de cuisson. C'est cela qui les fait coller les unes aux autres. Le vinaigre blanc, lui, neutralise l'effet de l'amidon. Résultat, les pâtes ne collent pas.
Le secret réside en fait dans la cuisson des pâtes.
Il vous faut une casserole d'eau bouillante et salée. Plongez-y ensuite vos pâtes en respectant le temps de cuisson pour qu'elles soient al dente.
7. Mythe: les pâtes doivent cuire à l'air libre, jamais sous un couvercle. Réalité: Mettre un couvercle sur votre casserole ne change rien à la texture de vos pâtes. À la limite, vous avez plus de chance de voir votre casserole déborder avec un couvercle, mais ça ne fera rien aux pâtes.
Rajouter du sel dans l'eau des pâtes dès le début de la cuisson de celle-ci permettra à l'ensemble de vos pâtes d'être salée de la même façon (ce qui ne sera pas le cas si vous salez vos pâtes une fois déposées dans votre assiette).
Quelles pâtes choisir pour sa santé ? Les meilleures pâtes sont celles aux céréales complètes. Vous pouvez choisir des pâtes au blé complet, mais celles sans blé sont encore meilleures : pâtes de riz ou encore pâtes de quinoa… Pour la cuisson, préférez la formule « al dente » qui maintient un indice glycémique bas.
Garder l'eau des pâtes est aussi un geste écologique puisque le liquide peut se destiner à biens des usages. Elle peut à nouveau servir en cuisine, en l'incluant à la composition d'une pâte à pizza ou à pain ou encore à une soupe. Lors de leur cuisson, les pâtes rejettent de l'amidon.
Il ne faut pas rincer les pâtes après la cuisson. Cette méthode était utilisée pour débarrasser les pâtes de l'excès d'amidon.
Trop souvent, une assiette de spaghettis est entourée d'un surplus d'eau rougeâtre. Ça vous dit quelque chose? L'eau s'accumule souvent autour du bord de l'assiette et ruine un magnifique plat. Ce surplus d'eau se crée lorsque l'eau et l'huile de vos pâtes et de votre sauce se séparent.
Les pâtes à cuisson rapide cuisent plus vite parce qu'elles sont plus fines. Du coup, à l'arrivée, il faudra (légèrement) plus de pâtes, en nombre, pour en avoir le même poids dans l'assiette.
La plupart du temps, sur les paquets, il est préconisé de cuire 100 g de pâtes par personne. Cela peut ne pas sembler beaucoup, mais il faut bien comprendre qu'une pâte crue et une pâte cuite n'ont pas le même poids. Ainsi, 100 g de pâtes crues représentent environ 250 à 300 g de pâtes cuites.
En pâtisserie, le beurre joue un rôle fondamental car il permet d'imperméabiliser les pâtes. Il augmente à la fois le croustillant et la friabilité des sablés et de toutes les pâtes sèches (petits gâteaux de voyage par exemple) et apporte moelleux et onctuosité aux pâtes levées.
Il existe ainsi, aujourd'hui, près de 300 formes de pâtes fabriquées et consommées en Italie. Mais, malgré cette grande variété géométrique, 70% de la consommation des Italiens se concentre sur quatre pâtes «nationales»: les spaghetti, les penne, les fusilli et les rigatoni.
Les pâtes cuites
La meilleure méthode de conservation est de les mettre dans une boite étanche. Vous y ajouterez un léger filet d'huile d'olive, avant de mélanger. Cela aura pour effet d'éviter que l'amidon ne colle les pâtes entre elles. Il sera possible de les conserver ainsi 1 à 2 jours au réfrigérateur.
Le principe est simple : une fois les pâtes cuites à votre goût, égouttez-les puis reversez-les dans le plat de cuisson (ou dans une poêle) avec une ou deux cuillères à soupe d'huile d'olive.
Les parfaits exhausteurs de goût
Avec des pâtes au poulet, l'origan (la plus italienne des épices), le curcuma ou le paprika sont d'excellents choix. Le safran quant à lui offre une touche de raffinement. Pour des pâtes à la crème, la noix de muscade est incontournable.
la transformation de l'amidon
Dans un premier temps, l'eau se glisse entre les grains d'amidon (sorption). C'est pour cela que les pâtes ramollissent quand on les met dans l'eau (même dans de l'eau froide). Puis si l'eau est chaude (à partir de 60°C), elle pénètre à l'intérieur des grains d'amidon et les fait gonfler.