Le carcinome spinocellulaire se caractérise par des rougeurs, une desquamation, la formation de croûtes ou d'ulcères. De plus, il peut entraîner des démangeaisons et être lent à guérir.
Ils peut se développer sur des zones préalablement sans taches, mais dans environ 30 % des cas il se développe sur une zone où il y a des nævi (grains de beauté). Les symptômes comme des démangeaisons ou un saignement de la lésion peuvent être des signes de mélanome malin.
Le carcinome spinocellulaire débute le plus souvent sous la forme d'une plaque rouge et rugueuse sur une zone qui a été exposée au soleil, qui grandit et devient plus dure et infiltrée. Il peut aussi se présenter sous la forme d'un bouton dur qui apparaît rapidement.
Parmi les plus fréquentes, la sécheresse de la peau, l'urticaire, certaines formes d'eczéma, les piqûres d'insecte, la gale, les mycoses, le psoriasis, certaines maladies du foie ou des reins, etc. De nombreuses femmes se plaignent de démangeaisons pendant la grossesse, en particulier la nuit.
La douleur est fréquente dans les cancers mais peu rapportée dans les carcinomes cutanés. Toutefois la douleur et le prurit peuvent être présents dans les carcinomes basocellulaires (CBC) et épidermoïdes (CE).
Si les démangeaisons ont déjà été évoquées comme symptôme possible d'un lymphome de Hodgkin, le cas de Jade Baldwin montre toutefois qu'un patient qui souffre de démangeaisons, notamment au niveau des jambes, peut être atteint de ce cancer, et ce même si ses ganglions présentent une taille normale.
Le carcinome basocellulaire
Il se manifeste notamment par l'un ou l'autre des signes suivants : une bosse couleur chair ou rosée, d'apparence cireuse ou « perlée », sur le visage, les oreilles ou le cou ; une plaque rosée et lisse sur la poitrine ou sur le dos ; un ulcère qui ne guérit pas.
Les tumeurs malignes ou cancéreuses de la peau doivent toujours être retirées chirurgicalement. Il peut s'agir, pour les plus fréquentes : Des carcinomes baso-cellulaires : ils sont très fréquents, surtout après 50 ans, et touchent le visage dans plus de 95% des cas.
Ce type de cancer n'a pas tendance à se propager dans l'organisme, il peut néanmoins grossir en largeur et en profondeur. Cela peut provoquer des défigurations voire la perte d'un organe comme l'œil, l'oreille ou le nez. Aussi, au moindre doute, il est donc conseillé de consulter un médecin.
Signes précurseurs du carcinome épidermoïde
Les CE peuvent apparaître sous forme de plaques épaisses, rugueuses et squameuses pouvant former une croûte ou des saignements. Ils peuvent également ressembler à des verrues ou à des plaies ouvertes qui ne guérissent pas complètement.
Ce qui provoque les démangeaisons (prurit) est lié à des substances irritantes fabriquées par la peau et libérées dans les couches superficielles. Cette réaction de la peau se fait en réponse à des situations très diverses, allant de la piqûre d'un insecte, en passant par des maladies comme l'eczéma ou le psoriasis.
Une envie irrépressible de se gratter
les piqûres de végétaux ou d'animaux (orties, moustiques, poux…), les allergies comme l'eczéma, les maladies de peau comme le psoriasis, les infections de la peau, mycoses, virus, parasites…
La fatigue est le symptôme le plus fréquent chez les personnes atteintes de cancer. C'est également l'effet secondaire le plus courant du traitement du cancer. La fatigue est un manque d'énergie, une lassitude ou un épuisement généralisés.
Pour le traitement topique, on se sert d'une crème ou d'un gel pour appliquer les médicaments directement sur la peau. On peut y avoir recours pour traiter les petits CBC superficiels au cou, au tronc, au bras ou à la jambe. Le médicament topique administré pour le CBC est l'imiquimod (Aldara, Zyclara).
En général, quand la rémission dure depuis 3 ou 5 ans, les médecins estiment qu'il est guéri.
Certaines affections donnent plus de prurit la nuit. La gale et l'eczéma en font partie. L'urticaire a également tendance à s'aggraver pendant la nuit et au réveil. D'une façon générale, les démangeaisons cutanées sont accentuées la nuit par la chaleur du lit et la transpiration nocturne.
Parmi les causes potentielles de démangeaisons, citons : les éruptions cutanées, comme l'eczéma, le psoriasis, la varicelle, l'urticaire ou celles causées par la gale. Ces démangeaisons sont localisées et s'accompagnent de rougeurs, de petits boutons ou de cloques.
Le stress, tout comme l'alimentation ou les médicaments, peut donner des accès d'urticaire aiguë. Ces poussées d'urticaire se déclarent souvent la nuit et peuvent démanger terriblement.
Le carcinome cutané, appelé également cancer non mélanocytaire ou cancer de la peau non mélanome, se développe dans les cellules de l'épiderme, soit au niveau de la couche basale, on parle de carcinome basocellulaire cutané (CBC), soit au niveau des couches supérieures, on parle de carcinome épidermoïde cutané (CEC).
Lorsqu'ils sont détectés tôt, la plupart des carcinomes basocellulaires (CBC) peuvent être traités et soignés. Un traitement rapide est vital, car à mesure que la tumeur se développe, elle devient plus dangereuse et potentiellement défigurante, nécessitant un traitement plus étendu.
Le traitement du carcinome basocellulaire est presque toujours efficace, et ce cancer est rarement mortel.
Lorsqu'il se développe au niveau de la peau, on parle de nodule sous-cutané. La bosse formée est généralement visible à l'œil nu ou seulement palpable avec la main. "Parfois, on ressent lorsqu'on touche la peau une différence de forme, une boule ronde ou irrégulière. Il s'agit alors d'un nodule sous-cutané.
L'excision chirurgicale permet d'enlever le cancer ainsi qu'un peu de tissu normal tout autour, qu'on appelle marge chirurgicale. C'est un traitement standard et courant de nombreux cancers de la peau autres que le mélanome, dont le carcinome basocellulaire (CBC) et le carcinome spinocellulaire (CSC).
Elles apparaissent sous forme de croûtes rouges ou brunes, plus ou moins épaisses. Des lésions qui doivent inciter à consulter un médecin. Si vous suspectez une lésion mélanocytaire sur votre peau ou des lésions caractéristiques d'un carcinome, consultez votre médecin traitant au plus vite.
Quelle est l'évolution d'un carcinome spinocellulaire ? "Le carcinome spinocellulaire est agressif et peut évoluer envoyant des métastases dans les ganglions régionaux de drainages, voire dans des organes à distance notamment les poumons" met en garde le docteure Roux.