Les notaires, les agences immobilières, ou encore les cabinets d'expertise foncière peuvent être sollicités pour réaliser une estimation complète. Bien entendu, une telle démarche présente généralement un certain coût. A moins de faire appel à un promoteur.
1. Informez-vous auprès du cadastre. C'est auprès du cadastre que de multiples informations pourront être réunies pour commencer l'estimation d'un terrain. Toute personne, qu'elle soit propriétaire ou non d'une parcelle, peut obtenir la communication de tout ou partie des plans cadastraux.
La nature et la situation géographique du terrain dont sont deux critères importants dans l'estimation du prix au m². Le prix d'un terrain agricole ou d'un terrain non constructible ne sera pas le même que le coût d'un terrain constructible. De même un terrain non viabilisé sera moins cher qu'un terrain viabilisé.
Certains vendeurs ont peut d'être engagés s'ils réalisent une estimation du notaire, et pourtant, ce ne sera pas du tout le cas : Notez qu'il n'est pas obligatoire que l'évaluation du logement avant sa vente se fasse par un notaire, ni même qu'elle soit réalisée par un professionnel.
Concrètement, il vous suffit de vous rendre sur le site: app.dvf.etalab.gouv.fr/. En cliquant sur la maison ou le bâtiment souhaité sur la carte interactive, le prix de vente du bien en question est affiché.
Discuter pour obtenir un meilleur prix
Bien que le taux de négociation soit de l'ordre de 5%, il est préférable d'aller au-delà pour proposer son prix. Mais avant, il est primordial de se renseigner sur le prix du marché, mais aussi sur la valeur réelle du terrain à acheter pour faire sa proposition.
Les frais de notaire permettent donc de le rembourser. Ils correspondent à environ 1 % du prix total du terrain, soit en moyenne 1 200 €, auxquels s'ajoutent 80 € pour la contribution de sécurité immobilière. Les honoraires et émoluments correspondent à la rémunération effective du notaire.
En moyenne, les Français dépensent entre 27 000 et 200 000 euros pour l'achat d'un terrain. Naturellement, les disparités sont énormes entre les villes et entre les terrains.
Le prix moyen du m2 de terrain constructible dans les villes secondaires est situé entre 70 et 150 euros ; Les régions les plus recu-lées ou rurales peuvent enregistrer un prix au m2 terrain constructible entre 30 et 50 euros.
Un notaire peut vous aider à déterminer le coût d'un terrain non constructible. Mais s'il estime que la valeur de votre bien est trop faible, vous avez la possibilité d'en augmenter le prix ou de ne pas le vendre.
Le prix moyen d'un terrain nu peut varier de 50€ le m² dans les zones très rurales jusqu'à parfois atteindre plus de 500 € le m² dans les zones urbaines.
En moyenne, on considère que la majorité des terrains non constructibles coûtent entre 0,50 et 10 euros du m². Voilà pourquoi le coût d'un terrain sur lequel on ne peut pas construire est très souvent exprimé en hectares, plutôt qu'en mètre carré.
C'est au propriétaire du terrain, qu'il s'agisse d'un particulier, d'un lotisseur ou d'un promoteur immobilier, d'entreprendre les démarches de viabilisation. Il doit aussi prendre en charge le coût des travaux et coordonner la réalisation de ceux-ci lorsqu'ils font intervenir plusieurs entreprises.
La vente de terres agricoles est également réglementée par la SAFER, qui s'occupe d'estimer les terrains à leur juste valeur. En effet, les notaires sont dans l'obligation de déclarer toute vente de terres agricoles à la SAFER, qui aura automatiquement un droit de préemption.
Pour sceller la vente d'un bien immobilier, le notaire doit percevoir ce que l'on appelle les « frais de notaire », qui sont payés par l'acquéreur et qui sont, en réalité, composés essentiellement de taxes qu'il va reverser à l'Etat.
La signature d'un avant-contrat pour l'achat d'un terrain à bâtir doit s'effectuer devant un notaire. La signature d'un avant-contrat entraîne le versement d'un acompte de l'acquéreur au notaire, bien souvent compris entre 5 et 10% du montant total de la vente.
« Ce surcoût s'explique aussi par le fait que les parcelles sont davantage situées en zones urbaines et donc également plus petites», peut-on lire dans l'étude. La taille, la viabilisation et l'emplacement sont donc les 3 éléments qui font le plus varier les prix des terrains.
La plus-value d'un terrain à bâtir indique donc que son prix de vente est supérieur à son prix d'achat. En effet, il est courant qu'un terrain constructible prenne de la valeur au fil du temps. Mais si le prix de vente est inférieur au prix d'achat du terrain, on parle de moins-value.
Pour obtenir une bonne remise, les phrases les plus simples fonctionnent bien : – « Si je prends plusieurs articles, vous pouvez me faire un prix ». – « Pour que je ne dépasse pas mon budget, vous pouvez me faire un geste sur cet article ».
Le seul levier efficace est la création de grands espaces multipolaires tels que le Grand Paris ou le Grand Lyon. Ces concepts urbanistiques détournent le regard des ménages des villes phares, grâce à des prix plus abordables, estime Henry Buzy-Cazaux, président de l'Institut du management des services immobiliers.
Ce délai s'explique par plusieurs facteurs qui sont notamment le rassemblement de tous les documents nécessaires au dossier ainsi que la réalisation des conditions suspensives. En effet, pour conclure une vente le notaire doit disposer de tous les documents nécessaires.