Baisse d'énergie, manque d'appétit, troubles neurologiques, ou encore paralysie, les problèmes engendrés par la non-vaccination ont un fort impact sur la santé du chien. Sans oublier les frais de vétérinaires, très importants, pour soigner la maladie... Beaucoup plus coûteux que le prix du vaccin même !
La législation française n'impose pas de vaccins pour le chien, sauf cas de figure particuliers. Le vaccin contre la rage (antirabique) est obligatoire si le chien est classé catégorie 1 ou 2, soit les chiens d'attaque, de garde ou de défense.
Sans la vaccination, nos chiens décéderaient de maladies mortelles comme la parvovirose ou l'hépatite de Rubarth. Il est donc normal que les professionnels de la santé soient enclins à vacciner.
Seul le vaccin contre la rage est encadré légalement
En France, la loi n'oblige pas les maîtres à vacciner leur chien, à une exception près : le vaccin contre la rage est obligatoire pour les chiens de catégorie 1 ou 2, considérés comme dangereux.
Combien coûtent les vaccins du chien ? Le prix d'un seul vaccin pour un chien est d'environ 56 euros en France en 2022, qu'il s'agisse d'une primo-vaccination ou un rappel annuel. Comme plusieurs vaccins sont nécessaires, la première année de vie, la vaccination du chien coûte donc environ 152 euros à son propriétaire.
Pour les années suivantes, en règle générale, il n'y a plus qu'un vaccin par an à réaliser, il faudra donc compter entre 60 et 80€ par an pour chaque injection de rappel.
Sa transmission se fait bien souvent par les urines d'un animal porteur, dans une eau stagnante. C'est à travers une plaie cutanée que la bactérie pénètre dans l'organisme. Les rats sont couramment porteurs de la bactérie, responsables de la transmission aux chiens, qui lui-même peut le transmettre à l'homme.
Il est possible de faire le vaccin à son chien soi-même, mais à la condition de connaître les gestes et les conseils d'hygiène pour la bonne réussite du vaccin, et éviter ainsi de blesser votre animal.
Pour vous assurer que les défenses immunitaires de votre chien soient toujours au top, il faut procéder à un rappel un an après les 3 premières injections puis tous les 3 ans pour les maladies courantes (maladie de Carré, hépatite de Rubarth et Parvovirose).
Elle se transmet par contact direct à partir de selles d'un chien malade. Elle peut aussi se transmettre par contact indirect, c'est-à-dire quand le chien va dans un lieu où un chien malade a séjourné ou à travers du matériel souillé par le virus.
– Tous les 15 jours jusqu'à 2 mois ; – Puis 1 fois par mois jusqu'à 6 mois. – Tous les 3 mois (4 fois par an) ; – Ou tous les 2 mois si vous avez des enfants en bas âge ou vivez dans une zone à risque (présence d'échinocoques par exemple).
En général, après la primovaccination, vous pouvez faire vacciner un chien tous les deux ans. Cependant, une visite chaque année chez le vétérinaire est vivement recommandée.
Une première visite chez le vétérinaire vous permettra de faire le point sur le statut vaccinal de votre compagnon et d'établir ces échéances des vaccinations.
Les chiots peuvent recevoir leurs premiers vaccins dès l'âge de 4 à 6 semaines. La fréquence des rappels dépend du programme de vaccination que vous aurez choisi pour votre compagnon. Vaccin DHPP : Première dose à l'âge de 4 à 6 semaines suivie de 2 rappels mensuels.
N'importe quel sites d'injection que vous utilisez, il est important de pincer la peau pour que l'aiguille entre à la couche grasse au-dessous de la peau - pas dans la peau, ou le muscle, ou de l'autre côté du pincement, qui injecterai l'insuline sur la pelure du chien.
Vers l'âge de 4 mois, ces anticorps d'origine maternelle disparaissent. C'est à ce moment là que les anticorps issus de la vaccination du chiot prennent le relais. On s'est rendu compte que, chez certaines races comme le rottweiller, le berger allemand, ces anticorps maternels pouvaient empêcher le vaccin d'agir.
Coût vaccin antirabique (Rage) :
Un vaccin contre la Rage coûte entre 5€ et 20€ suplémentaires, il est fait en même temps que le CHLP.
Après une incubation de 6 à 14 jours, le tableau clinique, très polymorphe, évoque une septicémie [1] et peut associer : de la fièvre, des frissons, une tachycardie, une splénomégalie [2], des douleurs musculaires, des douleurs articulaires, des maux de tête, une éruption cutanée, un syndrome méningé…
une forme ictéro-hémorragique peut survenir lorsque le foie et les reins sont les principaux organes atteints. Le chien est fatigué, anorexique, et présente une fièvre (39,5-40°C ou plus), une diarrhée sanguinolente, un ictère, des troubles de la coagulation sanguine et une insuffisance rénale aiguë.
La vaccination coûte en moyenne 60 euros par an, excepté la première année qui nécessite deux injections et qui est facturée environ 120 euros. Certaines vaccinations spécifiques peuvent coûter jusqu'à 90 euros. La stérilisation coûte entre de 150 et 300 euros selon les cliniques vétérinaires.
Sans prise en charge, le chien peut décéder de la maladie rapidement. Les symptômes généraux de la toux du chenil sont des quintes de toux sèche, potentiellement accompagnée de vomissements, un écoulement du nez et des yeux, des éternuements et une perte d'appétit.
Il est donc recommandé de commencer à donner du vermifuge aux chiots bien avant le sevrage, dès l'âge de 3-4 semaines, avec un produit spécialement indiqué pour les très jeunes chiots. Pour une efficacité maximale, le traitement doit être renouvelé tous les 15 jours jusqu'à l'âge de 2 mois.
La piroplasmose du chien est aussi appelée babésiose canine. C'est en effet le parasite nommé babesia canis qui en est à l'origine. Cette maladie est l'une des plus fréquentes chez le chien. Elle est transmise par la morsure de tique, un acarien largement présent sur l'ensemble du territoire français.