La formule est-il sert à poser des questions. Elle est composée des mots il et est (le verbe être conjugué au présent), dont on a inversé l'ordre habituel. Le mot il est ici le sujet du verbe être , qui se conjugue donc à la troisième personne du singulier.
« Il est » et « elle est » sont suivis d'un adjectif masculin ou féminin singulier et « ils sont » et « elles sont » se placent devant un adjectif masculin ou féminin pluriel. Ils s'emploient pour décrire une caractéristique d'une personne ou d'un objet en particulier. Exemples : Elle est grande.
quoi qu'il en soit, néanmoins, en tout cas.
Au conditionnel présent, on conjugue le verbe être comme ceci : je serais , tu serais , il serait . Avec le sujet il , la terminaison est -ait . Et ensuite, quand le sujet est placé après le verbe, ces deux mots se relient par un trait d'union.
Cette expression, elle veut dire : en tout cas, quoi qu'il en soit, peu importe ce qui vient d'être dit, ce que je vais dire est vrai, dans tous les cas ; toujours est-il que.
Comment écrit-on la formule est-il ? La formule est-il sert à poser des questions. Elle est composée des mots il et est (le verbe être conjugué au présent), dont on a inversé l'ordre habituel. Le mot il est ici le sujet du verbe être , qui se conjugue donc à la troisième personne du singulier.
1. [Pour marquer la simultanéité avec le fait exprimé par le verbe de la princ.] Au moment où, dans le temps que.
croyable, envisageable, éventuel, imaginable, plausible, probable, virtuel, vraisemblable.
On écrit dans tous les cas vous est-il possible .
L'usage du conditionnel ("Pourriez-vous") marque une atténuation polie de la demande.
Quand dire néanmoins ? Le mot "néanmoins" est un adverbe qui a pour fonction de marquer l'opposition ou bien encore la concession. A l'image de son synonyme "cependant", un autre adverbe dont il se rapproche fortement par le sens, il sert à nuancer un propos ou une idée.
Définition "en-tout-cas"
Cependant, mais, néanmoins, toutefois.
Symbole. Code ISO 4217 désignant le rouble tadjik (devise entre 1995 et 2000).
Exemple : ''Qu'en est-il de votre voyage ?'' Le bout de phrase « qu'en est-il » est formé de la forme élidée de la conjonction « que », du pronom personnel « en » et de la forme inversée de « il est ». On se gardera de remplacer « qu'en » dans cette formule interrogative par son homophone « quant ».
C'est : contraction du mot « cela »
L'apostotrophe qui suit le « c » est la contraction du mot « cela ». Donc, si dans le sens de la phrase, on peut remplacer « c » par « cela », c'est bien « c'est » (et non « s'est ») qu'il faut écrire.
A l'écrit, vous devez utiliser “il est”.
Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.
Étymologie de « quoi qu'il en ait »
Forme décalquée sur l'expression « malgré qu'il en ait », évitant un malgré que présumé fautif : voir malgré.
T'es et t'est
T'es est le pronom personnel te (t') accompagné du verbe être au présent de l'indicatif à la 2e personne du singulier. T'est est également le pronom personnel te (t') accompagné du verbe être au présent de l'indicatif, mais à la 3e personne du singulier.
Qui n'a pas son pareil, qui est un seul. Remarquable, incomparable.
Encore, en outre, de plus. Autant, dans la même mesure; de la même manière. De même, également.
Dont on peut disposer. Synonyme : inoccupé, libre, prêt, vacant, vide.
à quel moment, à quelle date en parlant d'un évén ...
quand adv. interr. Sert à questionner sur le moment d'une action, d'un événement.