La limite extrême au-delà de laquelle on ne peut plus survivre dépend de la température et de l'humidité : C'est 35-40°C dans des environnement très humides, entre 40 et 45 °C à 50% d'humidité et au-delà de 50°C dans des environnements très secs.
Parmi les phénomènes extrêmes accompagnant le dérèglement climatique, la chaleur humide devient plus fréquente. Une étude publiée en mai 2020 a recensé à deux reprises 35 degrés Tw, le seuil de température humide mortelle pour l'homme.
Mais d'autres régions sont souvent confrontées à des températures élevées, passant parfois la barre symbolique 50 °C, notamment au Moyen-Orient, dans la péninsule arabique, en Afrique subsaharienne, ou encore au centre de l'Australie.
Ce sera le cas du sud de l'Asie, du golfe Persique (Iran, Oman, Koweït), et des pays bordant la mer Rouge (Égypte, Arabie saoudite, Soudan, Éthiopie, Somalie, Yémen) dès 2050. L'est de la Chine, une partie de l'Asie du Sud et du Brésil devraient également dépasser régulièrement un indice wet bulb de 35 °C d'ici 2070.
Si 35°C TW est considéré comme un seuil mortel pour l'être humain, c'est parce que ces conditions bloquent les deux mécanismes de refroidissement du corps. Notre peau a en surface une température de 35°C.
D'après une étude récente menée sur des jeunes hommes et femmes en pleine santé, la limite de température humide supportable par nos corps serait en fait plus proche des 31 degrés, soit une température extérieure de 31 degrés combinée à un taux d'humidité de 100%, ou de 38 degrés si le taux est de 50%.
"La limite extrême au-delà de laquelle on ne peut plus survivre dépend de la température et de l'humidité : C'est 35-40°C dans des environnements très humides, entre 40 et 45 °C à 50% d'humidité et au-delà de 50°C dans des environnements très secs.
En septembre 2019 , il publie Devant l'effondrement : Essai de collapsologie, dans lequel il annonce que par effets systémiques l'effondrement mondial devrait se produire entre 2020 et 2040, période durant laquelle la population serait décimée par la famine, les maladies, les guerres, jusqu'à être réduite à deux ou ...
1/ Les Pays-Bas.
En Europe, Londres (Royaume-Uni) ou encore Venise (Italie) ne sont pas en reste. En France, des villes comme Bordeaux et ses alentours, la région de Saint-Nazaire et les villages de la côte montpelliéraine pourraient être les premières à disparaître sous les eaux.
Selon une étude relayée par la Nasa, l'agence spatiale américaine, le réchauffement climatique pourrait rendre complètement inhabitables plusieurs zones géographiques sur la planète, et ce, dès 2050. Le niveau de stress thermique engendré par les fortes chaleurs peut en effet s'avérer mortel pour les êtres humains.
En zoomant sur la France métropolitaine, on constate qu'une hausse de 0,5 m serait "très probable" à l'horizon 2080-2100 et inonderait en conséquence une partie du littoral breton (Roscoff, Brest) et du Pays-de-Loire (Saint-Nazaire), mais aussi des Hauts-de-France (Dunkerque, Calais...), de Normandie (Dieppe, Le Havre, ...
la Nouvelle-Zélande, l'Islande, la Tasmanie, l'Irlande.
Les femmes sont plus sensibles aux écarts de température et la température à laquelle elles se sentent bien est environ 2,5° supérieure à la température convenant aux hommes.
L'Éthiopie, record des pays les plus chauds
Certainement l'un des pays les plus chauds de la planète, l'Éthiopie voit la température varier entre 45 °C et 60 °C sur le site de Dallol. De quoi être largement en tête de notre classement.
La Chine continentale, le Bangladesh, l'Inde, le Vietnam, l'Indonésie et la Thaïlande sont les pays qui abritent le plus grand nombre d'habitants qui seront sous le niveau annuel moyen des inondations côtières d'ici 2050.
En 2100, nous vivrons dans des maisons sur l'eau et transportables par des drones géants. Nous mangerons des insectes, des algues, de la viande végétale. Les voitures seront volantes. Les robots seront là pour faire les choses à notre place.
Avec des villes comme Lyon ou Grenoble, la région Rhône-Alpes devrait en être la principale bénéficiaire : la croissance de sa population sera de 16,8 %. Elle sera, en 2030, la région la plus peuplée après l'Ile-de-France avec 6,9 millions d'habitants.
Fonte des glaciers, mort des océans, extraction de ressources à outrance, bouleversement sans précédent de la biodiversité, hausse continue du réchauffement climatique, accroissement des inégalités sociales, immuabilité politique, etc.
Une augmentation du débit sanguin et une transpiration trop abondante réduisent la capacité du travailleur à exécuter des tâches mentales et physiques. Le travail physique augmente la production métabolique de chaleur et, par conséquent, la charge calorifique de l'organisme.