Une forte consommation d'alcool non contrôlée pourrait aggraver des affections telles que l'arthrite ou encore la goutte.
Les résultats d'une étude américaine publiée démontrent que l'alcool, et en particulier la bière, seraient impliqués dans le développement de la goutte, une maladie inflammatoire des articulations, et ce même lorsqu'ils sont consommés avec modération.
En cas d'alcoolisation chronique
L'éthanol agit sur les fibres nerveuses, au niveau de la gaine de myéline (la graisse formant la gaine des cellules nerveuses), et peut provoquer une atteinte de plusieurs nerfs, appelée polyneuropathie ou polynévrite, qui va toucher les deux membres inférieurs.
Mais la consommation d'alcool modérée ou élevée modifierait aussi l'apport sanguin à leurs muscles, leurs capacités anti-inflammatoires naturelles du corps ainsi que leur régulation hormonale, autant d'éléments indispensables aux bonnes performances et à la récupération.
Le lien entre les boissons sucrées et l'atteinte du genou est équivalente dans les deux groupes. Ceci suggère que les boissons gazeuses aggravent l'arthrose du genou indépendamment de l'usure des articulations causée par l'excès de poids.
L'alimentation influence l'inflammation et la douleur associées à l'arthrose. Aliments pro-inflammatoires à éviter. Eviter la consommation de sucre, d'huiles riches en oméga 6, de viande rouge et charcuteries, d'alcool, ainsi que d'aliments frits.
Pour limiter aux mieux les problèmes d'articulation, il est peut-être conseillé de proscrire certains types d'alcool. Par exemple, il est conseillé de limiter la consommation de bière, elle augmenterait le risque de gonarthrose et de coxarthrose.
Le Gimber est sans doute l'une des boissons les plus polyvalentes au monde. Tout d'abord, comme la boisson est riche en gingérol, substance aux vertus anti-inflammatoires, anti-bactériennes, digestives, antiseptiques et purifiantes, elle permet d'apporter du confort à l'organisme.
Toute consommation d'alcool présente un risque pour la santé
Pour d'autres pathologies, l'alcool constitue un facteur de risque. C'est le cas de cancers (bouche, pharynx, larynx, œsophage, foie, sein, cancer colorectal) et de maladies cardiovasculaires (hypertension artérielle, cardiopathie ischémique).
Outre les conséquences sociales de l'abus d'alcool, une consommation excessive durant plusieurs années peut endommager pratiquement tous les organes du corps. Le foie est le plus touché, car c'est là que s'effectue la majeure partie de la dégradation de l'alcool.
Premier signal d'alarme : la peau qui tire, est sèche et/ou gonflée avec des rougeurs. Chez certaines personnes, la réaction cutanée est encore plus forte et peut prendre la forme d'un eczéma et de couperose.
Les douleurs articulaires sont le plus souvent dues à l'arthrose. Celle-ci est due à l'usure des cartilages liée à l'âge, surtout chez les personnes âgées, celles en surpoids, les sportifs qui ont intensivement sollicité leurs articulations et les femmes après la ménopause.
Physiquement, les symptômes du manque et de la dépendance sont divers : tremblements, sueurs, hypertension, crises de tachycardie, nausées et vomissements sont les plus répandus et se manifestent en l'absence de consommation d'alcool.
Faire des pauses plusieurs fois pendant la journée
Au travail, veillez à faire des pauses régulièrement pour vous lever et bouger. Au mieux, faites une pause toutes les heures. Au téléphone, « faire les cents pas » est aussi une bonne habitude pour entretenir la souplesse de vos articulations.
La consommation excessive d'alcool provoque une atrophie du cervelet ; celui-ci n'est donc pas capable de remplir sa fonction correctement. Les troubles sont généralement limités aux jambes. La personne a une démarche irrégulière et saccadée, elle écarte les jambes, et a des difficulté à marcher en ligne droite.
La décomposition de l'alcool libère des substances toxiques qui s'accumulent dans l'organisme. Au fil du temps, ces toxines attaquent et endommagent les nerfs, qu'elles détruisent en partie. Ce phénomène donne naissance à une polyneuropathie ou névrite.
Après 20 minutes, l'alcool atteint le foie par l'intermédiaire de sang. Le foie commence à l'assimiler. C'est le foie qui traite en majorité l'alcool, à savoir à 95 %. Les 5 % restants finissent dans les urines, la sueur et l'haleine.
La règle d'or est de choisir un alcool clair pour minimiser la gueule de bois. Alors si ces options semblent être les pires, ce sont en réalité les meilleures. J'ai nommé Vodka, Gin, et Saké. Plus un alcool est clair, moins il contient d'impuretés liées à la fermentation que notre corps a du mal à assimiler.
Mais boire régulièrement au-dessus d'un certain seuil présente des risques. - pour les femmes : pas plus de 2 verres standard en moyenne d'alcool par jour. - pour les hommes : pas plus de 3 verres standard en moyenne d'alcool par jour. pas plus de 4 verres standard en une seule occasion.
Parmi les alcools festifs, le champagne reste le moins calorique avec 81,7 kcal pour 100ml. Les alcools forts comme le whisky (238 kcal), la vodka (239 kcal) ou encore le rhum (242 kcal) ou le gin (265 kcal) sont à bannir de vos repas équilibrés.
Heureusement, il y a de bonnes nouvelles. Chez les personnes souffrant de stéatose hépatique, après seulement deux à trois semaines d'arrêt de consommation d'alcool, le foie peut guérir et semble fonctionner aussi bien que s'il était tout neuf.
La prise en charge non-médicamenteuse de l'arthrose repose sur les exercices physiques (en particulier la kinésithérapie), le traitement du surpoids, les aides techniques (cannes, semelles orthopédiques, orthèses…), l'éducation thérapeutique du patient et les cures thermales.
En effet, cette dernière est un facteur important qui peut contribuer à l'inflammation des articulations. Le but : réduire au maximum tout produit pro-inflammatoire. Certains aliments comme les sucreries, les frites et la charcuterie sont donc déconseillés.