Le vortex polaire est un phénomène météorologique naturel qui se forme au moment de la saison hivernale. Cantonné aux pôles, il est normalement maintenu au-dessus de la région arctique à environ 30 kilomètres d'altitude par des vents circulaires, appelés "jet stratosphérique de la nuit polaire".
Plusieurs modèles de prévision météo font apparaître un affaiblissement du vortex polaire pour début février : celui-ci se décalerait sur la France, avec la possibilité d'une vraie vague de froid. La première quinzaine du mois de janvier 2023 a été la plus douce jamais observée en France.
Durant le week-end du 25 février 2023, Météo France a annoncé un retour du froid hivernal dans tout l'Hexagone. Ce phénomène devrait perdurer pendant plusieurs jours avant que la température ne retrouve des normales de saison.
Il se produit lorsque le jet stratosphérique se met à souffler dans la direction opposée au Jet Stream, situé en contrebas dans l'atmosphère. Ceci a pour conséquence de l'affaiblir et de ralentir les vents en altitude. Il se met alors à osciller jusqu'à descendre vers les latitudes moyennes.
L'affaiblissement du vortex polaire agit alors sur le jet stream qui ralentit et qui devient beaucoup plus sinueux. Les masses d'air froid d'origine arctique se retrouvent alors moins bloquées sur le nord et elles finissent par plonger plus au sud, parfois sur des régions peu habituées au grand froid.
Langres, en Haute-Marne, détient la palme de la ville la plus froide de France. La plupart des villes de ce Top 20 des villes les plus froides en moyenne annuelle se trouvent, comme elle, dans la région Grand Est.
Simplement parce que le sud de l'Europe bénéficie de l'apport tempéré du Gulf Stream, qui protège de l'extrême rigueur des hivers nord-américains.
La raison pour laquelle la température reste toujours au-dessus de ce point de zéro absolu est la présence constante de quelque chose appelé le rayonnement de fond cosmique micro-ondes, une énergie qui a pris naissance dans le "Big Bang" et qui remplit tout le cosmos.
L'hiver météorologique (décembre-janvier-février) s'achève ce 28 février. Il est donc l'heure de dresser un premier bilan de cet hiver 2022-2023 qui a été marqué par d'importantes variations de températures, une pluviométrie déficitaire et un ensoleillement proche de la normale.
La cause ? «La variabilité extrême du climat lié à une circulation anormale. À cette époque, la France est dominée par un flux océanique et un vent d'est en ouest, mais depuis plusieurs années, à cause du changement climatique, le flux océanique n'est plus majoritaire et laisse place au flux méridien qui vient du sud».
La neige devrait donc entamer une font progressive sur nos massifs dès la fin de cette semaine du 6 au 12 février 2023, toutefois, cette fonte devrait rester relativement peu importante avec la persistance des conditions calmes et stables.
Un hiver 2022-2023 enneigé qui s'étirera sur plusieurs mois
On appelle cette période « le coeur de l'hiver ». Les températures glaciales devraient perdurer jusqu'au début du printemps, alors qu'on pourrait connaître des mélanges de précipitations et des tempêtes de neige... même après l'équinoxe!
Les premiers flocons en montagne dès septembre
Rien à voir toutefois avec la situation d'il y a deux ans où d'importantes quantités de neige étaient tombées jusqu'à moyenne altitude dès le 25 septembre, avec parfois plusieurs dizaines de centimètres.
«Cette vague de froid est causée par le courant nord-est touchant le Maroc et qui transporte des masses d'air froid, ce qui contribue à la baisse des températures», explique le responsable communication de la météorologie nationale.
Actuellement, la France se situe entre un vaste anticyclone basé sur l'Europe continentale et une dépression qui évolue sur le sud de la Méditerranée. C'est cette dépression qui provoque un violent épisode de vent d'autan.
Gelées fréquentes et intenses pour ce mois de février qui sera de saison. On retient donc, un début d'hiver marqué par le froid, puis des gelées, du brouillard et des précipitations (pluie, neige, verglas) à prévoir sur l'ensemble de la saison.
Ainsi, selon Météo-France, service officiel de la météorologie et de la climatologie en France, la tendance pour le trimestre novembre - décembre 2022 - janvier 2023 est « la prédominance de conditions anticycloniques avec un temps calme et sec », sur le continent européen.
Il est donc l'heure de dresser un premier bilan de cet hiver 2022-2023 qui a été marqué par d'importantes variations de températures, une pluviométrie déficitaire et un ensoleillement proche de la normale. Au cours de cet hiver 2022-2023, les températures ont été supérieures de 0,7°C à la normale.
Des flocons ont également été observés sur la capitale en fin d'après-midi du 17 janvier 2023. Là encore, la neige fut brève et n'a pas tenu au sol.
Dans l'espace cette faible lueur est encore mieux visible car la lumière des étoiles n'est pas absorbée par l'atmosphère.» Mais si l'obscurité n'est donc pas «totale», il fait donc continuellement sombre dans l'espace.
Or par définition l'Univers est l'ensemble de tout ce qui existe, il ne peut donc rien exister à l'extérieur. Toutefois cela ne signifie pas que l'Univers est infini, il peut être fini sans avoir de « bord », sans avoir en fait d'extérieur.
Toutes les structures vont se défaire, les étoiles, les planètes et même les atomes. C'est ce que l'on appelle le Big Rip, le grand déchirement final, qui pourrait arriver dans seulement 20 à 30 milliards d'années. Mais si l'énergie sombre est constante, tout cela se produira beaucoup plus lentement.
Cette métaphore désigne historiquement la ville de New York, aux États-Unis, mais pourrait désigner génériquement toute très grande ville. New York est réputée pour avoir une activité intense et permanente, dont les façades lumineuses illuminent la ville en continu.
A la location dans les quartiers les plus chers, New York est 58% plus cher que Paris. A la location dans les quartiers les moins chers, New York est 13% plus chère que Paris. En moyenne, les loyers sont 35% plus chers à New York qu'à Paris.
Comme le souligne TF1 dans un reportage consacré à la commune, Mouthe est soumise à des climats froids en raison de son emplacement, "entre deux massifs montagneux, dans le fond d'une 'combe', val en forme de large cuvette dans lequel l'air froid s'accumule en l'absence de vent." Selon ce même média, un an sur deux, le ...