Beaucoup de données justifient l'idée que le cerveau est bien le siège de l'intelligence. La psychologie cognitive permet d'aller plus loin et d'analyser le détail des activités cérébrales susceptibles d'être influencées par l'intelligence, ou même de déterminer le niveau d'intelligence.
INTELLIGENCE - C'est une bonne nouvelle pour les petites têtes. La taille du cerveau n'influence pas les capacités intellectuelles, selon une étude autrichienne.
Ce qui leur a permis de retracer le chemin emprunté par la pensée, du premier stimulus à la formulation de la réponse. Ces travaux confirment que le cortex préfrontal -qui se trouve derrière le front- est bien le "coordinateur" qui organise les interactions entre les différentes zones du cerveau.
Il est constitué de trois parties principales: Le cerveau proprement dit remplit une très grande partie de la boîte crânienne. Il contrôle la mémoire, la résolution de problèmes, la pensée, les sensations ainsi que les mouvements.
Les lieux de la mémoire
Mémoire sensorielle ou perceptive : elle implique différentes régions à proximité des aires sensorielles et le cortex préfrontal. Mémoire sémantique : elle fait intervenir des régions étendues comme les lobes pariétaux et temporaux mais aussi le néocortex, l'hippocampe et l'amygdale.
Le cortex moteur est loin d'être la seule région du cerveau impliquée dans la commande et le contrôle des mouvements. Il faut également mentionner le rôle important des ganglions de la base et du cervelet. Les ganglions de la base interviennent dans une boucle complexe reliant différentes aires corticales.
La réflexion excessive vous donne l'impression de stagner, de faire du sur-place. Sans une réaction immédiate, ce sentiment de rester coincé au même niveau est capable de mettre en danger votre bien-être et votre santé. Les dangers les plus redoutés sont la vulnérabilité, l'anxiété et la dépression.
Fondamentalement, notre cerveau est un réseau tentaculaire de 100 milliards de neurones avec au moins 1 million de milliards de points de connexion, les synapses. C'est cela, selon le postulat des neurosciences cognitives, qui crée nos facultés cognitives, ce que l'on pourrait appeler la pensée ou l'esprit.
Le cerveau contribue à la pensée, mais la pensée ne lui appartient pas. L'union entre le corps et l'esprit qu'on peut attribuer au cerveau forge notre identité. La pensée est une « fonction » du cerveau et des processus biochimiques dont il est le siège .
#1 Les orangs-outans. Les orangs-outans sont les animaux les plus intelligents du monde ! Tout comme les chimpanzés, l'orang-outan est capable d'utiliser des outils, d'apprendre la langue des signes et d'avoir des structures sociales complexes impliquant des rituels.
L'orque a un CE de 2,57, le dauphin de la Plata de 1,67, le dauphin du Gange de 1,55, le grand dauphin de 4,14, et le sotalia de 4,56. C'est moins que l'être humain (CE de 7,44), mais plus que celui des chimpanzés à 2,49, des chiens à 1,17, des chats à 1,00 et de la souris à 0,50.
Les cerveaux de différentes personnes reconnues pour certaines, comme des génies, ont été étudiés et montrent de grandes disparités sans forcément être plus gros. Ainsi, le cerveau du célèbre Albert Einstein n'affichait que 1230 grammes au compteur contre 1300 grammes en moyenne pour un être humain.
Alors nous sommes tous intelligents ? En effet, selon le psychologue Howard Gardner, nous sommes tous des êtres dotés d'intelligences multiples qui nous aident à être compétent dans différentes disciplines. Ainsi chaque personne a une série de limites et de potentiels dans différents domaines.
L'intelligence humaine est caractérisée par plusieurs aptitudes, surtout cognitives, qui permettent à l'individu humain d'apprendre, de former des concepts, de comprendre, d'appliquer la logique et la raison.
Chez l'Homme et les autres primates, il se situe dans le lobe temporal médian, sous la surface du cortex, au-dessus de la cinquième circonvolution (replis du cortex) temporale T5.
Le système limbique fait figure du centre des émotions et de la mémoire. Le néocortex représente le centre des fonctions cognitives supérieures et concerne ainsi par exemple la stratégie, les raisonnements spatiaux et long terme, la perception, la pensée consciente ou encore le langage.
« Avoir conscience, certes, c'est penser et réfléchir sur sa pensée, mais il est faux que cette réflexion soit impossible tant que persiste la première pensée puisque, nous l'avons déjà vu, l'âme est capable de penser à plusieurs choses à la fois et de persévérer dans sa pensée, capable donc toutes les fois qu'il lui ...
Les neurones transmettent les messages entre le corps et le cerveau : en messages d'entrée et en messages de sortie. Chaque neurone comporte des petites branches (les axones) : c'est grâce à ses branches que les neurones se connectent les uns aux autres.
Trouble obsessionnel-compulsif (TOC)
Il s'agit de faire appel à des pensées positives tant que possible et d'essayer de penser à ce qui vous arrive de bien en ce moment afin de changer d'humeur. Si le sujet revient vous serez alors dans un autre état d'esprit et vous pourrez alors sûrement mieux le laisser passer sans lui accorder trop d'importance.
On présente souvent le cerveau gauche comme associé au raisonnement logique et rationnel, le cerveau droit étant plutôt intuitif et émotionnel. Il y aurait ainsi des personnalités plutôt « cerveau gauche » ou « cerveau droit », qui utiliseraient plus un côté du cerveau que l'autre.