C'était le pays des Alamans, un peuple germanique qui vivait entre le Rhin et le Danube. Le mot " Alaman " signifierait " tous les hommes" (en allemand : alle = tous & Mann = homme), donc un regroupement de plusieurs tribus. Les Allemands appellent leur pays Deutschland.
L'Allemagne est occupée dès l'Antiquité par un peuple germanique, les Germains, qui avaient pris la place des Celtes, installés auparavant. L'Allemagne s'appelle alors la Germanie et n'est pas un État à part entière.
— le mot frisé était employé dès 1836 pour désigner les juifs le plus souvent d'origine allemande, mais aussi en les réduisant à leur chevelure. On aurait donc en fait une sorte de retournement ironique en désignant les Nazis ou les soldats allemands comme des juifs.
L'utilisation du mot boche (aussi écrit bosh ou boch) pour appeler nos voisins germaniques remonte à la fin du XIX° siècle. Ce terme est une abréviation du mot d'argot Alboche désignant à l'époque une personne à fort caractère et à l'esprit un peu obtus (alboche = une tête de bois).
Tout le monde sait comment les Français surnommaient les Allemands pendant la Première Guerre mondiale : les Boches. Mais ils en avaient autant pour nous. Outre-Rhin, le terme péjoratif équivalent était « Calmüser », qu'on serait bien en peine de traduire, le mot semblant être un dérivé de patois régionaux.
Les Auvergnats ou Bougnats étaient perçus péjorativement. "Bougnat", pour dénigrer quelqu'un, aurait donné Bougnoule. On dit que les Allemands (occupants en 40/45) en France auraient aussi utilisé "Bougnoule" pour les Français.
Mein Engel : mon ange ; Mein Herz : mon cœur, mon amour ; Meine Maus : ma souris ; Mein Liebling : mon amour.
Boche est un terme péjoratif pour désigner un soldat allemand ou une personne d'origine allemande, mot qui a été utilisé pendant la guerre franco-allemande de 1870 puis plus largement par les Français, les Belges et les Luxembourgeois de la Première Guerre mondiale jusque bien après la Seconde Guerre mondiale.
Étymologie. De Chleuh, un peuple amazighe du sud marocain. Lors de la Première Guerre mondiale, le mot apparait avec le sens de « soldat des troupes territoriales » dans l'argot des soldats combattant au Maroc. (1936) Avec le sens de « frontalier parlant une langue autre que le français : comtois ou alsacien ».
La France se trouve coupée en deux par une ligne de démarcation qui sépare la zone occupée – le Nord et la façade atlantique – de la « zone libre » du Sud. L'armée est réduite, la flotte désarmée. Deux millions de Français sont envoyés comme prisonniers en Allemagne.
fridolin
Familier, péjoratif, vieilli. Allemand, en particulier soldat allemand. (Surnom utilisé surtout pendant la Seconde Guerre mondiale.)
La Bundeswehr (traduit en français par « Force de Défense fédérale » mais littéralement « Défense fédérale ») est l'armée nationale de la République fédérale d'Allemagne depuis 1955. Les forces armées de la République fédérale sont contrôlées en temps de paix par le ministère de la Défense (Verteidigungsministerium).
Terme utilisé par les Français pour désigner les Allemands pendant la période conflictuelle entre les deux pays qui a débuté en 1870 et s'est terminée en 1945. Les Belges et les Québécois ont repris par la suite ce terme.
C'était le pays des Alamans, un peuple germanique qui vivait entre le Rhin et le Danube. Le mot " Alaman " signifierait " tous les hommes" (en allemand : alle = tous & Mann = homme), donc un regroupement de plusieurs tribus. Les Allemands appellent leur pays Deutschland.
Les Némètes sont d'abord un peuple celto-germanique de la vallée du Rhin, en Germanie de l'Antiquité. Dans les langues slaves, les Allemands ont reçu le nom de němьci (němьcь singulier), à l'origine avec un sens « étranger, celui qui ne parle pas [slave] ».
L'allemand standard (Hochdeutsch) s'est développé grâce à l'église protestante. Martin Luther a traduit l'Ancien et le Nouveau Testament entre 1520 et 1535). Le Hochdeutsch sera d'abord utilisé dans les écoles et aidera à former la population germanophone dans le nord de l'Allemagne.
dérivé de allemand , avec le suffixe -boche ; la déformation de altdeutsch (« vieux allemand ») selon une enquête et un article de L'Est républicain datant de 1914 ; altdeutsch était entendu par les Français comme Alldoche devenu Alboche.
Les Chleuhs sont établi dans le pays chleuh, une région du Maroc s'étendant au nord d'Essaouira jusqu'à Azilal et s'étendant à l'est vers le sud à travers l'oued Draa, à l'ouest l'océan atlantique et au sud jusqu'à Guelmim, la porte du Sahara.
un terme français argotique (au pluriel Les Fritz) plutôt péjoratif qui servait à désigner les Allemands durant la Première et la Seconde Guerre mondiale, venant probablement du fait qu'il s'agissait d'un prénom allemand assez courant.
C'est donc une question politiquement chargée, aujourd'hui encore.” L'événement déclencheur de la Grande guerre est connu de tous les écoliers : l'assassinat de l'archiduc François Ferdinand, héritier du trône d'Autriche-Hongrie à Sarajevo le 28 juin 1914 par des nationalistes serbes.
Pendant les huit premiers mois de la Seconde Guerre mondiale, il n'y a quasiment aucun combat. C'est la "drôle de guerre". La "guerre-éclair" ou "Blitzkrieg" prend le relais à partir du 10 mai 1940, date à laquelle les forces allemandes entrent en Belgique, au Luxembourg et aux Pays-Bas.
Mon ou ma chéri.e, mon amour, mon ange, mon cœur, mon ou ma Valentin.e... Toujours selon le sondage TNS Sofres pour Le Pèlerin, ce sont les surnoms classiques qui reviennent le plus souvent. D'après une étude réalisée en 2016 par le site de rencontres eDarling, le surnom le plus utilisé par les Français est "mon cœur".
Il ne faut hésiter à jouer subtilement votre carte française. Généralement, en tant qu'étranger, vous avez l'avantage d'être différent/e et intriguant/e. Quand vous abordez la personne qui vous intéresse, n'hésitez pas à commencer par quelque chose du style “Je ne parle pas très bien l'allemand, seulement un peu”.
Il existe parfois des phrases de drague un peu étrange… En voici une : Ich möchte dich nicht dumm anmachen, aber ich hätte nichts dagegen, wenn du es tust. (Je ne veux pas te frapper, mais ça ne me dérangerait pas si tu le faisais.)