votre baisse de motivation cache une peur d'aller plus loin. vous éprouvez un manque d'intérêt pour ce que vous faites. des idées/conflits extérieurs vous bousillent le moral. vous doutez et manquez de confiance en vous.
La première cause du manque de motivation est la fatigue et le surmenage. Quand vous êtes fatigué, vous avez moins d'énergie pour agir et donc moins de motivation. Quand vous dormez mal la nuit par exemple, vous avez ensuite beaucoup plus de mal à vous motiver à faire des choses le lendemain.
Pourquoi on a envie de rien ? Un comportement apathique peut être provoqué par de nombreuses causes. Les premières sont les troubles psychologiques : "L'apathie peut faire partie d'un tableau clinique", explique Dina Karoubi-Pecon. La bipolarité, la schizophrénie ou encore la dépression peuvent entraîner de l'apathie.
Causes liées à l'environnement :
La démotivation peut résulter d'un mauvais management. Le milieu de travail est souvent le domaine le plus touché par la démotivation : tâches répétitives, sentiments de ne pas progresser, manque de reconnaissance de la hiérarchie, mauvaise ambiance générale...
Essayez de vous souvenir physiquement de cet état de joie, de l'énergie qui se déplace à l'intérieur et qui vous pousse dans le mouvement. Fixez-vous un objectif et couper-le en petits objectifs pour l'atteindre favorise la satisfaction et notre sentiment d'utilité et de capacité.
Quelles sont les causes de l'apathie ? L'apathie peut être la conséquence d'un traumatisme, de troubles psychologiques, et de lésions neurologiques ou cérébrales. Même si elle est associée à des maladies très diverses, celle-ci est souvent liée à la maladie d'Alzheimer.
Causes. L'aboulie est un trouble le plus souvent associé à des maladies psychiatriques : dépression, schizophrénie... La toxicomanie peut également être une cause d'aboulie, tout comme des maladies : un syndrome de fatigue chronique, un burn-out ou la narcolepsie.
L'asthénie, communément appelée fatigue, est un symptôme fréquent. Elle devient anormale lorsqu'elle perdure malgré le sommeil et le repos. Elle peut être passagère et réactionnelle (après un surmenage, lors d'une infection brève…), ou durable, en lien avec une maladie chronique ou une souffrance psychique.
L'anosognosie signifie l'absence de prise de conscience ou une prise de conscience amoindrie des troubles. Elle est fréquente chez les patients souffrant de maladie d'Alzheimer ou d'autres types de démences.
Se sentir vide est associé à la tristesse, à la peine. Ce sentiment est souvent dû à une rupture du quotidien, comme nous l'explique Joëlle DENOYER, notre psychologue. On peut alors ressentir l'abandon, la solitude et une sensation de rejet. Un sentiment qui se situe dans le ventre et le thoraxe.
Lors d'un épisode dépressif, la personne atteinte de ce trouble présente une humeur morose (sentiment de tristesse, d'irritabilité, de vide) ou une perte de plaisir ou d'intérêt pour les activités, pendant la majeure partie de la journée, presque tous les jours, pendant au moins deux semaines.
Une dépression souriante, par définition, est une dépression qui est imperceptible pour votre entourage parce que vous semblez heureux. Toutefois, elle peut être très douloureuse car vous souffrez intérieurement en luttant pour cacher vos symptômes dépressifs.
Mais rester enfermé entre quatre murs 24h/24 risque d'augmenter les niveaux d'anxiété et les troubles du sommeil, rappellent les spécialistes. En cause, le manque de lumière naturelle, essentielle pour réguler notre horloge biologique responsable, entre autres, de l'appétit, de l'humeur et du sommeil.
Le tryptophane, acide aminé responsable en large partie de notre joie de vivre (car fabriquant la sérotonine), peut se trouver en bonne quantité dans la banane. Egalement, l'avoine, ou les céréales complètes et légumineuses en sont riches.
La tachypsychie pourrait se scinder en deux composantes : les « pensées accélérées » et les pensées dites « grouillantes ». Dans un état hypomane, la tachypsychie semble être caractérisée par des « pensées accélérées » résultant d'une production d'idées excessives se succédant les unes après les autres.
L'obsession de rester couché dans son lit, ce que les spécialistes appellent la clinophilie ou la clinomanie, pourrait constituer un symptôme annonciateur de troubles mentaux plus graves, comme la dépression ou la schizophrénie.
Impulsion à proférer des termes orduriers, de nature scatologique ou sexuelle.