Là est sa force vrai. L'homme n'est rien d'autre que son projet, il n'existe que dans la mesure où il se réalise, il n'est donc rien d'autre que l'ensemble de ses actes, rien d'autre que sa vie. L'homme n'est rien d'autre que ce qu'il se fait. Tel est le premier principe de l'existentialisme.
Citation Jean-Paul Sartre Homme Vie : L'homme n'est rien...
Du latin “humanitas”, le terme se traduit par nature humaine, culture générale de l'esprit. L'Humanitas est le caractère de ce qui est humain. Elle désigne aussi « les hommes » en général, le genre humain considéré dans son unité. La plupart des philosophes définissent comme humain tout être doué de raison.
Essence et existence
Chez Heidegger, l'essence de l'homme consiste à se comprendre en tant qu'être-là, i.e. en tant qu'existence. Dans le premier cas, dont Descartes est un représentant, l'abstraction essentielle de l'existence donne l'essence, et inversement dans le second, comme chez Sartre.
Ni ordre parfait, ni réservoir indéfini d'énergie, la nature est d'abord ce que l'homme y fait. La préserver ne doit pas se faire au détriment de l'homme, mais dans le sens de son propre développement. L'homme n'est ni maître, ni esclave de la nature.
Dans la Genèse, la nature est présentée dans le récit de la Création, comme l'œuvre d'un Dieu créateur : « Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre » (Gn 1. 1 [archive]).
L'homme s'autonomise et se substitue à la nature créatrice qu'il transforme. On peut donc affirmer que la technique est à l'origine de la culture humaine. L'homme occupe une place particulière dans le sens où pour reprendre les mots d'Aristote, il est non seulement un animal raisonnable « mais un animal politique ».
Nos vies revêtent toutes sortes de formes complexes d'expression : le désir, la volonté, la motivation, la passion, l'amour et beaucoup d'autres. À vrai dire, tous ces termes décrivent l'essence même de notre vie : un mouvement d'énergie perpétuel, subjectif et manifestement séparé de la nature « morte ».
La raison est une faculté universelle, tous les hommes ont la Raison. Elle fait partie d'une faculté distinctive de l'Homme. L'auteur met en garde le lecteur sur la confusion du mot « raison », lorsqu'on pense en consultant sa Raison et en fonction de ses raisons.
"La nature de l'homme est la somme de ses facultés naturelles, telles que la nutrition, le mouvement, la génération, la sensibilité, la raison, etc. Nous nous accordons tous à nommer ces facultés naturelles ; elles sont renfermées dans la notion de l'homme que l'on définit un animal raisonnable."
Qu'il se questionne ou non, l'homme cherche à procréer, travaille à la protection et l'éducation de sa descendance, veut se sentir utile, cherche à repousser la souffrance et la mort, et à accéder à une existence supérieure (sociale ou religieuse).
Ça vous dit quelque chose? En fait, c'est une adaptation de la très connue citation «On ne naît pas femme, on le devient» de Simone de Beauvoir, issue de son fameux livre Le Deuxième Sexe. Dans ce bouquin, l'auteure stipule que l'identité féminine n'est pas innée, mais acquise.
Comme substantif, il est simplement défini, dans le Petit Robert par exemple, comme « ce qui est humain ; l'homme et ce qui appartient à l'homme », avec comme exemple « réduire le monde à l'humain », puis comme « être humain » (l'humain, c'est l'être humain, c'est-à-dire l'homme).
L'homme ne peut exister sans les autres, mais la coexistence a souvent pour effet l'exploitation des uns par les autres. C'est le constat de Marx et de Rousseau.
La force de l'Homme réside dans son habileté et sa flexibilité plutôt que dans sa rudité et cruauté.
Oui, il est possible survivre seul, même sur une île déserte. Cependant, pour vivre une vie épanouie, mieux vaut être bien entouré de collègue, famille et ami. Alors que certaines personnes disent que mieux vaut vivre seule que mal accompagné, moi je dirais que mieux vaut être accompagné d'un inconnu que d'être seul.
La raison est la faculté de l'esprit qui nous permet de distinguer le vrai du faux et le bien du mal. Elle a donc un usage dans la connaissance, dans le premier cas, elle nous permet d'accéder à la vérité. Elle est utile en morale, afin d'être raisonnable, dans le second cas.
La raison est généralement considérée comme une faculté propre de l'esprit humain dont la mise en œuvre lui permet de créer des critères de vérité et d'erreur et d'atteindre ses objectifs.
On admet généralement que la conscience est le propre de l'être humain au même titre que la raison. Pourtant, la conscience est une forme de présence au monde qui semble commune à certains animaux et aux êtres humains.
« La conscience de Dieu est la conscience de soi de l'homme, la connaissance de Dieu est la connaissance de soi de l'homme. À partir de son Dieu tu connais l'homme, et inversement à partir de l'homme, son Dieu : les deux ne font qu'un. » Telle est « l'essence de la religion en général ».
Différence entre existence et essence
L'« existence » signifie le fait que quelque chose soit. L'essence est par définition, la nature d'une chose. Elle désigne ce qui fait qu'une chose est, ce qu'elle est.
« Le désir est l'essence de l'homme » écrit Spinoza dans l'Éthique. Il faut comprendre par là que l'homme est désir et qu'il s'affirme en exprimant pleinement la puissance qui le caractérise. Cette approche positive rompt avec l'idée selon laquelle le désir ne serait que manque et marquerait l'imperfection humaine.
La nature est un bien commun de l'humanité ; celui-ci devrait donc, pour des raisons morales et rationnelles, être respecté de tous, car il a une valeur patrimoniale unique. La nature constitue un capital naturel qui conditionne la vie humaine sur terre.
Il n'est ni bon ni mauvais, mais exprime ses tendances compassionnelles ou cruelles selon l'identité de la victime. La zone de la cruauté (le noyau accumbens) est un générateur de plaisir, activé aussi bien par la nourriture que par l'alcool, les drogues ou le sexe.
Introduction : définition de la nature
L'homme est inclus dans la première définition en tant qu'être vivant, animal mais ce qu'il crée est exclu de la seconde. La nature, c'est ce qui n'a pas été produit de la main de l'homme, mais de celle de Dieu ou qui existe en tant qu'ensemble soumis à des lois (Kant).