La fibroscopie bronchique est un examen très fréquemment utilisé pour aider au diagnostic de nombreuses maladies du poumon, particulièrement pour les infections, les cancers ou encore les maladies inflammatoires chroniques du poumon.
Il contient les descriptions des observations faites lors de la fibroscopie bronchique. Une copie est faite pour le médecin traitant. Quand une biopsie est réalisée, les résultats sont connus dans un délai de 3 à 7 jours, temps nécessaire aux analyses en laboratoire d'anatomopathologie.
Est-ce douloureux ? C'est un examen non douloureux mais désagréable : il peut provoquer des réflexes de toux et de vomissements et donner l'impression de manquer d'air au passage du fibroscope au travers des cordes vocales. Le désagrément est bref mais nécessite d'être détendu et de respirer calmement.
Cet examen consiste à introduire par les voies respiratoires naturelles (nez ou bouche) un tube flexible, de petit calibre, appelé fibroscope parfois relié à une caméra. Cet appareil va descendre jusqu'aux bronches et va permettre de voir ces dernières et de faire des prélèvements.
Cet examen est sans risques particuliers. Les complications de la fibroscopie œso-gastrique sont exceptionnelles aujourd'hui. Elles peuvent être liées à un problème d'anesthésie et donc une consultation pré anesthésique est nécessaire : elle se fera quelques jours avant l'examen.
Elle provoquera une petite douleur de courte durée. la traversée de la plèvre (enveloppe autour du poumon) est un peu désagréable. Après cela, vous n'aurez plus que des sensations de pression sur la peau.
La fibroscopie est réalisée soit sous anesthésie locale (pour la gorge), soit sous anesthésie générale. Elle est généralement de courte durée, entre 5 et 15 minutes, selon s'il s'agit d'une « simple » exploration, ou bien si elle est accompagnée d'un prélèvement ou – plus long – d'un geste thérapeutique.
Les contours sont alors irréguliers et épais à l'imagerie, ce qui suggèrent une malignité. On considère que 95% des nodules avec une paroi inferieure a 5 mm sont bénins et 84% des nodule excavés avec une paroi supérieure a 15 mm sont malins.
Nous utilisons surtout l'endoscopie bronchique souple. De durée variable, entre 10 et 30 minutes, cet examen consiste à introduire, par les voies respiratoires naturelles (le nez ou la bouche), un tube flexible appelé bronchoscope qui permet d'examiner la trachée et les bronches.
Après une fibroscopie digestive haute, le patient ne devrait pas ressentir de gêne puisque "l'appareil mesure 6 à 8 mm de diamètre, ce qui est beaucoup moins qu'une simple bouchée" explique le Dr Cordet. De manière générale, il ne faut pas boire, ni manger pendant les 2 heures qui suivent l'examen.
Cancer primitif des bronches : le traitement
Il repose essentiellement sur la chirurgie d'exérèse lorsqu'elle est possible : ablation d'un lobe (lobectomie ) ou d'un poumon (pneumonectomie) après estimation de l'état fonctionnel respiratoire.
L'examen clinique suivi d'une radiographie thoracique sont les premières étapes pour diagnostiquer un cancer du poumon. La radiographie du thorax peut être normale alors qu'un cancer du poumon est présent (en particulier si la tumeur en cause est de petite taille) : il est alors utile de prescrire d'autres examens.
La fibroscopie permet de repérer les lésions suspectes, d'en connaître l'aspect, la localisation et la taille. C'est aussi l'occasion de réaliser une biopsie, c'est-à-dire de prélever un échantillon du tissu d'aspect anormal, de le faire analyser et ainsi préciser la nature de la lésion.
L'examen utilise un appareil souple appelé endoscope qui est introduit par la bouche ou par le nez, après, dans certains cas, une anesthésie locale. Le plus souvent, vous êtes installé(e), couché(e) sur le côté gauche. L'examen n'est pas douloureux.
Appelée aussi fibroscopie oeso-gastro-duodénale, la fibroscopie digestive « haute » est un examen qui permet de visualiser l'intérieur du tube digestif haut (œsophage, estomac, duodénum) grâce à l'introduction d'un tube flexible appelé fibroscope ou endoscope.
L'endoscopie bronchique souple est un examen pratiqué pour investiguer une maladie des voies aériennes supérieures et inférieures, ou des poumons. Elle consiste à introduire, par les voies respiratoires naturelles (le nez ou la bouche), un tube flexible appelé bronchoscope.
Il est possible que le cancer du poumon ne cause aucun signe ni symptôme aux tout premiers stades de la maladie. Les signes et symptômes apparaissent souvent au fur et à mesure que la tumeur se développe et provoque des changements dans le corps comme la toux ou l'essoufflement.
Des douleurs persistantes dans la poitrine et dans les bras sont un signe de cancer du poumon à un stade déjà avancé, lorsque les tumeurs commencent à irriter les nerfs situés aux alentours de l'apex du poumon.
Ainsi une simple prise de sang pourrait déterminer qui doit se voir conseiller un dépistage précoce avec une plus grande précision. Cette identification des patients à risque de cancer du poumon permet dès lors de les orienter plus rapidement vers des examens spécifiques (CT scanner à faible dose).
Le cancer du poumon à petites cellules est le type le plus agressif de cancer du poumon. Dans de nombreux cas, il s'est déjà propagé à d'autres parties du corps au moment où il est diagnostiqué.
infections et pneumonies : les infections du poumon, dont font partie les pneumonies, peuvent occasionner des douleurs thoraciques et dorsales. Celles-ci sont accompagnées d'une forte fièvre, de toux et d'une gêne respiratoire. Ces infections doivent être prises en charge par un médecin.
Lors de cet examen, votre médecin peut observer vos cordes vocales, puis votre œsophage, votre estomac, votre duodénum et la muqueuse qui les tapisse. Pratiquement, ce fibroscope est introduit par votre bouche (ou plus rarement par votre nez), puis il descend jusqu'à votre œsophage et votre estomac.
La gastroscopie, est l'examen de référence qui permet, grâce à un appareil à fibre muni d'une caméra (l'endoscope) d'explorer les parois de la partie haute du tube digestif : œsophage, estomac et duodénum (le début de l'intestin grêle).
Il consiste à faire une piqûre entre les côtes, puis de guider l'aiguille au travers du poumon jusqu'à la tâche (sous contrôle visuel au scanner) pour y réaliser des prélèvements. Cet examen permet, dans la majorité des cas, de connaître la nature de l'image sur laquelle votre médecin s'interroge.