Les Geishas sont célèbres pour le maquillage blanc de leur visage, symbole de pureté. La poudre qu'elles appliquent, par-dessus une huile à base de camomille et de clous de girofle appelée bintsuke-abura, est obtenue après broyage de grains de riz.
Le teint clair, une question de bienséance
Cette pratique devient un signe de beauté à l'époque Heian, du IXe au XIIe siècle, comme en attestent certains passages du Journal de Murasaki Shikibu ou du Dit du Genji. Se maquiller la peau en blanc était alors un signe de statut social dans l'aristocratie.
La peau blanche était synonyme d'opulence. Ce phénomène est toujours d'actualité en Chine où le travail dans les rizières et dans les champs agricoles nécessite de passer de nombreuses heures sous le soleil alors que la classe supérieure reste protégée, à l'ombre.
Le kimono des geishas est porté avec l'obi, ou la ceinture de soie qui accompagne généralement les habillements nippons. L'obi se ferme par un nœud dans le dos, c'est très important, car cela permettait de les différencier des prostituées qui nouaient la ceinture de leur habit sur le devant.
Elles n'ont pas le droit de se marier ni d'avoir des enfants, mais elles peuvent se choisir un amant (ou plusieurs), sans forcément qu'il s'agisse d'un client. «Certains Japonais se figurent que les geikos continuent d'avoir un danna, un protecteur riche, explique Komomo.
Ce phénomène typiquement japonais se distingue de la prostitution « classique » par les motivations supposées des jeunes filles impliquées : plutôt qu'une source stable d'argent, c'est une source occasionnelle d'argent de poche ou d'appoint qui serait visée, souvent stigmatisée par le désir de se procurer des produits ...
Un chignon de cheveux lisses noirs, réalisé par un coiffeur pour une semaine (les geishas dorment pour cela sur un repose-nuque !), ou une perruque.
Dans le monde des geisha (芸者), chacune bénéficie d'un protecteur financier appelé son danna. Autrefois, les danna étaient généralement de riches notables, ce rôle offrait un certain prestige, leurs statuts et richesses étaient essentiels à l'entretien onéreux des geisha.
Les dannas, patrons de geishas
En plus de disposer de larges moyens financiers, un homme qui veut devenir un danna se doit d'être une personne influente, bien connu dans le quartier et évidemment un client assidu. L'accord se conclu par le biais de la patronne de l'établissement dont l'homme est le client.
Quelle que soit la technique utilisée, le principe du massage bien-être apparaît simple. Il s'agit d'activer les points énergétiques optimisant ainsi la circulation sanguine et énergétique. La régulation de ce flux permet d'éliminer les blocages à l'origine des désagréments physiques et du stress.
En outre, la peau asiatique est souvent grasse et peut être plus prédisposée à l'acné. De plus, en raison du climat très humide dans de nombreux pays asiatiques, le problème ne fait que s'aggraver.
Ici, c'est une fraîche blépharoplastie, là, une rhinoplastie ou encore, c'est de plus en plus fréquent en Corée, des jeunes filles qui portent un bandage sur un seul œil. Ce sont les effets du débridage qu'elles pratiquent de manière décalée : un œil après l'autre.
La peau parfaite des Japonaises tient aussi à leur consommation de poisson. En cause, la richesse du poisson en acides gras omégas-3, de puissants hydratants et assouplissants. Autres atouts belle peau de l'alimentation à la japonaise : les algues ! Certaines sont anti-âge, d'autres sont anti-oxydantes.
Lorsqu'un samouraï se teignait les dents en noir, cela reflétait sa décision de ne plus servir un autre daimyo pour le reste de sa vie, et depuis l'époque des shikken, les nobles appliquaient cette coutume avec une signification similaire de loyauté envers le shogun.
Il apprend également quelles étaient les intentions de Sayuri lorsqu'elle se trouvait avec le ministre. Sayuri lui avoue enfin son amour, caché depuis plus de 15 ans. L'histoire se termine par une réflexion sur sa vie à New York et les personnes importantes à ses yeux.
La tenue d'une geisha se compose principalement d'un kimono de soie, fait à la main et de grande valeur (il peut coûter plusieurs milliers d'euros), fermé dans le dos par un obi, cette large ceinture traditionnelle japonaise. Selon l'âge de la geisha, le nœud du obi ne se fera pas de la même manière.
Un danna (旦那) est un homme puissant et riche qui paie toutes les dépenses des geishas. Pour devenir une geisha, il faut beaucoup de temps et d'argent. Le danna payera et s'occupera de la geisha tout au long de sa vie, c'est l'okiya qui le designe en fonction de différents critères, tels que sa richesse ou son prestige.
Il est possible de voir des geisha et des maiko dans les villes de Tokyo et de Kyoto, là où s'établissent les quartiers où elles vivent et où elles sont formées. Les quartiers de Gion, Pontocho, Miyagawacho, Kamishichiken et Shimabara sont les quartiers principaux des geisha.
geisha n.f. Danseuse et chanteuse japonaise.
Un oiran doit être bien éduqué, hautement formé à différentes compétences telles que le chado, la calligraphie, l'ikebana et le shamisen.
Il n'est pas dit formellement que les geisha ne peuvent pas avoir de relations sexuelles avec leurs clients, mais cela est toujours resté officieux pour des questions de prestige et d'élégance.
Les geishas étaient nombreuses aux XVIII e et XIX e siècles. Elles existent encore dans le Japon contemporain bien que leur nombre soit en constante diminution : estimé à 17 000 dans les années 1980, il n'est plus que d'environ 200 de nos jours, principalement à Kyōto dans le quartier de Gion.