Pourquoi n'écrit-on pas « j'ai dis » ? Parce que la terminaison du participe passé du verbe dire, conjugué au passé composé avec l'auxiliaire avoir, est dit, que le sujet soit masculin ou féminin, singulier ou pluriel.
Exemple : ''C'est bien ce que j'ai dit !'' "Dit" est le participe passé du verbe "dire". On peut écrire "dis" uniquement s'il s'agit de la première personne du singulier du verbe conjugué au présent simple ou au passé simple : "je dis".
La conjugaison du verbe dire comporte une irrégularité au présent : je dis, tu dis, il dit, nous disons, vous dites, ils disent. Et non pas *vous disez, à proscrire.
On écrit toujours je lui ai dit avec un t à la fin et avec le mot ai en deux lettres.
Pourquoi n'écrit-on pas « j'ai dis » ? Parce que la terminaison du participe passé du verbe dire, conjugué au passé composé avec l'auxiliaire avoir, est dit, que le sujet soit masculin ou féminin, singulier ou pluriel.
Bonjour, Le pronom « lui » a deux fonctions : - En forme disjointe, non réfléchie, il correspond à la troisième personne du singulier au masculin (et le féminin est « elle »). - En forme conjointe, il a la fonction d'objet indirect et correspond indifféremment au masculin et au féminin.
Oui (« La nouvelle version du jeu ne sortira que en 2013 »). Il faut donc écrire « qu'en », et non « quand ».
On peut dire "Je me suis dit" et "Je me suis dite", "Gisèle s'est dit" et "Gisèle s'est dite", mais pas dans les mêmes cas, et c'est sans doute pourquoi elle ne sait plus sur quel pied danser. Si vous êtes un homme, pas de souci, vous dites "Je me suis dit" dans tous les cas. Mais, au féminin, ça se complique.
Interrogation à travers laquelle on sollicite l'avis de notre interlocuteur.
On n'écrit pas « j'ai fais », parce qu'il s'agit du verbe « faire » à la 1e personne du singulier du passé composé de l'indicatif. Le participe passé du verbe « faire » est « fait ». On écrit « j'ai fait ». Exemple : J'ai fait un vœu.
"d'accord!"
Il faut dire : « C'est moi qui l'ai fait. » C'est moi qui = je (1re personne du singulier). Vous accorderez donc le verbe avoir avec « je ». De même, vous écrirez, « c'est toi qui l'as fait » (= tu), « c'est nous qui l'avons fait », etc.
Et ensuite, on écrit dis donc en deux mots, sans trait d'union.
Parce qu'il s'agit du verbe pronominal « se dire », conjugué à la 1e personne du singulier du passé composé de l'indicatif. Le participe passé du verbe « (se) dire » est « dit, dite ».
"Je me suis coupé" est le passé composé du verbe pronominal "se couper" et signifie plus ou moins "couper soi-même sa propre peau". Par exemple : je me suis coupé en me rasant. "Je suis tombé" est le passé composé actif de "tomber" : j'ai trébuché sur une pierre et je suis tombé.
On peut trouver un verbe avec cette terminaison lorsqu'il suit un verbe déjà conjugué. Ex : Je vais aller à la piscine. Si le doute persiste, on peut remplacer ce verbe par un autre verbe du 3e groupe. Le verbe en -er ont un participe passé en -és ou -ées au passé composé.
Selon les règles d'orthographe françaises, il faut écrit « a-t-il » avec des tirets. En effet, le « t » est un « t » euphonique, qui a été ajouté pour faciliter la prononciation et non la contraction du pronom « toi » ou « tu ».
On écrit qu'en lorsqu'on peut le remplacer par que...de cela. Qu'en penses-tu? => Que penses-tu de cela? On écrit quant lorsqu'on peut le remplacer par en ce qui me concerne.
1) Tu penses (à) quoi ? / Tu en penses quoi ? Lorsqu'on demande l'opinion à quelqu'un, on peut utiliser : “Tu en penses quoi ?” ou “Qu'en penses-tu ?” / “Qu'est-ce que tu en penses ?”.
Pronom accentué, uniquement masculin, sujet, attribut du sujet, objet direct, apposition, complément précédé d'une préposition (il peut être renforcé par même : lui-même) : Sans la liberté, l'homme n'est pas lui-même.
Le complément d'objet direct est un mot ou (groupe de mots) qui se joint au verbe SANS PREPOSITION pour en compléter le sens. Il subit l'action accomplie par le sujet. - Il appartient au groupe verbal. - C'est un complément essentiel, on ne peut pas le supprimer car la phrase n'aurait plus de sens.
Le pronom lui est épicène quand il est employé comme COI et qu'il est placé directement devant le verbe, sans préposition, ou encore après un impératif. Dans tous les autres cas il est remplacé par elle au féminin.
S'emploie pour exprimer l'incertitude quant à la proposition qui précède ou suit. Qui sait, ils ont pu avoir des bouchons sur l'autoroute... Qui sait si les médecins suffiront à la guérir...