des maladies pulmonaires comme l'asthme, l'emphysème et la maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC); des troubles du cœur comme une insuffisance cardiaque congestive ou un rythme cardiaque anormal; le tabagisme; l'anxiété et le stress.
Quand consulter un médecin
Les personnes qui présentent un essoufflement au repos, une douleur thoracique, des palpitations, une diminution du niveau de conscience, de l'agitation ou de la confusion, ou qui ont des difficultés à inspirer et expirer l'air de leurs poumons doivent se rendre tout de suite à l'hôpital.
Placez les paumes de vos mains sur votre ventre. Inspirez posément par le nez en gonflant votre ventre comme s'il s'agissait d'un ballon. Bloquez ensuite votre respiration quelques secondes. Expirez profondément par la bouche en creusant votre ventre jusqu'à ce que tout l'air soit évacué.
En cas de dyspnée aiguë ou chronique sévère, une oxygénothérapie est effectuée afin de pallier le manque d'oxygène de l'organisme. En cas d'asthme chronique, un traitement de fond de la famille des corticoïdes peut être envisagé en parallèle d'une kinésithérapie respiratoire.
Fatigue particulièrement lors des activités physiques. Essoufflement au moindre effort.
La sédentarité, une alimentation inadéquate, et le tabagisme nuisent à votre état de santé respiratoire. Mettre en place une activité physique et une alimentation adaptées, associées à un sevrage tabagique, limitera ainsi l'évolution de votre maladie.
d'infections pulmonaires répétées : bronchites, pneumonies ; d'une modification de la voix (du timbre ou de l'intensité) qui devient souvent enrouée ou voilée ; de sifflements pendant la respiration.
La bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) est une maladie pulmonaire courante qui réduit le flux d'air et cause des problèmes respiratoires. On l'appelle aussi emphysème ou bronchite chronique. En cas de BPCO, des sécrétions peuvent endommager ou obstruer les poumons.
La dyspnée aiguë est un motif fréquent de consultation aux urgences. Les origines les plus fréquentes chez l'adulte sont l'insuffisance cardiaque aiguë, l'embolie pulmonaire et une infection pulmonaire survenant sur un poumon déjà malade (asthme, bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), etc.)
Ce phénomène peut survenir en cas de stress intense, d'anxiété ou de crise de panique. Notre psychisme et notre respiration sont liés. Plus notre cerveau émotionnel s'emballe, et plus notre corps réagit avec notamment une accélération de la respiration.
Avec le stress, la respiration peut être saccadée, s'accélérer, déboucher sur une hyperventilation, devenir thoracique.
La spirométrie est la méthode la plus courante pour mesurer la fonction pulmonaire. Elle permet de diagnostiquer diverses maladies pulmonaires et des voies respiratoires.
Sueurs nocturnes. Perte d'appétit. Douleur nouvelle et prolongée. Problèmes de vue ou d'audition.
Les médecins suspectent un cancer du poumon quand une personne, surtout si elle fume, signale une toux persistante ou qui s'aggrave, d'autres symptômes pulmonaires (tels qu'essoufflement ou expectorations teintées de sang) ou une perte de poids.
L'IRM et le Pet scanner pour un cancer généralisé indiquent l'étendue des lésions. La scintigraphie osseuse permet de détecter des métastases osseuses et des métastases sur les cartilages. Quant aux examens sanguins, il s'agit de mesurer ici les taux de marqueurs tumoraux (l'enzyme LDH ou la protéine C-réactive).
L'insuffisance respiratoire entraîne une mauvaise oxygénation du sang, qui se manifeste principalement par des difficultés respiratoires (ou dyspnée), un essoufflement et une fatigue survenant pour des efforts, même très minimes.
Le syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA) est une forme gravissime d'insuffisance respiratoire, caractérisée par une atteinte pulmonaire inflammatoire diffuse aiguë1 qui entraîne une augmentation de la perméabilité des capillaires alvéolaires et un œdème pulmonaire non hydrostatique.
Voici quelques-unes des causes fréquentes de l'hypoxémie : Des maladies respiratoires aiguës ou chroniques (bronchopneumopathie chronique, embolie pulmonaire, infarctus pulmonaire, etc.). Une insuffisance cardiaque. Une anémie sévère.
La quantité d'oxygène dans le sang (ou hypoxémie) diminue. Elle peut être causée par l'altitude : en effet l'oxygène se raréfie à mesure que l'on s'élève. Le manque se fait ressentir aux alentours des 2 500 mètres d'altitude, et s'accentue progressivement : c'est le mal des montagnes.
L'exercice physique contribue à la bonne santé du cerveau ; le mouvement agit en effet à deux niveaux : il accroît d'une part le débit cardiaque et donc le flux sanguin et d'autre part la fréquence respiratoire, et donc les niveaux d'oxygène dans le sang.
[Quatre pictogrammes – Essoufflement inhabituel, Prise de poids rapide, Pieds et chevilles gonflés, Fatigue excessive – apparaissent à l'écran.] Ces 4 symptômes ne doivent pas être pris à la légère. C'est peut-être le signe que votre cœur ne fonctionne plus correctement.
On parle d'insuffisance cardiaque lorsque le cœur perd une partie de sa force musculaire et sa capacité de contraction normale ; il ne pompe plus suffisamment de sang pour permettre aux organes de recevoir assez d'oxygène et d'éléments nutritifs, essentiels à leur bon fonctionnement.