"Il est dû à un déséquilibre entre le système nerveux parasympathique qui ralentit la fréquence cardiaque et le système nerveux sympathique qui l'accélère. Très fréquent il survient lorsque le sujet à chaud, de préférence s'il est à jeun, stressé ou fatigué.
Cette syncope peut être précédée de signes annonciateurs : "sueurs, nausées, étourdissement, faiblesse dans les jambes ou troubles de la vision", décrit le site de l'Assurance maladie (Source 2).
La sensation de malaise, qui ne se traduit pas par un évanouissement mais plutôt par un vertige ; La syncope, ou malaise vagal, qui se caractérise par une perte de connaissance soudaine et totale (la personne n'est plus consciente de son environnement).
Un malaise lipothymique est un malaise passager caractérisé par une impression angoissante d'évanouissement imminent. D'origine vaso-motrice –d'une irrigation du cerveau passagèrement moindre-, il est engendré par une fatigue physique et/ou nerveuse mais n'aboutit que rarement à l'évanouissement total.
En effet, un vertige s'accompagne souvent d'un déséquilibre et d'un malaise et, à l'inverse, un malaise génère volontiers un déséquilibre et un vertige. Ainsi, les termes qu'utilisent les malades pour décrire leurs symptômes correspondent parfois peu aux définitions du dictionnaire.
De nombreux facteurs et maladies peuvent être la cause d'asthénie : Il y a en premier lieu le manque de sommeil ou la mauvaise qualité du sommeil qui peuvent être liés à des pathologies du sommeil comme le syndrome d'apnée du sommeil, mais aussi des troubles hormonaux tels que les troubles de la thyroïde.
Juste avant la perte de conscience, les chercheurs leur ont demandé d'haleter ou de renifler deux fois la bouche fermée, puis d'expirer. Ce réflexe simple a permis de rétablir la circulation sanguine et le rythme cardiaque, et d'éviter l'évanouissement.
L'évanouissement, aussi appelé syncope, est une perte de conscience temporaire souvent attribuable à une diminution brève du flot sanguin au cerveau. La perte de conscience est souvent due à une chute de tension artérielle ou un rythme cardiaque très lent.
Qu'il soit occasionnel ou plus fréquent, ce malaise ne présente aucune gravité, car la perte de connaissance ne dure que quelques secondes, au pire quelques minutes. Le plus souvent, la personne pressent le malaise et a le temps de s'asseoir ou de s'allonger afin d'éviter une chute.
Quelles sont les causes pathologiques d'un malaise ? Un malaise peut être dû au développement d'une maladie : d'origine cardio-vasculaire, notamment lors d'un accident vasculaire cérébral (malaise cardiaque) ; d'origine neurologique, notamment lors des crises épileptiques (malaise épileptique).
manifestations physiques : accélération du rythme cardiaque (palpitations, tachycardie), pâleur, tremblements, transpiration, sensation de d'étouffement ou d'étranglement, douleurs thoraciques, nausées, vomissements, vertiges, maux de tête … signes comportementaux : prostration ou agitation sans but, déambulation …
Le malaise sans perte de connaissance, qui peut se manifester par une "sensation d'inconfort" (vertige, difficultés respiratoires, anxiété) ou des palpitations, des crises d'angoisse ; La syncope, qui correspond à une perte de connaissance soudaine et temporaire, avec chute éventuelle.
Les causes possibles sont : la sclérose en plaque, l'accident vasculaire cérébral, les maladies inflammatoires et dégénératives du système nerveux central, la maladie de Parkinson.
Symptômes d'une syncope
Le malaise peut parfois être caractérisé par différents signes avant-coureurs : sueurs, bourdonnements dans les oreilles, vision floue, palpitations, oppression respiratoire...
Si « tomber dans les pommes » est souvent anodin, ces syncopes peuvent également être le signe d'une pathologie beaucoup plus grave. Pour évaluer ce risque, des médecins canadiens viennent de créer un protocole de notation de la gravité du malaise.
Il s'agit souvent d'un malaise vagal sans gravité, en dehors du risque de traumatisme lié à la chute. Cette syncope peut être précédée de signes annonciateurs : sueurs, nausées, étourdissement, faiblesse dans les jambes ou troubles de la vision.
On l'appelle burn out, ou syndrome d'épuisement professionnel. Peut-être parce que cette pathologie est multiforme. Grosse fatigue physique, émotionnelle, voire intellectuelle, elle peut cumuler les trois maux et avoir des conséquences parfois graves.
L'asthénie, communément appelée fatigue, est un symptôme fréquent. Elle devient anormale lorsqu'elle perdure malgré le sommeil et le repos. Elle peut être passagère et réactionnelle (après un surmenage, lors d'une infection brève…), ou durable, en lien avec une maladie chronique ou une souffrance psychique.
De nombreux symptômes, souvent désagréables, peuvent apparaître en cas de dysfonctionnement du nerf vague : une rigidité au niveau du cou, des douleurs cervicales inexpliquées, des maux de tête ou des troubles digestifs.
Le nerf pneumogastrique aussi appelé "nerf vague", "nerf vagal" ou "nerf parasympathique" est un nerf très long et localisé de chaque côté de l'organisme, le parcourant du crâne jusqu'à l'abdomen.
Les symptômes les plus connus sont le repli sur soi, l'incapacité d'agir, les sautes d'humeur, un comportement désorganisé, des problèmes de concentration, des mouvements répétitifs, des difficultés à tenir une conversation.
Fatigue extrême, vertiges, problèmes digestifs, insomnies, douleurs physiques persistantes (au niveau du dos par exemple), migraines, problèmes de poids, éruptions cutanées ou infections fréquentes (rhumes, otites, sinusites, bronchites) : si vous présentez l'un de ces signes en plus de ressentir un important niveau de ...