Parce qu'on n'a pas appris à être heureux, à avoir confiance en soi, à gérer ses émotions et à gérer son stress et son anxiété. Parce qu'on n'a pas appris à se fixer et à atteindre des objectifs de coeur, à être et rester motivés.
Regretter ses actions passées, ses choix, ne vous rendra pas plus heureux, bien au contraire. Avoir des regrets ne vous fera que prendre conscience de toutes les mauvaises décisions faites dans le passé. A l'inverse, prévoir votre vie future vous rendra nerveux, obsessionnel, et pour finir, malheureux.
Si vous êtes conscient que vous refusez d'être heureux, c'est probablement qu'un traumatisme vous empêche de profiter de la vie. Il est donc important que vous preniez le temps de découvrir la cause de ce traumatisme… peut-être même le savez-vous déjà. Dans ce cas, il vous sera peut-être nécessaire de consulter un.
Il peut exister diverses causes à cette humeur changeante. Ces causes peuvent être actuelles (un changement récent dans votre rythme de vie, un évènement relatif à la vie de famille ou au travail), mais elles peuvent également être plus anciennes et resurgir aujourd'hui de façon inconsciente.
En avoir marre de tout est tout à fait normal.
C'est même d'ailleurs une bonne nouvelle, car cela veut dire que tu as besoin de changements, tu as besoin d'évoluer et c'est parfait ainsi !
Ce qui peut aussi causer une perte de joie de vivre c'est que vous passez beaucoup de temps à ruminer des évènements passés ou à vous inquiéter de ce qui pourrait arriver dans le futur. Pourtant, le passé n'existe plus et le futur n'existe pas encore.
Vivre à 100 à l'heure ne signifie pas qu'il ne faut pas s'accorder un peu de temps pour soi. Au contraire. Si on veut être bien dans notre vie, il faut savoir se chouchouter. On soigne son alimentation, on prend soin de son corps et on dort autant qu'on en a besoin (attention, on a bien dit "besoin", et pas "envie").
- de notre nature : d'un côté, tout homme aspire au bonheur (Freud) et de l'autre, notre nature est un des trois obstacles au bonheur (corps voué à la déchéance, à la dissolution). 2. Le bonheur se réduit souvent à une situation : être riche, être en bonne santé.
La conscience de ce que nous sommes peut être un obstacle au bonheur, puisque prendre conscience de soi, c'est sortir de l'illusion et de l'ignorance de soi. On peut alors découvrir sur soi des choses qui nous dérangent ou attristent.
Car le bonheur expose notre coeur plus facilement aux souffrances. Lorsque nous nous sentons heureux, nous avons tendance à baisser nos gardes sur ce qui nous fait peur. Et lorsque qu'une blessure du passé se rouvre douloureusement, nous ne sachons que faire. En bref, fuir le bonheur est une solution.
Reprogrammez votre esprit pour vous concentrer sur les choses importantes sur le moment au lieu de penser à ce que les autres pensent ou disent. Pour terminer, vous devez apprendre à utiliser les critiques constructives d'une manière saine et à filtrer les critiques inutiles ou trop dures.
De manière générale, créer du lien social reste primordial pour être bien dans sa vie. Difficile d'être heureux sans les autres… Sachez vous entourer d'amis sincères pour partager les bons moments et avoir du soutien dans les moments difficiles. De votre côté, montrez-vous présent lorsque la situation l'exige.
L'estime de soi ! C'est un gage de bonheur, une dimension de votre personnalité qui a besoin d'être alimentée. Une personne qui a une haute estime d'elle-même, se traite en diva, "elle prend la responsabilité de sa vie, et donc de son bonheur, sans blâmer les autres", explique le psychiatre Christophe André.
notamment grâce à l'endorphine qui est libérée dans notre cerveau pendant et après l'acte sexuel. Être amoureux, c'est en réalité une sorte d'antidépresseur naturel, vous faisant oublier les soucis et le stress du quotidien et vous aidant à être heureux et bien dans votre peau !
Quand le quotidien s'enlise, que les objectifs deviennent flous et que l'on manque d'entrain, comment retrouver l'envie d'avancer ? En se fixant des objectifs qui nous enthousiasment. Et pour cela, il faut commencer par savoir vraiment ce qui nous motive, au plus profond de nous.
Si vous n'en avez aucune idée, voici les pistes les plus récurrentes : votre baisse de motivation cache une peur d'aller plus loin. vous éprouvez un manque d'intérêt pour ce que vous faites. des idées/conflits extérieurs vous bousillent le moral.