La plupart du temps, la perte de poids survient parce que les personnes absorbent moins de calories que nécessaire. Elles peuvent absorber moins de calories parce que leur appétit a diminué ou parce qu'elles sont atteintes d'un trouble qui empêche leur tube digestif d'absorber des nutriments (appelé malabsorption ).
La perte de poids inexpliquée peut aussi témoigner d'une infection virale ou bactérienne (hépatite, tuberculose, pneumonie, HIV…). Elle résulte aussi parfois de la présence d'un parasite intestinal ramené d'un voyage à l'étranger, comme le tænia, qui fait chuter le poids malgré l'augmentation sérieuse de l'appétit.
"On considère qu'une perte de poids est anormale lorsqu'une personne perd 4 ou 5 kilos en quelques semaines sans démarche nutritionnelle.
C'est le cas notamment du cancer, de l'hyperthyroïdie et de certaines infections. Une perte de poids peut aussi s'expliquer par une malabsorption des nutriments qu'engendrent notamment la colite ulcéreuse, la maladie de Crohn et la maladie coeliaque.
Un amaigrissement peut avoir une multitude de causes, mais 50 % des cas d'amaigrissement impliquent des causes psychiques et rendent nécessaire un bilan médical. La dépression, notamment, entraîne souvent une perte d'appétit persistante. Viennent ensuite les causes organiques, comme les maladies digestives.
Pour arrêter de perdre du poids, augmentez l'apport calorique, modifiez vos séances d'entrainement, faites le choix d'une alimentation saine et contactez un médecin si vous pensez que la perte de poids est due à une maladie sous-jacente.
Stress et perte de poids
Le stress peut également avoir une influence sur le métabolisme : il l'accélère. Ainsi, les individus stressés peuvent brûler davantage de calories, plus vite, et perdent du poids.
10 types de cancer concernés
Ils ont alors découvert que la perte de poids involontaire était liée à 10 types de cancer : le cancer de la prostate, colorectal, du poumon, œsophagien, pancréatique, de l'ovaire, de l'appareil rénal et biliaire, mais aussi en cas de lymphome non hodgkinien ou encore de myélome.
C'est dire que le dosage de la TSH doit faire partie systématiquement du bilan de débrouillage d'une perte de poids.
La fatigue ne fait pas perdre du poids
Il est très important de dormir autant qu'on en a besoin pour être en bonne santé. En aucun cas la fatigue n'aide à perdre du poids. Pendant un régime il est conseillé de bien dormir et de surveiller son état de santé général pour ne pas mettre à mal son organisme.
Le rythme de perte de poids conseillé pour rester en bonne santé est de 0,5 à 1 kg par semaine.
La dépression ne s'accompagne pas d'une prise de poids, du moins dans son stade initial. Elle est même, à l'inverse, caractérisée par une triade symptomatique : insomnie, anorexie et perte de poids. Une réduction pondérale d'au moins 5% en un mois est l'un des critères diagnostiques du syndrome dépressif.
Une étude publiée en 2014 dans l'American Journal of Clinical Nutrition indique que les paliers dans la perte de poids commencent généralement 6 mois après le début d'un régime hypocalorique. Ils peuvent ensuite durer au moins quatre semaines et certaines études affirment qu'ils même peuvent durer plusieurs mois.
Le manque d'activité physique associé à une alimentation trop calorique sont les deux principales raisons. Pour maigrir, point de recette miracle, il faut bouger plus et manger mieux ! Manger mieux ne signifie pas forcément manger moins.
La plupart du temps, la perte de poids survient parce que les personnes absorbent moins de calories que nécessaire. Elles peuvent absorber moins de calories parce que leur appétit a diminué ou parce qu'elles sont atteintes d'un trouble qui empêche leur tube digestif d'absorber des nutriments (appelé malabsorption ).
La perte de poids involontaire se développe généralement en quelques semaines ou quelques mois. Elle peut être le signe d'un trouble physique ou mental important et est associée à un risque accru de mort. Le trouble causal peut être évident (p. ex., une diarrhée chronique due à un syndrome de malabsorption.
Il pratiquera un examen clinique, vous demandera un bilan sanguin et les examens d'imagerie en fonction de vos symptômes. Puis, il vous orientera vers un spécialiste selon les résultats. Le diagnostic de certitude de cancer repose sur le prélèvement d'un fragment de la tumeur (biopsie).
Outre la désocialisation, vouloir maigrir vite peut entraîner de graves maladies et troubles psychologiques, comme la dépression. "Ce genre de régime peut amener quelqu'un à craquer plus ou moins fortement, et même occasionner des crises de boulimie, voire une boulimie installée", détaille la diététicienne.
Différents examens peuvent être pratiqués pour diagnostiquer la maladie lorsqu'une suspicion apparait : une échographie, une endoscopie, un scanner ou une biopsie. Pratiquée dans 80 à 90% des cas, cette dernière permet de confirmer le diagnostic de cancer en prélevant des cellules du pancréas.
Si la perte d'appétit ne survient que de manière épisodique (le temps d'une grippe ou après une indigestion, par exemple), inutile de s'inquiéter. En revanche, si la sensation de faim disparaît de manière permanente et continue, il est recommandé de consulter rapidement son médecin.
La personne ressent une peur intense avec perte de contrôle (peur de s'évanouir, de mourir, de devenir fou, de faire un malaise cardiaque…), une sensation de danger immédiat et des sensations physiques très désagréables et très variables (palpitations, sueurs, frissons, bouffées de chaleur, tremblements, douleurs ...
La perte de poids
Le stress, notamment dans le cadre d'une dépression, peut entraîner une perte de poids importante en raison de deux facteurs majeurs : un appétit diminué ou altéré et un métabolisme accéléré.
La seule façon de savoir si on est trop maigre ou pas est de calculer son indice de masse corporelle. Elle est déterminée par le poids (en kilogrammes) / Taille (en m) au carré. La corpulence normale est définie par un indice compris entre 25 et 18,5. On parle de maigreur lorsque cet indice est inférieur à 18.
Poids idéal (en Kg) d'un individu possédant une morphologie "normale" = (Taille (en cm) - 100 + Age (en années) / 10 ) * 0,9. Poids idéal (en Kg) d'un individu possédant une morphologie "gracile" = (Taille (en cm) - 100 + Age (en années) / 10 ) * 0,9 * 0,9.