Nombreuses peuvent être les raisons d'un déménagement. Toutefois, avoir de nouvelles habitudes, s'adapter à un nouvel environnement ou tout simplement se lancer dans une nouvelle vie n'est pas toujours chose facile pour tous. En fonction des cas, le fait de changer de logement peut devenir une nécessité.
Le « besoin de changer » répond à une motivation négative. Avoir « besoin de changer » c'est en fait vouloir se soustraire à une situation qu'on ne supporte plus. Mais c'est finalement prendre le problème à l'envers.
C'est l'occasion de changer de maison. Soit parce que votre nouveau travail se fait à la maison. Soit parce que ce changement de carrière vous fait réaliser que vous avez évolué. Faire évoluer votre maison sera alors l'occasion de bien asseoir ce changement.
Tout quitter pour changer de vie, c'est aussi savoir ce que vous voulez vraiment. Recommencer à zéro n'est pas facile, mais la route sera beaucoup plus facile si vous avez un objectif précis en vue. Cela consiste principalement en la création de votre propre vision de la vie idéale.
Transférez votre ancienne vie dans votre nouvelle vie. Impliquez votre famille et vos amis dans le déménagement et l'acclimatation dans votre nouvel environnement. Rendez visite à vos nouveaux voisins. Au cours des premiers temps, il vous appartiendra de faire un effort pour vous ouvrir vers les autres.
Cette adaptation peut prendre du temps. Rien de grave, cela est normal. Mais certaines personnes peuvent ne pas être bien dès les premiers instants. Entre-temps, « d'autres sensations vont venir se superposer et changer notre regard sur le lieu » indique Marion Leclere, consultante en bien-être et habitat.
Réfléchissez à l'état actuel de votre situation, mettez par écrit vos objectifs pendant 15 minutes au moins par jour. Tâchez de définir des objectifs à atteindre dans un mois, un an, cinq et dix ans. Prenez l'habitude de réévaluer vos objectifs régulièrement et de les modifier s'il le faut.
L'aspect financier d'une relocalisation aussi est très grands et vient ajouter du stress au projet. D'un côté, la difficulté de trier, jeter, changer de milieu et de sortir de sa zone de confort, de l'autre, l'excitation de repartir dans une nouvelle demeure.
Essayez d'identifier les sentiments que vous avez et les raisons à ceux-ci en les écrivant ou en les prononçant à haute voix. Par exemple, vous pourriez dire : « je me sens anxieux et dépassé parce que je dois déménager dans une nouvelle ville la semaine prochaine ».
Tu ne créeras pas ou très peu de nouveaux souvenirs. Le temps va sembler passer de plus en plus vite, sans rien de mémorable. Déménager tous les ans, c'est te créer des nouvelles habitudes. De nouveaux souvenirs.
Depuis la nuit des temps, la première réaction à un événement qui nous fait peur est la fuite. Ca marche bien. Notre peur diminue quand notre tête nous dit que nous sommes en sécurité. Lorsqu'on a moins peur, on arrête de fuir.
Souvent, si on n'arrive pas à avancer dans la vie, c'est tout simplement parce qu'un élément appartenant à notre passé est suffisamment fort pour entraver notre développement personnel. C'est une erreur que de penser que le passé reste derrière nous, et qu'il ne compte plus.
Pour changer de vie, dressez vos objectifs et listez ensuite ce dont vous avez besoin pour les atteindre (temps, argent, etc). Priorisez les actions à effectuer étape par étape pour les obtenir et gardez en tête que le changement n'est pas une chose aisée mais nécessite détermination et courage.
Sortir et se laisser surprendre, la clé pour refaire sa vie à 50 ans. Deuxième étape pour refaire sa vie à 50 ans : sortir et se laisser surprendre. Une nouvelle vie est possible, acceptez de découvrir des activités, de sortir de votre zone de confort, et, pourquoi pas, de faire connaissance avec des inconnus !
Ne pas sortir de chez soi va également avoir un impact sur la forme physique, puisqu'en restant en permanence sur place, on s'expose à la prise de poids.
Rester à la maison a des conséquences négatives sur notre bien-être psycho-physique. Selon une étude publiée dans la revue "Current Biology", cette habitude peut entraîner une augmentation du risque d'anxiété et d'insomnie.
La clinophilie désigne le fait de vouloir rester toujours dans son lit, ou par extension, de rester chez soi et de ne plus vouloir, ou ne plus pouvoir sortir. Il ne s'agit pas d'une maladie en tant que telle, elle est davantage le symptôme de multiples pathologies psychiatriques.
L'anxiété peut aussi être un symptôme d'affections plus importantes, comme une phobie ou un trouble obsessionnel compulsif. Enfin, ce trouble peut être une alerte d'un stress prolongé suite à un événement traumatisant.