Les bénéfices de la viande halal sont nombreux. Elle est exempte d'hormones, d'antibiotiques et d'autres produits chimiques nocifs, ce qui en fait une option plus saine. Le processus de la 'Dbiha' est considéré comme plus humain car il est conçu pour minimiser la souffrance de l'animal.
En effet, la viande halal est réputée pour sa qualité et ses avantages nutritifs. Lors de l'abattage, l'animal est égorgé selon les principes religieux musulmans, ce qui permet de garantir une viande pure et exempte de substances nocives.
La certification halal
Les conditions requises pour certifier un produit halal pour les musulmans sont les suivantes : la viande doit provenir d'animaux qui ne sont pas morts avant l'abattage, le processus n'a pas rompu les vaisseaux sanguins ou les nerfs de l'animal.
L'abattage rituel vise donc à demander à Dieu son autorisation de mettre à mort un animal. Pour être halal, une viande doit provenir d'un animal vivant dont la tête a été orientée vers la Mecque avant son sacrifice.
Parce que le "tout halal", dans certains cas, coûte beaucoup moins cher. Au lieu de procéder à un abattage conventionnel, de l'interrompre, de nettoyer les chaînes, puis de procéder à un abattage halal, il est plus simple de faire du halal sans interruption.
Le spécialiste de la grande distribution nous apprend que le poulet est une des viandes coûtant le moins cher, même en temps d'inflation. Dans son "info conso", Olivier Dauvers nous donne plusieurs explications.
Au total, 34% de l'ensemble des abattoirs en France sont autorisés à effectuer des abattages rituels. Ce qui ne signifie absolument pas que ce taux est applicable à l'intégralité des viandes consommées. La viande produite par ces abattoirs habilités n'est en effet pas nécessairement halal.
L'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) nous a confirmé, de son côté, que l'abattage rituel ne cause pas davantage de douleur à l'animal. «Lors de l'abattage traditionnel, l'animal est étourdi avant l'abattage et est entièrement inconscient. L'animal ne peut pas ressentir de douleur à cette étape.
Interdit aussi est le partage de la viande en consultant des flèches, car ceci est une impiété. » Ainsi parle le Coran (sourate « Le festin » 5 ;3) : celui qui obéit à Allah ne doit manger ni bêtes mortes de maladie ou de vieillesse (en cela, rien d'étonnant), ni porc, ni encore moins de boudin puisqu'il ne faut pas ...
La viande halal a-t-elle un meilleur goût ? Pour avoir habité plusieurs années au Maroc, je peux dire qu'en général, la viande halal étant exsangue a beaucoup moins de gout qu'une viande non saignée. D'autres part, les viandes Hallal sont en général beaucoup moins muries qu'en France.
Peut-on manger Halal chez KFC ? Chez KFC, le poulet servi n'est pas certifié halal car notre vocation est de proposer une offre universelle. C'est d'ailleurs dans cet esprit que nous avons développé une gamme de produits à base de poisson, afin de pouvoir satisfaire tous les goûts.
On découvre dans votre livre que manger halal n'est pas une stricte obligation religieuse, ce qu'ignorent la plupart des Français, y compris ceux de culture musulmane. D'après l'Institut Montaigne, 40 % de ces derniers prennent cette recommandation alimentaire pour un pilier de l'islam.
McDonald's est une marque universelle qui s'adresse au plus grand nombre avec une offre large et accessible. Ainsi notre enseigne ne propose pas de produits halal.
Pour qu'une viande soit halal, il est impératif que la bête soit vivante au moment de l'abattage. Sa tête doit alors être tournée vers la Mecque. Les avis divergent, cependant, sur le fait que la bête doit être consciente (et non étourdie) lors de l'abattage.
avec étourdissement après égorgement (« post-stunning ») : les animaux sont étourdis immédiatement après la section des jugulaires. La douleur et la peur provoquées par l'égorgement demeurent, mais la perte de conscience intervient rapidement après.
L'Iran de Khomeini est le premier pays à “islamiser” l'abattage, inventant un protocole industriel halal sous contrôle musulman.
Al-Baqara 173 : « Certes, Il vous est interdit la chair d'une bête morte, le sang, la viande de porc et ce sur quoi on a invoqué un autre qu'Allah. Il n'y a pas de péché sur celui qui est contraint sans toutefois abuser ni transgresser, car Allah est Pardonneur et Miséricordieux. »
De manière générale, les chrétiens ne sont pas tenus de s'abstenir de manger du porc en vertu de leur foi, mais ils peuvent choisir de le faire ou de ne pas le faire en fonction de leurs convictions personnelles.
L'interdiction de consommer de la viande de porc remonte aux textes bibliques fondateurs, communs aux trois grandes religions du Livre ; elle est explicite dans le Pentateuque, que les Juifs nomment la Torah (rédigée entre le IXe et le ivc siècle avant J. -C), et plus précisément dans le Lévitique et le Deutéro-nome.
En Europe, l'abattage rituel est aujourd'hui interdit en Autriche, en Suisse, en Norvège, en Slovénie, en Islande, au Danemark et en Belgique.
Certaines personnes pensent que kasher signifie tué par un couteau, mais cela signifie en fait tué par une prière. Lorsque la viande kasher est abattue, l'homme qui va tuer l'animal dit une prière. Il pratique ensuite une incision dans la gorge de l'animal afin d'en faire sortir tout le sang.
L'abattage de l'animal se fait avec le visage du sacrificateur et de l'animal tournés vers la Mecque. Il faut prononcer « Bismillah Arrahman Arrahim, Allahou Akbar» (Au nom de Dieu le Clément, le Miséricordieux, Dieu est Grand) sur l'animal vivant qu'on veut abattre.
La loi halal exige que l'on prie à Allah avant ou pendant l'abattage de chaque animal, mais la loi kasher ne requiert pas de prière avant chaque abattage. Un shochet, ou un rabbin spécialement formé, doit abattre l'animal, tandis que tout adulte musulman, chrétien ou juif peut l'abattre en vertu de la loi halal.
Selon le Coran, les seuls aliments explicitement interdits sont la viande d'animaux qui meurent d'eux-mêmes, le sang, la viande de porc et toute nourriture dédiée à l'adoration d'un autre que Dieu, c'est-à-dire pour laquelle on a invoqué le nom d'un autre que celui d'Allah.
Le ministère de l'Agriculture agrée trois établissements en France: la Grande mosquée de Paris, la Grande mosquée de Lyon et la mosquée d'Evry, qui délivrent une sorte de permis à celui qui abat l'animal. Le sacrificateur paie 150 euros à la mosquée chaque année pour obtenir son habilitation.