Le terme venant du latin secundus, signifiant « qui suit », la lettre G a été remplacée par un C, rendant la graphie conforme à la racine latine. Mais la prononciation n'a pas suivi l'uniformisation de l'orthographe, probablement parce qu'en français, il est plus facile de dire « segond » que « second ».
L'ancien français pourrait être la clé de cette prononciation où le mot s'écrivait « segond ». D'après une explication de wiktionary, il s'agit d'un « phénomène de voisement intervocalique […] la consonne sourde [k], étant placée entre deux voyelles, s'est voisée en [ɡ]».
Ces deux lettres, « c » et « g », sont prononcées d'une certaine façon avec les voyelles a, o ou bien u (ca ga, co go ou cu gu) et sont prononcées d'une autre façon avec e, i ou y (ce ge, ci gi ou cy gy).
La tradition veut qu'on emploie « deuxième » lorsque l'énumération peut aller au-delà de deux, et « second » lorsque l'énumération s'arrête à deux. Cette distinction n'est pas toujours observée et certains écrivent indifféremment « deuxième » ou « second ». Même l'Académie française la juge infondée.
Le mot second est issu du latin classique secundus, prononcé avec le son "C", qui signifie "suivant". Le français descend en grande partie du latin, comme chacun le sait, mais les mots ont bien sûr été déformés, se sont modifiés progressivement, mijotés aux diverses sauces gauloises locales.
« Deuxième » et « second » ont le même sens : c'est ce qui vient après « premier », ni plus ni moins. La différence réside dans le nombre de sujets ou d'objets concernés : la tradition veut qu'on emploie « second » lorsqu'il n'existe que deux éléments, et « deuxième » lorsqu'il en existe davantage.
Pourquoi «femme» est-il prononcé «fame» ? - Quora. Le mot “femme” vient du latin “femina”… En ancien français ce mot pouvait s'écrire “feme”, “fame”, femme” ou “famme” et se prononçait souvent “famme”…
Se prononce \sə. ɡɔ̃\ plutôt que \sə. kɔ̃\, parce qu'un phénomène de voisement intervocalique s'est produit en ancien français : la consonne sourde [k], étant placée entre deux voyelles, s'est voisée en [ɡ].
La lettre t peut se prononcer comme la lettre s lorsqu'elle est suivie de la voyelle i. Cette prononciation est courante dans les mots formés avec tia (initial, tertiaire), tie (acrobatie, essentiel), tion (édition, respiration.
Le Lexique des règles typographiques en usage à l'Imprimerie nationale et d'autres codes typographiques recommandent les formes 2 e ou II e et non les abréviations 2ème ou 2 ème, ni IIème ou II ème.
La lettre c peut faire [k] ou [s]. Si elle est placée devant les voyelles a, o et u, elle produit le son [k] (exemples : canard, confiture, curieux). Devant ces mêmes voyelles, il faut mettre une cédille pour obtenir le son [s] (exemples : agaçant, garçon, déçu).
Règle. La cédille (¸) ne s'emploie qu'avec la lettre c, devant les voyelles o, u et a. La cédille sert à indiquer que le c ne doit pas se prononcer [k], mais bien [s]. - François, maçon, façon, efforçons, etc.
G note une consonne chuintante sonore et se prononce comme un j devant les voyelles e, i, y, comme dans geler, agiter, gymnastique. Pour obtenir la même prononciation devant les voyelles a, o, u, on intercale un e entre le g et cette voyelle, comme dans geai, geôle, gageure.
La lettre c se prononce [s] devant les voyelles a, o et u quand on lui ajoute une cédille : ç. La lettre c se prononcent [k] devant les voyelles a, o et u.
Généralement, le "S" placé à la fin d'un mot n'est pas prononcé. En particulier, chaque fois qu'il est la marque du pluriel, il reste muet. Ainsi, des "livres" se prononce exactement de la même façon qu'un "livre". Un "S" présent à la fin d'un mot au singulier est, lui, souvent prononcé.
Gu suivi de e, é, ê ou i : prononcé [g]
Lorsque les lettres gu sont suivies des voyelles e, é, ê ou i, on les prononce généralement [g], comme la lettre g dans le mot gare.
SIREN et SIRET sont des acronymes. Ce sont des sigles que l'on prononce comme un mot mais que l'on épelle rarement. SIREN signifie Système d'Identification au Répertoire des ENtreprises.
Le fait est que la consonne [d], comme les autres consonnes occlusives sonores, [b] et [g], ne peut pas être prononcée sans une voyelle subséquente. En revanche, les consonnes constrictives sourdes ([f], [s], [ch]) peuvent être dites seules.
La transcription phonétique de trois en anglais
Dans le cas de trois, ce serait /θriː/ en anglais britannique, et /θri/ en anglais américain. La seule différence entres les deux, c'est la durée du son i, plus long en anglais britannique.
C'est pourquoi, encore aujourd'hui, certaines grammaires recommandent d'utiliser deuxième lorsque l'énumération comporte plus de deux éléments, et second lorsqu'elle n'en comporte que deux. Cette distinction, qui n'est pas obligatoire, est plus souvent observée dans la langue soutenue, notamment par souci de précision.
La conjonction de coordination « et » se prononce en principe « é », tandis que -et en fin de mot (comme dans fouet ou tabouret) se prononce « è ».
Même si le mot femme s'écrit avec un e , il se prononce avec la voyelle [ a ]. Mais pourquoi ? Le mot femme provient du latin femina , qui était prononcé en accentuant la première syllabe fe .
Fēmĭna était accentué sur la première syllabe, c'est elle qui restera en ancien français. Le mot sera prononcé avec une voyelle longue \fẽː.me\, qui s'ouvre ensuite en \fãː.me\ pour se raccourcir enfin, \fam\ après la dénasalisation qui s'est produite au XVII e siècle.
En fait, femme est un mot qui vient du latin femina, le m et le n de ce mot ayant été assimilés par érosion à deux m.