À cause du passé colonial du pays, le français est également particulièrement courant au Maroc, notamment au nord du pays. Le français est enseigné à l'école, et est particulièrement utilisé dans les postes universitaires.
La volonté de conquête coloniale des pays européens ne cesse de s'accroître à partir des années 1800. Le Maroc fait désormais l'objet de nombreuses convoitises pour sa position stratégique et les richesses de son sol.
Les Français représentent la communauté étrangère la plus importante au Maroc, avec en 2021,51 008 personnes inscrites sur les registres consulaires. Opportunités d'emploi, coût de la vie moins élevé, ou encore politique fiscale attractive, le pays du couchant lointain attire.
La " marocanisation " progressive du secteur public et du secteur privé, la nationalisation de certaines activités, la précarité des contrats de travail, restent des facteurs permanents de l'exode.
Elle portait le nom de « Pieds-Noirs ». Leur bande adopta ce nom pour sigle par esprit de dérision et ses membres s'identifièrent au destin de cette tribu privée d'avenir. Qu'elle soit véridique ou fantasmée, cette histoire traduit bien l'inconscient d'une portion de la deuxième génération des Français nés au Maroc.
Voici une liste de quelques-uns des noms de famille marocains les plus répandus, outre « El Mostafa » : El Amrani. El Hajjouji. El Fassi.
Au sein de l'empire colonial français, les manuels de droit distinguent toujours colonies et pays de protectorat. Au Maghreb, seule l'Algérie est une colonie tandis que la Tunisie et le Maroc sont placés sous protectorat français en 1881 et 1912.
Restrictions dans l'octroi de visas
Pour François Audet, directeur de l'Observatoire canadien sur les crises et les actions humanitaires, ce refus peut également être interprété comme un désir du Maroc de se détacher de son passé colonial. Autre explication : les restrictions dans l'octroi de visas aux Marocains.
Beaucoup choisissent d'habiter dans le quartier central de l'Agdal (proche du Lycée français). C'est pratique également, mais les logements sont chers et souvent petits. Enfin, il y a tous les quartiers résidentiels : plus on s'éloigne du centre, plus les maisons sont grandes.
Le traité de Fès du 30 mars 1912 instaure le protectorat français sur le Maroc. Mais, un accord est conclu avec l'Espagne, le 27 novembre 1912, qui définit les trois zones d'influence espagnole, au Nord, au Sud, et autour d'Ifni, conformément à un accord secret conclu le 3 novembre 1904 (RGDIP, 1912, documents, p.
Les Marocains « ont une sensibilité, une émotivité qui s'exaspèrent facilement. Ils sont extrêmes en tout, ils sont impulsifs ». Ce caractère dominant de l'âme marocaine explique ces contrastes de générosité et d'avarice, de courage et de panique, d'ardeur et de lassitude.
La femme marocaine est un véritable modèle de la femme battante. Les auteurs de l'étude décrivent la femme marocaine comme étant une femme ambitieuse, motivée, cultivée, curieuse et qui s'accroche à ses rêves même si le chemin pour atteindre ses objectifs est souvent long et semé d'embûches.
L'arabe, dans ses formes dialectales, est la langue la plus parlée au Maroc. Les différents dialectes arabes, désignés sans distinction par le terme « darija », sont classifiés au sein de deux familles : d'un côté les parlers non hilaliens ou pré-hilaliens, de l'autre les parlers hilaliens et maqiliens.
Le royaume des Maures, ou Mauritanie, est annexé par les Romains en 40 après J. -C. ; en 42, Claude constitue le Maroc romain en détachant la moitié ouest de la Mauritanie (Mauritanie Tingitane) de la partie occidentale ; son occupation se limite alors aux plaines du Nord.
Le français, qui date de l'ancien protectorat, est la langue étrangère la plus parlée au Maroc, utilisée également par l'administration et les médias, et enseignée comme seconde langue dès le primaire. Un tiers des Marocains parlent français, et plus d'un dixième de ceux-ci sont parfaitement francophones.
En français, le pays est désigné, avant 1830, par les expressions les plus diverses : « Barbarie », « El Djezair », « Numidie », « Africa », « Ifrikyia », « Royaume d'Alger », entre autres.
Quel salaire faut-il pour bien vivre au Maroc ? Pour bien vivre au Maroc, une personne seule devrait toucher au moins 10 000 dirhams par mois. Pour un couple, c'est environ le double. Cela correspond respectivement à 940 et 1 880 euros.
Quel est l'intérêt de vivre au Maroc ? Le pays est de plus en plus prisé par les expatriés. Entre l'ensoleillement quasi quotidien, le faible coût de la vie, la courte distance avec la France et bien d'autres atouts, l'expérience en vaut la chandelle.
Casablanca est suivie par Marrakech, avec une augmentation de 55 % des résidents fortunés. La ville ocre compte 900 millionnaires, dont huit personnes possédant plus de 100 millions de dollars et deux milliardaires. Vient ensuite Tanger. Le nombre de personnes riches résidant dans cette ville a augmenté de 33 %.
Partie 1: Les Marocains
Pourquoi partent-ils ? Il y a la sécurité, l'asile, l'abri des conflits, le travail, les études, un avenir prometteur et une nouvelle vie.
Quelques jours après le séisme qui a fait plus de 2800 morts, le gouvernement marocain a accepté l'aide humanitaire de quatre pays (Espagne, Émirats arabes unis, Qatar et Royaume-Uni), mais n'a pas encore accepté celle de la France ou des États-Unis.
Le Maroc affiche sa « souveraineté » dans la sélection de l'aide internationale aux victimes du séisme. Le choix de l'assistance venant de quatre pays (Emirats arabes unis, Espagne, Qatar et Royaume-Uni) mêle critères techniques et considérations géopolitiques. Lecture 4 min.
L'Etat, c'est le sultan. C'est lui qui convoque ministres et conseillers à tour de rôle, rarement ensemble, c'est lui aussi qui nomme et contrôle ses représentants dans le pays profond, les caïds et pachas.
Le Maroc était le pays où les Grecs anciens situaient le mythique jardin des Hespérides. Le Maroc était connu sous le nom de « royaume de Marrakech » sous les trois dynasties qui avaient cette ville comme capitale, puis sous le nom de « royaume de Fès », sous les dynasties qui résidaient à Fès.
L'Éthiopie, n'ayant jamais été colonisée, ne figure pas dans la liste : juridiquement elle ne fut qu'occupée pendant cinq ans par les Italiens à l'époque de l'Empire italien d'Éthiopie et cette occupation ne fut que très partielle, l'Italie n'ayant le contrôle militaire que sur des zones réduites du pays.