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Appliquez de la glace sur la zone douloureuse pendant 15 à 20 minutes à intervalles réguliers pour réduire l'inflammation. Ces petites bandes élastiques colorées, placées sur certaines zones de votre tibia, peuvent aider à diminuer les douleurs provoquées par la périostite.
Comment savoir si on a une périostite ? La périostite se manifeste souvent par une douleur le long du tibia, pouvant prendre la forme d'une brûlure et augmenter en cas de pression manuelle. Les personnes pratiquant des activités sportives ou répétitives sont plus à risque.
Pour traiter les douleurs au tibia chez les coureurs, vous devez travailler sur les muscles qui soutiennent la voûte plantaire (muscles instinctifs du pied, muscles du mollet) et ceux qui alignent les hanches et les genoux pendant la course (abducteurs de la hanche et muscles centraux).
Des forces causant des chocs répétitifs dans les jambes pendant la course ou la marche intense (telle que la randonnée) peuvent exercer des contraintes excessives sur les muscles et les tendons des jambes et causer des douleurs tibiales.
Étirer le tibial antérieur en appuyant ses orteils au sol et en avançant le dos du pied vers l'avant de manière à ressentir l'étirement sur le devant du tibia. Maintenir 30 secondes et répéter 2 à 3 fois.
Faites glisser le pied droit en arrière de manière à ce que le talon se retrouve dans le vide. Votre genou gauche va se fléchir pour s'adapter à l'étirement que vous sentez à l'arrière de la jambe droite. Maintenez cette posture pendant 15 à 30 secondes puis changez de jambe.
Un des moyens les plus simples de renforcer vos tibias reste donc simplement à courir sur de longues distances. Cela vous permettra de renforcer vos tibias, mais également d'améliorer votre cardio. Attention cependant, si vous n'êtes pas habitués à courir souvent, vous devrez vous y mettre de façon progressive.
Les troubles musculaires et articulaires
Les douleurs aux jambes peuvent également être provoquées par des troubles musculaires et articulaires tels que la fibromyalgie, l'arthrite et les douleurs musculaires. Ces douleurs sont souvent accompagnées de raideur et d'une limitation de la mobilité.
Les causes d'une douleur à l'arrière de la cuisse
La douleur sciatique, qui correspond à une compression du nerf sciatique au niveau de la colonne vertébrale. Une blessure musculaire au niveau des ischio-jambiers. Une tendinite des ischio-jambiers, aussi appelée tendinite du bassin.
L'application de glaçons entourés d'un linge humide réduit la douleur et l'inflammation. A effectuer jusqu'à 3 fois dans la journée pendant 10-15 minutes. L'automassage est possible sur les mollets et le tibia pendant 30 secondes à 1 minute pour diminuer les tensions.
Le médecin généraliste ou le médecin du sport pourra demander des examens complémentaires et notamment une radio afin de vérifier l'intégrité de la structure osseuse du tibia ou bien l'IRM et l'échographie.
Le traitement est médical avec repos, glaçage, anti-inflammatoires (en cas d'épaississement du tendon), kinésithérapie, et éventuellement semelles. Les infiltrations sont réalisées avec prudence (tendino-toxicité des corticoïdes). On peut mettre totalement au repos le tendon incriminé par une botte de marche.
Le nerf tibial postérieur est situé à l'arrière de la cheville et passe dans un canal fibreux en arrière de la malléole interne. Il s'insère sur le calcanéum, os du pied et relie le muscle du mollet, le triceps sural.
Parmi les antidouleurs naturels les plus populaires en France, on retrouve l'arnica, le curcuma, le gingembre et la lavande. Ces plantes sont connues pour leurs propriétés anti-inflammatoires et analgésiques.
Première chose à savoir, certains symptômes sont à surveiller d'urgence : si votre jambe paraît gonflée, si elle est chaude au toucher et si elle présente un aspect rouge (avec éventuellement une douleur au niveau du mollet), il faut se rendre aux Urgences dans les plus brefs délais !
Le premier symptôme est une douleur dans la jambe à la marche, liée au rétrécissement du diamètre d'une artère, qui diminue l'apport de sang et donc d'oxygène aux muscles. Si l'artérite évolue, les douleurs surviennent même au repos. Le bilan mesure l'étendue des lésions artérielles.
Le tibial antérieur est un muscle puissant de la loge antérieur de la jambe qui s'étend du tibia (extrémité supérieure) au pied (cunéiforme médial). Il peut être touché lors d'une périostite tibiale, blessure très contraignante pour le sportif.
La périostite, plus communément appelée périostite tibiale, est une inflammation très douloureuse de la membrane qui entoure l'os du tibia.
On pratique une incision de la peau et du muscle pour accéder à la fracture osseuse. Selon le type de fracture, elle est réduite et fixée à l'aide de [clous médulaires], [plaques métalliques], [vis métalliques] ou à l'aide d'un dispositif externe appelé [fixateur externe].
Massez, étirez… Une périostite tibiale ne doit surtout pas vous empêcher de courir (bien renforcé, avec une bonne foulée…), car plus vous sollicitez la zone, plus elle se renforce. En cas de douleur, glacez et n'hésitez pas à masser en appuyant très fortement le pouce sur la zone, pendant deux à trois minutes.
La périostite tibiale — de loin la plus fréquente — est, par exemple, ressentie comme une douleur ou brûlure au niveau du tibia ou de la face interne de la jambe, voire située à l'intérieur de l'os, lors d'activités physiques et le plus souvent chez les adeptes de la course à pied.
L'examen clinique
La douleur se localise sur le bord postéro-médial du tibia, sur une distance d'au moins 5 cm, et est souvent bilatérale (50 % des cas). Elle est déclenchée par une palpation appuyée avec les doigts en crochets (Fig. 2).
COMMENT MASSER UNE PERIOSTITE ? Si vous ressentez des douleurs au niveau du tibia, vous pouvez glacer puis masser en exerçant une grande pression sur la zone concernée avec votre pouce pendant 2 ou 3 minutes. Nous vous recommandons de masser après avoir appliqué une crème pour adoucir le massage.
En général, il est possible de marcher avec une tendinite, mais tout dépend de la gravité de la blessure et de la douleur que vous ressentez. Si la douleur est légère, vous pouvez marcher en limitant les activités qui aggravent la douleur.