Cette interdiction est liée à la laïcité française principe de droit public qui se réfère en France à l'unité du peuple et se fond sur trois exigences : « la liberté de conscience, l'égalité de tous les citoyens quelles que soient leurs convictions spirituelles, leur sexe ou leur origine et la visée de l'intérêt ...
La France devient alors le premier pays européen à interdire le voile intégral (burqa, niqab). Le texte interdit précisément « la dissimulation du visage dans l'espace public » (rues, mais aussi commerces, transports, mairies etc.). Des amendes jusqu'à 150 euros d'amende sont prévues en cas d'infraction.
La loi n°2010-1192 du 11 octobre 2010 interdisant la dissimulation du visage dans l'espace public est une loi française ayant pour objet d'interdire le port d'une « tenue destinée à dissimuler son visage ».
Si le règlement intérieur ne mentionne pas le principe de neutralité et l'interdiction du port visible d'un signe politique, de philosophie ou religieux sur le lieu de travail, l'interdiction faite à une salariée peut être considérée comme discriminante.
Il s'agit des Länder de Bade-Wurtemberg, Brême, Bavière, Basse-Saxe, Rhénanie-du-Nord-Westphalie et Sarre. Les Länder de Berlin et de Hesse ont développé cette interdiction pour tous les agents publics.
Pourquoi les étudiantes ont le droit de porter le voile ? La loi de 2004 interdit le port de signes religieux ostensibles aux élèves dans les écoles, collèges et lycées publics afin qu'ils puissent « se forger leurs propres opinions, sans subir de pressions », détaille Nicolas Cadène.
Depuis le 11 avril 2011, il est interdit de porter, dans les lieux publics, une tenue destinée à dissimuler le visage. Une interdiction qui s'applique à toute personne physique, quels que soient son âge, son sexe, sa religion, sa nationalité.
Les principaux signes religieux sont : Le foulard ou voile islamique (hidjab). Le voile intégral (burqa, sitar ou niqab) qui masque intégralement le visage. La croix : il s'agit là d'un symbole religieux chrétien.
L'égalité de tous devant la loi n'est plus respectée donc en décembre 2003 , le président Jacques Chirac décide qu'une loi doit explicitement interdire tout signe religieux visible au nom de la laïcité.
La femme doit porter le hijab lorsqu'elle : sort de chez elle. est en présence d'hommes qui ne sont pas des muharam (un mahram est un membre de la famille avec lequel le mariage serait considéré comme haram, ou son époux)
Les établissements d'enseignement supérieur étant autonomes en vertu de l'article L. 711-1 du code de l'éducation, il appartient aux présidents ou aux directeurs d'apprécier si, pour des raisons d'hygiène ou de sécurité, le port du voile doit être prohibé lors de certains enseignements.
La prohibition du port du voile a été élargie aux établissements privés par une autre circulaire datée de décembre 1991, portant sur la tenue des agents de l'administration et des institutions publiques et privées.
Les conditions du hijab légiféré sont au nombre de 8 :
Couvrir entièrement le corps excepté le visage et les mains. Ne pas être une parure (joli et attirant l'œil) Etre épais et non transparent. Large de sorte à ce qu'aucune partie du corps ne soit moulée.
Le voile peut être interprété comme une protection pour la femme et pour l'homme contre le désir sexuel. Le voile permettrait de cacher les atours féminins afin de ne pas attirer le regard des hommes.
Le port du voile est il accepté ? Non, il s'est pas accepté pendant la prise de poste.
Oui le port du voile et turban n'as posé aucun soucis.
La France a été le premier pays européen à interdire le voile intégral (burqa, niqab), avec une loi de 2010 qui interdit "la dissimulation du visage dans l'espace public" (rues, mais aussi commerces, transports, mairies etc.). En cinq ans d'application, un peu plus de 1.500 verbalisations ont eu lieu.
Perçu comme un fort symbole du système répressif taliban, particulièrement à l'endroit des femmes afghanes, la burqa rappelle l'importance accordée à la pratique du purdah, interdisant aux hommes de voir les femmes et menant à une ségrégation sexiste.
Les cours des BTS, comme ceux des classes préparatoires (1), se déroulent le plus souvent dans l'enceinte des lycées. Ils sont donc effectivement soumis au régime de la loi de mars 2004, qui interdit le port de signes religieux ostentatoires (donc du voile) dans les établissements du secondaire.
141-6 du Code de l'éducation dispose ainsi que « le service public de l'enseignement supérieur est laïque et indépendant de toute emprise politique, économique, religieuse ou idéologique ».
À une pause méridienne, un enseignant lance le débat : « La djellaba, ça peut être considéré comme un signe religieux ou pas ? [13][13]Carnet de terrain, 3 juin 2014. » Sur la dizaine d'enseignants présents, peu attribuent directement à ce vêtement une valeur religieuse associée à l'islam ; cependant, la majorité y ...
La loi du 15 mars 2004 complète sur la question du port des signes d'appartenance religieuse le corpus des règles qui garantissent le respect du principe de laïcité dans les écoles, collèges et lycées publics. Les convictions religieuses des élèves ne leur donnent pas le droit de s'opposer à un enseignement.