Du rôle des États-Unis pendant la seconde guerre mondiale on retient souvent le débarquement allié de Normandie, qui permet de consacrer le pays comme « libérateur de l'Europe ». On oublie ainsi qu'entre 1939 et 1941 Washington préférait la neutralité et l'isolationnisme au « combat pour la liberté ».
Il souhaite surtout recruter des officiers pour l'armée continentale et solliciter une alliance militaire. La victoire des rebelles américains à Saratoga en 1777 incite la France à signer un traité de commerce et une alliance militaire en février 1778.
Article détaillé : Traité d'alliance (1778). L'alliance a été officiellement négociée par Benjamin Franklin et le traité d'alliance a été signée le 6 février 1778 après la victoire américaine lors de la bataille de Saratoga, sous la dénomination de « traité franco-américain d'amitié et de commerce ».
La France répond en 1778 à l'appel du Congrès continental qui, le 4 juillet 1776, a adopté la Déclaration unanime des treize États unis d'Amérique. Elle s'engage militairement et financièrement. Cette participation militaire française est décisive dans la victoire du nouvel État américain.
Les États-Unis et la France sont de proches alliés
La France est l'ami et allié le plus ancien de l'Amérique. Notre relation repose sur notre engagement commun envers les mêmes valeurs – la démocratie, les droits de l'homme, la primauté du droit, la sécurité et la prospérité.
Les Alliés sont la France, le Royaume-Uni et ses dominions 2 (Canada, Australie, Nouvelle-Zélande...), la Russie (jusqu'en 1917), la Serbie, les États-Unis (à partir de 1917), l'Empire japonais et l'Italie (à partir de 1915).
Les principaux alliés étaient la France, l'Empire russe, l'Empire britannique, l'Italie (à partir de 1915), puis en 1917 les États-Unis. La France, la Russie et le Royaume-Uni s'engagèrent dans la Première Guerre mondiale en 1914, en conséquence de l'alliance formant les Empires centraux.
6 février 1778 : La France et les États-Unis signent un traité d'alliance, la France entre en guerre contre l'Angleterre. 19 octobre 1781 : Cornwallis capitule à Yorktown : c'est la fin des opérations militaires sur le sol américain. 3 septembre 1783 : Traité de Paris qui reconnaît l'indépendance des États-Unis.
Les forces alliées sont opposées à celles de l'Axe Rome-Berlin-Tokyo. Ce sont les cinq Alliés principaux (Chine, États-Unis, France, Royaume-Uni et URSS) qui devinrent les membres permanents du Conseil de sécurité des Nations unies.
La France fournit des soldats, du matériel, des dons et des prêts aux insurgés. Elle s'engage ensuite officiellement en 1778. L'aide française navale et terrestre et le soutien de ses alliés contribuent à la victoire américaine, notamment à la bataille de Yorktown.
Le territoire américain fut ensuite colonisé à partir du XVII e siècle par différentes puissances européennes (Espagne, Royaume-Uni, France (Nouvelle-France). Désireux de s'affranchir de la métropole britannique et de gouverner par eux-mêmes, les colons des Treize colonies proclamèrent leur indépendance en 1776.
19 décembre : l'armée de George Washington prend ses quartiers d'hiver à Valley Forge (Pennsylvanie). 20 décembre : le Maroc est le premier pays à reconnaître de facto l'indépendance des États-Unis d'Amérique.
Les principaux bénéficiaires du plan Marshall ont été la Grande-Bretagne et la France, qui ont reçu 49 % des aides américaines (26 % pour les Britanniques et 23 % pour les Français).
70 ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, l'Allemagne est considérée, par une très large majorité de Français (82 %), comme l'allié le plus fiable de la France.
L'objectif de cette Résistance est de libérer la France de l'occupation allemande avec l'aide des Alliés (principalement le Royaume-Uni et les États-Unis), ou tout au moins de harceler les troupes du Reich.
Marshall, présente les principaux éléments de ce qui va devenir le plan Marshall. Celui-ci a pour objectif de stimuler le redressement économique de l'Europe après la Deuxième Guerre mondiale et de contribuer à freiner la menace posée par l'expansionnisme communiste.
Du rôle des États-Unis pendant la seconde guerre mondiale on retient souvent le débarquement allié de Normandie, qui permet de consacrer le pays comme « libérateur de l'Europe ». On oublie ainsi qu'entre 1939 et 1941 Washington préférait la neutralité et l'isolationnisme au « combat pour la liberté ».
En 1993, la Russie, la Biélorussie, l'Arménie, l'Azerbaïdjan, le Kazakhstan, l'Ouzbékistan, le Tadjikistan, le Kirghizistan et la Géorgie signent un accord-cadre d'union économique dans le cadre de la CEI (l'Ukraine et le Turkménistan s'y sont associés).
L'objectif de l'attaque était d'anéantir la flotte américaine stationnée à Pearl Harbor afin de conquérir sans difficulté l'Asie du Sud-Est et les îles de l'océan Pacifique. Le but était de contraindre les forces américaines à quitter Hawaï pour se replier sur les bases de Californie.
La Guerre d'indépendance américaine est une guerre qui eut lieu aux États-Unis actuels et qui opposa les colonies anglaises d'Amérique du Nord à la Grande-Bretagne. Elle dura de 1775 à 1783.
En France, la Révolution américaine a un grand écho car elle prouve que l'on peut renverser un roi et réaliser les idées des lumières. L'opposition à la monarchie absolue et à la société d'ordres est renforcée. Colonie : territoire d'outre-mer conquis, administré et exploité par un pays étranger (la métropole).
Alors que les Treize colonies étaient prospères sur le plan économique, la Grande-Bretagne subissait une crise économique. Londres décida qu'une partie des frais de guerre serait supportée par les colons américains.
La France aurait intérêt à placer ses alliés au pied du mur en proposant une véritable européanisation de l'alliance atlantique, en concurrence avec l'actuel projet de simple replâtrage de l'OTAN sous leadership stratégique américain.
Al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi), le Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao) et Ansar Dine («Les partisans de la religion») : une même idéologie anime les trois groupes jihadistes maîtres du Nord-Mali.
Situé au 13, Belgrave Square à Londres puis à Paris à partir de 1952, le siège politique de l'Alliance atlantique occupe initialement des locaux temporaires au Palais de Chaillot.