C'est l'un des symboles folkloriques de la Bretagne. La haute coiffe en dentelles d'une trentaine de centimètres portée par les Bigoudens, les femmes en tenue traditionnelle, est à l'origine un signe de protestation et fait référence aux clochers des églises.
La coiffe bigoudène est une coiffe vestimentaire de cérémonie, qui était portée par les femmes du Pays bigouden en Bretagne. Cette coiffe est caractérisée par sa haute taille (une trentaine de centimètres, jusqu'à 40 cm à Penmarc'h) et est devenue un symbole de la Bretagne.
Le terme « bigouden » apparaît écrit en 1833. Il désigne un élément de la coiffe que portaient les femmes de la région de Pont-l'Abbé, un appendice de fil placé au sommet de la coiffe, assez plate à l'époque.
D'ailleurs, le nom du Pays bigouden est issu de ces coiffes. À la base, il s'appelait Cap-Caval.
Néanmoins, pour simplifier ton déguisement de Bigoudène, il te suffira de porter une robe sombre, large à partir de la taille et qui tombe jusqu'au niveau des mollets, sur laquelle tu porteras un tablier blanc, brodé de préférence et noué dans le dos. Dans l'idéal, ta robe sera en velours noir ou bleu foncé.
Comment dire bonjour en breton ? « Demat », « mont a ra » ou encore « salud ».
Donc, les Bretons doivent être fiers de ne pas être celtes !
« Absolument ! Ils n'ont pas attendu les Celtes pour avoir une culture forte. »
Avec Alexia Coudai et Andrée Le Floch, Marie-Louise Lopéré faisait partie des stars de la fameuse publicité Tipiak, qui s'amuse à mettre en scène des Bretonnes scandalisées par le vol de leurs recettes par la marque alimentaire.
Ils sont généreux et donnent ce qu'ils ont. Toujours partants pour faire la fête, ils ouvrent toutes grandes leurs portes. Les Bretons sont chaleureux, mais pas au premier abord, il faut gagner leur confiance et lorsque celle-ci est acquise alors… Ils sont fiers de leurs terres et heureux de partager leur culture.
La légende veut que les femmes écartées des émeutes aient apporté leur soutien aux paysans en arborant de grandes coiffes (bigouden en breton) symbolisant les édifices détruits.
A quelques minutes seulement du village de vacances, Pont l'Abbé, ville commerçante et cité historique de renom, vous invite à découvrir la culture bigoudène au travers d'un patrimoine culturel exceptionnel.
Ce dysfonctionnement est provoqué par une anomalie génétique dont l'origine est plus vieille que Jésus Christ. Ce sont les Celtes, en effet, qui l'ont développée les premiers face à la carence de leur nourriture en fer, sel minéral indispensable à la bonne santé.
L'idée qu'en Bretagne la femme aurait bénéficié d'une représentation positive et exercé une réelle autorité est répandue sans qu'un besoin de vérification se soit imposé. On admet volontiers que la femme bretonne est puissante, qu'elle occupe une place éminente dans la société.
Pirates!!!
En effet, au milieu du XIXe siècle, ces bateaux sillonnaient les océans et rapportaient du Brésil leur cargaison de tapioca pour la maison Groult. Souhaitant rester fidèle à sa tradition maritime, la société choisit d'intégrer un dessin de clipper sur tous les emballages de ses produits.
Le nom Tipiak provient de « tipi'og » ou « tipi'ak », désignant la fécule de tapioca dans la langue des Guarani du Brésil et qui a donné le mot « tapioca ».
En fait, l'hérédité est un facteur de prédisposition des pikoù panez. Plus on est roux et plus on peut présenter des pikoù panez. Les Celtes sont les peuples les plus roux sur terre. Ainsi 13% des Écossais sont roux et 40% portent le gène récessif porteur de la rousseur.
Drapeau breton Gwenn ha Du
La devise des bretons, « Plutôt la mort que la souillure », est elle aussi directement liée à la symbolique de l'hermine.
« Je t'aime » se dit « Da garan » en breton.
Da garout a ran ! Da garan !
"Papa" se dit tadig. C'est le mot affectueux pour "père", ou tad. "Bonne fête des pères" en breton s'écrit gouel laouen tad.
Pokoù signifie « bisous » en breton mais il existe plusieurs variantes : Pokigoù : Des bisous ! Pokoù bras : Gros bisous ! Ur pokig bras : Un grand bisou !
On a longtemps parlé d'une origine mongole expliquant les yeux bridés (ou plutôt en amande) de nombreux Bretons bigoudens.
Cette région, connue pour son drapeau et ses crêpes, serait selon les dires, particulièrement touchée par des luxations congénitales de la hanche. Pour les plus médisants, cette pathologie régionale serait principalement due à la consanguinité.
Aujourd'hui, la langue maternelle de la majorité des Bretons est le français. D'autre part, aucun des deux parlers traditionnels de Bretagne, breton et gallo, n'ont de reconnaissance officielle, mais ils restent encore aujourd'hui utilisés au quotidien par une petite partie des Bretons, en particulier les plus âgés.