La mentalité : les Bretons sont authentiques et accueillants
Modestes, discrets, pudiques, fidèles, honnêtes, légalistes… La réputation des Bretons leur colle à la peau. Elle dessine une façon de faire société qui semble rassurante, aux yeux des habitants mais également des néo-arrivants.
Avides de justice et de paix, les bretons se sont battus pour sauvegarder leur culture et leur amour pour le travail. Leur fierté, souvent apparentée au nationalisme ou au racisme, ne leur empêche pas d'être ouverts au monde et d'accepter les différences des autres.
Des Bretons attachés à la région et aux traditions
« Par rapport aux autres régions, les Bretons citent plus particulièrement les traditions comme une qualité de leur lieu de vie », indique l'étude, qui place la Bretagne au premier rang des régions de France sur ce point.
Pourquoi les Bretons sont têtus ? Ils ont surtout cette réputation-là parce qu'ils se sont beaucoup révoltés au cours de l'Histoire. Et pour ça, on ne peut pas les blâmer. Après, il faut avouer que vivre constamment sous la pluie, ça donne un sale caractère.
Ils sont généreux et donnent ce qu'ils ont. Toujours partants pour faire la fête, ils ouvrent toutes grandes leurs portes. Les Bretons sont chaleureux, mais pas au premier abord, il faut gagner leur confiance et lorsque celle-ci est acquise alors… Ils sont fiers de leurs terres et heureux de partager leur culture.
L'idée qu'en Bretagne la femme aurait bénéficié d'une représentation positive et exercé une réelle autorité est répandue sans qu'un besoin de vérification se soit imposé. On admet volontiers que la femme bretonne est puissante, qu'elle occupe une place éminente dans la société.
Dans les années 1950, la Bretagne est ainsi la région où le taux de mortalité par alcoolisme est le plus fort en France. « On fabriquait alors beaucoup d'alcools comme l'eau-de-vie ou le cidre dans la région et toute la production était bue sur place », indique Thierry Fillaut.
Ce dysfonctionnement est provoqué par une anomalie génétique dont l'origine est plus vieille que Jésus Christ. Ce sont les Celtes, en effet, qui l'ont développée les premiers face à la carence de leur nourriture en fer, sel minéral indispensable à la bonne santé.
Ne croyez pas que Vikings, Celtes et Bretons soient des entités différentes. Bien au contraire, ils ont une origine commune qui est d'ailleurs inscrite profondément dans le patrimoine et la géographie de la France actuelle. : Indo-Aryenne, elle-même fille d'une branche plus lointaine.
«En Corse, on perçoit tout de suite que s'annoncer comme breton vous donne une clé pour ouvrir, ou se voir ouvrir, des portes plus facilement! L'on sent une certaine proximité, une affection… La perception d'une certaine similarité de destin face à l'histoire, au jacobinisme, joue manifestement un rôle en ce domaine.
En résumé La Normandie est mieux que la Bretagne sur le plan culinaire, historique, culturel, et naturel de par sa diversité et son authenticité. Cependant, la Bretagne reste une magnifique région à ne pas négliger, qui possède ses propres points forts.
A savoir le ar breton correspond à la particule française le ; de plus certains suffixes sont propres à la Bretagne et permet de repérer les noms made in breizh comme -ec, -ic, -ou, -an, -en, -egan, -egen, -ès, -ez.
Dans la région de Quimper, on parle des femmes « borledenn » et des hommes « glazig », car les premières portent des coiffes au large bord, et les seconds sont vêtus de vestes bleues (« glaz », en breton). D'autre part, le costume féminin reste en vigueur plus longtemps que le costume masculin.
La coiffe bigoudène est une coiffe vestimentaire de cérémonie, qui était portée par les femmes du Pays bigouden en Bretagne. Cette coiffe est caractérisée par sa haute taille (une trentaine de centimètres, jusqu'à 40 cm à Penmarc'h) et est devenue un symbole de la Bretagne.
Aujourd'hui, la langue maternelle de la majorité des Bretons est le français. D'autre part, aucun des deux parlers traditionnels de Bretagne, breton et gallo, n'ont de reconnaissance officielle, mais ils restent encore aujourd'hui utilisés au quotidien par une petite partie des Bretons, en particulier les plus âgés.
Comme les autres langues celtiques actuelles, le breton provient historiquement des îles britanniques. Il est également apparenté au gaulois, langue aujourd'hui éteinte qui se parlait au début de notre ère dans une bonne partie de l'Europe occidentale (Belgique, France, Suisse, Nord de l'Italie).
Pourquoi les Bretons sont-ils tous frères? Parce qu'ils ont Quimper (qu'un père) Si tout le monde connaît la blague, il reste à découvrir l'expo Quimper, un père à la maison du patrimoine sur la question de l'identité.
feskenn divesfenn, feskennou , c'est la base une fesse, feskenn mais c'est plus élégant quand ca va de paire, diveskenn ou feskennou pour les fesses au pluriel.
Comment dire bonjour en breton ? « Demat », « mont a ra » ou encore « salud ».
OUI YA : ya da (& laouen, 'vat...), loc. EYA (ouais)...