Le nom de «Maison-Blanche» peut, aujourd'hui, étonner les visiteurs tant les couleurs sont abondantes dans la crique du même nom. Il proviendrait du milieu du XIXe siècle, où un cabaret y était érigé et dont les murs étaient blanchis à la chaux. Facilement identifiable, il servait ainsi d'amer aux bateaux.
Pourquoi la maison bretonne a-t-elle souvent deux cheminées ? C'est généralement par respect de la tradition que la maison bretonne est construite avec deux cheminées. En effet, à la base, ce type de logement avait une architecture très simple.
La longère est une maison bretonne typique, toute en longueur et de plain-pied pour celles dont le grenier n'a pas été aménagé par la suite. Généralement en granit, elle dispose d'un toit d'ardoises à deux pentes et dans la plupart des rénovations, de volets de couleurs.
Le granite breton utilisé dans la construction
En Bretagne, l'ardoise, une autre pierre aux qualités d'isolation exceptionnelles contre le vent et la pluie, est utilisée en harmonie avec le granite pour donner ce cachet si typique des maisons bretonnes.
Des Bretons attachés à la région et aux traditions
« Par rapport aux autres régions, les Bretons citent plus particulièrement les traditions comme une qualité de leur lieu de vie », indique l'étude, qui place la Bretagne au premier rang des régions de France sur ce point.
Comme les autres langues celtiques actuelles, le breton provient historiquement des îles britanniques. Il est également apparenté au gaulois, langue aujourd'hui éteinte qui se parlait au début de notre ère dans une bonne partie de l'Europe occidentale (Belgique, France, Suisse, Nord de l'Italie).
Principalement utilisée sur les toitures à forte pente, l'ardoise trouve en Bretagne une utilisation motivée par la proximité des sources minières (Bretagne, Anjou),mais aussi parce qu'elle fait partie intégrante du paysage des maisons de l'Ouest, comme le sont les tuiles en terre cuite dans le sud de la France.
En Bretagne, petite maison située à l'écart d'un village, souvent au bord de la mer, caractérisée par son toit pentu recouvert d'ardoises.
La Bretagne française (brittany en anglais) elle est citée dès le Vème siècle sous le nom de petite bretagne (Britannia Minor).
Des petites ouvertures permettaient de se protéger des éléments. Elle recevait traditionnellement, lors de sa construction, un nom breton de la localité. La longère possède un toit bas, généralement en ardoise et plus rarement en chaume.
En 2016, un quart des personnes nées en Bretagne vit dans une autre région de France. Parmi ces 688 600 natifs de Bretagne, la moitié réside en Île-de-France et dans les Pays de la Loire. Les études supérieures ou la recherche d'un premier emploi sont fréquemment l'occasion d'un départ de leur région natale.
Les maisons traditionnelles
La maison traditionnelle ( ou typique vendéenne ) est souvent basée sur des volumes très découpés. Ces découpages sont souvent liés à un souci d'économie et aux faibles moyens de la population vendéenne de l'époque.
Les Bretons étaient un peuple celte qui habitait en Grande-Bretagne actuelle. Eux aussi avaient été envahis par les Romains mais, à l'inverse des Gaulois, ils avaient gardé leur langue. À partir du Ve siècle, leurs terres sont envahies par les Saxons.
Durant les siècles qui précèdent notre ère, elle est habitée par des peuples gaulois comme les Vénètes ou les Namnètes, avant que ces territoires ne soient conquis par Jules César en 57 av. J. -C., puis progressivement romanisés.
Reprenons : ti (anciennement orthographié ty), c'est la maison d'habitation, à laquelle on donne parfois un nom particulier. Ainsi, ti bihan mamm-gozh signifie « la petite maison de grand-mère ». Kêr est, quant à lui, l'élément le plus courant de la toponymie bretonne.
Ce matériau est surtout très résistant, à tel point qu'un toit en ardoise peut durer jusqu'à 100 ans. C'est aussi la garantie de recouvrir son toit avec un matériau qui présente des qualités exceptionnelles d'étanchéité, d'isolation et de solidité.
C'est Georges Eugène Haussmann, préfet de la Seine, qui entreprit les travaux de construction, sous l'égide de Napoléon III. Pour rénover les toits, Haussmann choisit d'utiliser des plaques de zinc ajouté à de l'ardoise, d'où cette couleur grise, si typique des toits parisiens.
Réponse: Parce que on l'utilise plus en Bretagne ou dans le nord. L'ardoise est utilisée pour les toits des maisons ou les murs car elle est noire donc capture le soleil et chauffe. Comme il fait deja très chaud dans le sud, on favorise les toits et les murs blancs qui au contraire repoussent le soleil.
« Je t'aime » se dit « Da garan » en breton.
Da garout a ran ! Da garan !
Forme de nom commun. Forme mutée de genoù par adoucissement (g > cʼh). Tais-toi (Ferme la bouche) !
En fait, l'hérédité est un facteur de prédisposition des pikoù panez. Plus on est roux et plus on peut présenter des pikoù panez. Les Celtes sont les peuples les plus roux sur terre. Ainsi 13% des Écossais sont roux et 40% portent le gène récessif porteur de la rousseur.
Trugarez. C'est la façon la plus connue et la plus utilisée par les bretonnants. Mais « trugarez » ne signifie pas un simple « merci » breton.
OUI YA : ya da (& laouen, 'vat...), loc. EYA (ouais)...
Comment dire bonjour en breton ? « Demat », « mont a ra » ou encore « salud ».